Argent et famille (6)

Anal

Argent et famille (6)
Dans la soirée, je reçu une réponse de ma soeur. Evidemment, elle se montrait interressée par mon faux profil, et cherchait à en savoir plus sur moi. Elle me posait quelques questions, et comme je la connaissais par coeur, je savais exactement quoi répondre pour la séduire le plus. J’indiquais que j’avais deux ans de plus qu’elle, que j’étais en train de faire des études superieures, que je voyageais beaucoup, que j’aimais ma famille, d’ailleurs je lui racontais que j’étais issu d’une ancienne famille aristocratique et que l’un de mes oncles était ambassadeur. Je lui disais que je voyais parfois le beau du monde à des répections, mais que je savais que tout cela était artificiel. Je lui posais beaucoup de questions sur elle, sur ses projets, ses ambitions, ses passions, ce qu’elle aimait lire et si elle avait des réalisateurs préférés. Je montrais une certaine instruction. Je lui envoyais de fausses photos de moi en voyage en Australie. On échangea dans la soirée quelques mails par le biais du site. De mon écran de surveillance, je voyais ma soeur, d’abord assise au bureau, puis avec sa tablette à la main, quand elle alla se coucher pour dormir. Je la voyais consulter sa messagerie dans l’attente d’un nouveau mot de ma part. Elle semblait ferrée, il ne restait plus qu’à l’attrapper. Je me laissais encore un peu de temps.
Le lendemain matin, j’étais seul à la maison. Ma mère avait prévu de passer sa journée chez une amie à une centaine de kilomètres de la maison, et ma soeur était partie à ses cours. Sandrine arriva toujours aussi ponctuellement, entra nue avec mon petit déjeuner dans la chambre, et ouvrit les volets roulants. Je mangeais et bus mon café, tandis qu’elle restait debout en face du lit à attendre. Mes yeux allaient successivement de ses seins à sa chatte. Elle me laissait la regarder, complètement passive.
– Tu es moins mal à l’aise que les premiers jours…
Elle fit une légère moue.
– Pas évident d’être nue quand même, répondit-elle.
– Tu pensais être un jour payée pour ça ?
– Non, fit-elle riant un peu.
– Tu es belle quand tu ris, dis-je en me levant. Je m’approchais d’elle et lui carressa un sein.
Elle regarda devant elle en me laissant faire. Elle avait la poitrine généreuse, douce, et ses seins tenaient bien droit. Je carressais son areole et son mamelon en soupirant un peu.
– Tu vas venir avec moi, on va descendre un peu.
Je m’enfilai un t-shirt et un caleçon et je fis signe à Sandrine à venir m’ouvrir la porte. Elle s’executa, et je sortis dans le couloir et me dirigeais vers les escaliers. On descendit au rez-de-chaussée, où s’affairaient mes deux domestiques dans l’entretien de la maison. Elles étaient discrètes, aussi Sandrine sursauta en les voyant et en les entendant dire :
– Bonjour monsieur, bonjour madame.
Elles semblaient évidemment un peu étonnées de voir Sandrine complètement nue, mais retournèrent à leur tache sans le moindre questionnement. C’est en grande partie pour cela que j’apprecie ces femmes des Philippines, et qu’elles ont autant de succès sur les bateaux de croisière : elles sont concentrées à la tache, et se font très discrètes. Sandrine ne put s’empecher de placer sa main devant son sexe, et son bras gauche pour cacher sa poitrine.
Je me retournais face à elle, et lui fit signe de remettre ses mains le long du corps. Elle s’executa doucement, dévoilant les parties intimes de son corps aux regards furtifs des domestiques, ce qui la mettait vraiment mal à l’aise.
– J’ai l’impression que peu de personnes t’ont vu nue… Que tu es très pudique… Viens… Tu vas essayer des vetements…
On se dirigea vers la partie de la maison occupée par ma mère. On entra dans un petit vestibule, où se trouvait une immense penderie, avec une petite porte donnant sur un grand dressing. On traversa la pièce, pour se trouver dans la chambre.
– Va à cette commode, regarde un peu, tu devrais trouver culottes et soutien gorges. Je te laisse choisir ce que tu veux mettre. Moi, je vais te chercher une robe.
J’abandonnais Sandrine un instant, qui se rapprocher de la commode, située à coté du lit de ma mère, et me dirigeais vers le dressing. Je cherchais une robe de soirée mauve, couverte de brillants, que ma mère avait acheté il y a six mois environ. Je la trouvais facilement, emballée dans une housse de protection, et retourna dans la chambre. Sandrine avait enfilé une culotte noire, avec trois rayures transparentes, dont celle du centre laissait voir son pubis brun. Elle enfila le soutien-gorge assorti, et visiblement cela lui allait à peu près. Ma mère devait avoir des seins légèrement plus gros, mais c’était sensiblement pareil. Je sortis la robe de la housse, et laissa Sandrine l’enfiler. C’est fou comme une robe de soirée, ou un smoking, ça change une personne, ça lui donne de l’élégance. J’ouvris la boite à bijoux de ma mère, et tendis un collier en or, un petit bracelet, et fit enfin choisir des boucles d’oreille à Sandrine. Je la fis ensuite venir à la salle de bain (qui était attenante à la chambre), pour qu’elle se voit dans le miroir. Je lui fis signe de se servir des produits de beauté de ma mère.
– Je te laisse te maquiller un peu si tu veux. Et là tu as du parfum également.
Je laissais libre accès à Sandrine à tous les produits de beauté de ma mère. Elle resta environ dix minutes à se maquiller, et se coiffa bien pour avoir les cheveux lisses, noirs, qui lui tombent dans le dos et sur les épaules. Quand elle revint dans la chambre, elle était vraiment superbe, et je pense qu’elle se trouvait belle également.
– Je peux prendre une photo ? demandais-je par principe. Je sortis mon smartphone, et elle se tint bien droite face à moi, tenant sa robe sur le coté d’une main, et fit un sourire de circonstance.
– Tu es élégante, non ? Toi qui semblait douter de toi tout à l’heure.
– Tout ça est très joli mais c’est génant, c’est à ta mère, et je vis actuellement avec ton père… Je ne pense pas que ça lui ferait plaisir si elle savait ce qu’on fait.
– Tu as raison, mais attends, je vais en profiter un peu.
J’invitais Sandrine à s’approcher du lit.
– Penche toi.
Elle se pencha doucement en avant. Je retroussais sa robe derrière elle, jusqu’à sa culotte, que je baissais à mi cuisse. Je la poussais sur le lit, tout en retirant mon caleçon. Mon sexe était gonflé à l’extreme. Je passais mes doigts sur la fente de Sandrine, allant chercher la mouille dans sa chatte, puis passant mes doigts sur son anus.
– Attends ! fit-elle en tournant la tête.
– Laisse toi faire…
Je glissais deux doigts dans son cul, écartant ses fesses, je les fis aller et venir, puis je plongeais ma langue sur son anus. Je me mis à lécher un moment, puis, me redressant, je plaçais ma queue entre ses fesses.
– Attends ! fit Sandrine à nouveau.
J’allais doucement, faisant d’abord rentrer mon gland dans son cul, puis dosant d’habiles va et viens assez courts, pour glisser progressivement ma queue entière dans son cul. Une fois ma queue entrée jusqu’aux couilles, je me mis à donner de longs et grands coups de queue, sortant et entrant quasi integralement mon sexe de son cul. Je saisis Sandrine fermement, et l’enculais de toutes mes forces. Cette dernière poussa des cris. Je l’attrappais par le haut de la robe, lui saisissant les seins, malaxant et serrant fort. Mon sexe s’enfonçait dans son cul de plus en plus vite.
Elle tourna son visage vers moi. Elle put voir que mon regard était fixé sur une photo de ma mère, posée dans un cadre sur le coin du lit.
– S’il te plait… arrête… murmura Sandrine.
Je comprenais ce qui la tourmentait tant depuis le début. Je commençais à sentir un étronc dur à chaque fois que je tapais au fond de ses fesses. J’ecartais davantage ses fesses de mes mains, et continua de l’enculer toujours aussi fort. Lors d’un coup de queue, je sentis que son etronc était vraiment descendu d’un coup, et je me retrouvais en plein dedans, ce qui me fit ejaculer. Sandrine se redressa et se precipita vers la salle de bain pour s’assoir sur les toilettes.
Je la rejoins, elle ne disait pas un mot. Je me mis dans la douche, et me leva le sexe qui avait changé de couleur jusqu’à la garde.
Je laissais Sandrine se déshabiller et remettre la robe de ma mère dans sa housse. Je lui dis de laisser culotte et soutien gorge dans la salle de bain, ce sera récupéré par les domestiques dans la matinée. Elles referont également le lit et aéreront la chambre.
Je la laissais se prendre une douche à son tour. Elle se savonna longuement. Elle insista un moment sur ses fesses et sa chatte. Une fois sèche, et à nouveau nue, je voulus terminer par un dernier détail.
– Prends la brosse à dent de ma mère s’il te plait.
Sandrine s’executa sans rien dire.
– Glisse là dans ta chatte.
– C’est pas bien tout ça tu sais…
– Mais tu vas le faire quand meme.
Sandrine attrappa la brosse à dents de ma mère, et l’amena entre ses jambes. Elle fit disparaitre doucement la petite brosse à l’interieur de sa fente. Elle la laissa un peu, puis la sortit, et la remit à sa place.
– Je te laisse remonter. Je vais dire aux filles de nettoyer la chambre et la salle de bain.
Sandrine remonta seule. Malgré tout ce qu’elle venait de subir, elle gardait dans un coin de sa tête son questionnement, concernant la petite camera qu’elle avait repéré dans la pendule du coin cuisine. Elle profita d’etre seule à l’étage pour entrer dans mon bureau, et trouver assez facilement mon installation vidéo, qui était en veille. Elle put voir une quinzaine de vues différentes, mais comprit qu’il y avait probablement beaucoup plus de camera. Elle vit les salles de bain, les chambres. Cela la fit tressaillir. Mais en même temps, elle se dit que cela pourrait peut-être lui permettre de changer la pression de camp. Car elle trouvait mon comportement simplement intolérable. Et que je méritais une leçon. Pas une petite. Une qui m’aménerait en enfer. Elle referma la porte discretement en retournant dans le couloir.

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