Mes soirées de travestis à l’hotel,

Blonde

Mes soirées de travestis à l’hotel,
Mes soirées de travesti le soir à l’hôtel.

Lors de mes déplacements pour mon travail, j’emporte toujours avec moi la lingerie que j’ai envie de porter, ma trousse de maquillage et une sélection de mes jouets sans oublier mon préservatif féminin ( Fémidom) en cas d’éventuelle rencontre.

En fin de journée, je regagne ma chambre d’hôtel d’un pas pressé en pensant au plaisir qui m’attend.

Ayant retiré mes vêtements pour appliquer ma crème dépilatoire, j’étale ma lingerie et mes jouets sur mon lit avant d’aller me rincer sous la douche.

J’en sors satisfaite du résultat en voyant ma poitrine, ma queue et la raie de mes fesses parfaitement épilées.

Puis, devant le miroir de la salle de bain, je me maquille les yeux sans oublier de peindre mes lèvres avec un rouge carminé.

J’étale ensuite un fond de teint sur mes joues pour colorer mon visage et affiner le grain de ma peau.

Enfin, j’ajuste sur ma tête une perruque blonde mi courte qui est plus confortable et moins chaude à porter la nuit.

Après un léger brushing, je regarde sans indulgence la fille que je suis devenue en me trouvant séduisante.

Le cœur battant la chamade, je me glisse dans ma guêpière.

Comme le font les femmes, je plaque le dos de celle-ci sur mon ventre pour l’agrafer par le devant et je la fais tourner sensuellement autour de ma taille pour glisser mes bretelles sur mes épaules.

Je garnis ensuite mes bonnets 105/D de généreuses prothèses en silicone de 500 gr en sentant le lourd balancement de mes seins à chacun de mes gestes.

Puis, je remonte une ravissante culotte fendue sur mes hanches qui me laisse l’œillet à découvert.

C’est avec excitation que je me prépare à enfiler mon bas en le tenant à deux mains avec les pouces à l’intérieur.

Devant la glace, je pose mon pied sur une chaise pour le dérouler lentement sur ma jambe tout en faisant glisser mes doigts d’avant en arrière pour l’enfiler.
J’attache avec fébrilité mes jarretelles très haut sur mes cuisses pour mettre mes longues jambes en valeur.

Finissant d’attacher mes bas aux huit jarretelles, je m’assure que les coutures restent bien droites.
Le désir monte dans mes reins en sentant la tension du nylon sur ma peau qui m’électrise les sens.

Je termine en enfilant la nuisette satinée qui m’a fait craquer et en glissant mes pieds dans mes escarpins.

Je fais quelques pas dans ma chambre pour m’habituer à mes talons aiguilles qui amplifient mon déhanchement et le balancement de mes fesses.

Comme une fille, je m’applique à faire des petits pas en serrant les cuisses et en croisant les jambes pour avoir un meilleur équilibre ainsi qu’une démarche plus fluide et féminine.

Je ne peux m’empêcher d’admirer devant la glace la fille que je suis devenue en me voyant marcher le bassin en avant tout en roulant des hanches de façon provocante.

Mon désir s’amplifiant, ma queue jaillit soudain de ma culotte fendue.
Je passe une main sous ma nuisette pour me caresser les seins en me masturbant avec l’autre… quel plaisir !

Prise d’une envie pressante, je m’assois comme une femme sur la cuvette des WC.
Je retrousse ma nuisette sur ma taille et j’abaisse ma culotte dans l’espace laissé libre entre mes jarretelles et mes bas pour pouvoir soulager ma vessie.

Je porte toujours mes jarretelles par dessus ma culotte car c’est beaucoup plus glamour et sexy que de faire l’inverse même si cela s’avère moins pratique aux toilettes.

Le compromis serait de porter au travail sa culotte par dessus son porte jarretelle et de faire l’inverse quand on sait qu’on va se faire sauter.

Revenant dans la chambre, je déplace mon lit pour le mettre face à la grande glace murale.
Je passe un long moment à prendre des poses suggestives tout en serrant mon gode xxl entre mes cuisses gainées de nylon.
Quelques instant plus tard, les frottements de ma nuisette sur ma queue en érection provoquent l’écoulement d’un mince filet de liquide séminal.

Puis, je joue longuement avec mes plugs, spéculum, rosebud sans dépasser le point de non retour.
Je regarde ma chatte maintenant bien ouverte en effleurant du doigt ses replis satinés.

Je poursuis la séance en explorant sans me lasser mes dessous tout en me caressant les seins et l’intérieur des cuisses.

A l’aide d’une pompe anale, je fais grossir le mince ourlet bordant mon œillet qui s’est formé au cours de mes nombreuses années de sodomies.

Le vide d’air le fait gonfler en lui faisant prendre l’apparence de véritables lèvres vaginales.
Mon gode va pouvoir s’enserrer dans un véritable manchon.

Son gland bien formé et sa hampe épaisse s’élargissant jusqu’à sa base est parcourue de grosses veines saillantes qui me font frissonner de plaisir lorsque je m’empale dessus.

Fléchissant les genoux et écartant les cuisses, je l’enfonce lentement dans mon ventre en sentant mes chairs s’ouvrir comme un fruit mure.

Chaque centimètre me comble d’un plaisir nouveau.

Je contracte mes muscles intimes pour le faire vivre en moi.

Lorsque ses bourses viennent se plaquer contre mes fesses, je réalise que je me suis empalée jusqu’à la garde.

Mon érection est alors à son maximum et j’ai la queue tellement raide qu’elle me fait mal.

Puis, je me masturbe lentement en faisant glisser mon ongle le long de mon frein.

L’effet est indescriptible et je dois m’arrêter rapidement pour ne pas jouir.

Après une heure de jeu, je ne pense plus qu’à me vider les bourses.

Je me porte le coup de grâce en massant mon périnée tout en pressant habilement mon point G avec mon gode.

C’est en gémissant de plaisir que je vois ma sève couler lentement en jet continu sur ma guêpière et le long de mes cuisses.

Je suis terrassée par cet orgasme anal qui est beaucoup plus intense et prolongé qu’un orgasme pénien.

Devant la glace, je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue monstrueuse qui me comble si bien.
Allongée sur le dos, j’ai la sensation d’être prise et possédée comme une fille en étant dilatée à l’extrême.

Au cours de la nuit pour pimenter mes jeux, je laisse mes rideaux ouverts et ma chambre éclairée afin de me mettre en vitrine.

En zone rurale, je réserve toujours une chambre au rez- de- chaussée donnant sur le parking pour être vue par les clients de l’hôtel.

Mais, je préfère la ville et avoir une chambre à l’étage face à un immeuble d’habitation séparé par une rue étroite.

Il arrive très souvent qu’un voyeur m’observe à sa fenêtre.

Parfois, une certaine complicité s’établit entre nous qui m’encourage à m’exhiber et à m’empaler sur mes jouets pour l’exciter en lui faisant partager mon intimité.

Le matin, je m’offre un autre plaisir.

Lorsque l’on frappe à ma porte, je me place devant la fenêtre en tournant le dos à la fille qui rentre m’apporter mon petit déjeuner.

Mon cœur bat la chamade quand je vois dans les reflets de la fenêtre une jolie blonde me regarder avec insistance.

Perchée sur mes escarpins, j’éprouve une forte excitation à m’exhiber dans ma lingerie glamour.
J’ajuste mes jarretelles pour retenir son attention et prolonger l’instant.

La jeune femme dépose son plateau en faisant semblant de ranger mon bureau pour pouvoir m’observer plus longuement.

Son regard se pose sur mes bas à coutures et mes fesses bien cambrées par mes escarpins.

Puis ses yeux se fixent sur ma culotte fendue servant d’écrin à mon rosebud.

Elle semble fascinée par la découverte de mon bijou anal.

J’évite de me retourner pour ne pas la troubler jusqu’à ce qu’elle finisse par partir.

Je termine par une séance d’électro stimulation avec mon E-stim.

J’enfonce dans ma chatte un plug en inox conducteur de courant.
J’enveloppe ensuite mes bourses dans une poche en cuir traversée par des fils électriques et je glisse sur mon frein un anneau en latex serti d’une électrode recouverte d’un gel conducteur.
Je n’ai plus qu’à relier les différents fils de cuivre à ma télécommande.

En actionnant le clavier, le courant de mon plug anal se propage dans mon ventre par vagues successives.

Mon œillet se met à se contracter en permanence indépendamment de ma volonté.

Je regarde ma queue osciller de bas en haut sous l’effet de la triple stimulations de mon gland, de mes bourses et de mon anus.

Je repère rapidement les réglages et les routines qui me font vibrer.

Le courant gagne peu à peu ma prostate et mon périnée.

L’anneau qui entoure mon gland stimule mon frein pendant que mes bourses se soulèvent en cadence sous l’effet des ondes électriques.

Je règle avec soin ma montée en régime.

Le courant se propage maintenant dans tout mon bas ventre pendant que mon sexe bat la mesure en se balançant de haut en bas.

Le moment tant attendu arrive enfin.

Sentant monter la vague déferlante dans le creux de mes reins, je retiens mon souffle en écartant les cuisses dans l’attente de ma délivrance

Dans la glace qui me fait face, je vois mes bourses se soulever en permanence pendant qu’un flot de sève s’échappe lentement de ma queue.
Je jouis longuement en gémissant de plaisir…

L’électro stimulation me donne aussi la possibilité d’avoir des orgasmes secs, c’est à dire sans éjaculer.
Malgré ma queue restée flasque, je peux encore avoir plusieurs orgasmes d’affilés comme une femme.

Dans de rares occasions, je partage ma soirée avec un ami travesti lorsqu’il peut se libérer.

Nos essayages de lingerie et nos séances de gouinage entre filles sous la couette nous procurent d’intenses moments de plaisir car nous avons comme seul et unique but de nous lâcher dans un climat de confiance.

J’adore lui faire vivre son fantasme en le laissant me violer pendant mon sommeil.

Faisant semblant de dormir, je m’allonge sur le côté pour qu’il me prenne à la petite cuillère.
Il aime cette position qui lui permet de me baiser longuement sans fatigue.

Emboîtées l’une dans l’autre, je retiens mes gémissements en me laissant bercer par ses va et vient.
Accrochant ses mains à mes hanches, il s’enfonce dans mes reins jusqu’à la racine de son sexe en me fouettant l’intérieur des cuisses avec ses bourses bien pleines.

Lorsque je sens sa queue tressaillir en moi. je sais que le moment est venu de l’achever.

Je tortille mes fesses contre son ventre jusqu’à ce que sa sève fuse en jets puissants dans mon fourreau anal.

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