Souvenirs d’enfance, ma 1ère foufounette de f

Brunette

Souvenirs d’enfance, ma 1ère foufounette de f
Notre approche et notre découverte du sexe opposé est pour nous toutes et tous bien différent.

Voici comment ce « mystère de l’autre» m’a été dévoilé…

Lorsque j’étais enfant, je passais les mois d’été à la montagne dans les Alpes de Haute Provence en compagnie de mes grands parents au mois de juillet puis de mes parents en août. Mes grands parents possédaient une petite maison de campagne au confort qui paraîtrait maintenant sommaire mais qui était bien agréable pour ces beaux mois. Ces deux mois à gambader dans la montagne me ressourçaient et même tout jeune j’aimais bien ne plus être sous la coupe de mes parents pour un mois car beaucoup plus libre.
Notre petite maison à deux étages possédait l’eau courante mais n’avait pas de système pour la chauffer il fallait donc faire chauffer des casseroles sur le feu pour obtenir de l’eau chaude, ce qui pour les mois d’été était loin d’être gênant.

Normalement je dormais au ré de chaussée dans une alcôve que je trouvais bien sympathique mais je ne sais plus pourquoi un matin vers mes onze ans alors que mon grand père était parti en bus faire les courses dans la petite ville voisine je me trouvais dans le grand lit de mes grands parents au premier étage. La grande pièce de l’étage pavée de tomettes rouges faisait office de chambre et de « salle de bain », on y trouvait donc entre autre un grand lit en face duquel décalé sur la droite, se situait le coin à eau avec wc et lavabo. Cet espace était séparé du reste de la pièce par un rideau, ce dernier ne dissimulant qu’une face et ne fermant pas du tout cette zone. Si on se situait à droite du rideau on ne voyait rien de ce qui ce passait à l’intérieur mais si on était en face il n’y avait aucune occultation. Le lit arrivait en limite de ces zones et donc si on se tenait bien au bord de ce dernier tout l’espace toilette était visible.

Je pense que je devais être fatigué ou malade pour être dans ce grand lit. Je dormais puis je fus réveillé par des bruits certes étouffés mais présent de sons métalliques associés à des tonalités d’eau. Mon esprit rattacha facilement ces bruits à des casseroles et autres marmites que l’on vidait dans une grande bassine. Les bruits cessèrent puis un léger « pssit » tout en longueur vint les remplacer. Lorsque la chasse fut tirée malgré mon inexpérience en la matière, j’ai de suite associé ce bruit à un pipi de femme, ma grand-mère étant la seule femme de la maison ce ne pouvait être qu’elle qui se trouvait derrière le rideau.

Pour en avoir le cœur net je me suis déplacé du centre du lit vers son bord droit afin d’avoir une vue sur l’origine de ces bruits. J’étais bien au bord et là plus de doute c’était bien ma grand-mère qui était présente. Elle se tenait debout dans une bassine, de trois quart par rapport à moi et commençait à se savonner car elle était toute nue…

Ma grand-mère devait mesurer dans les un mètre soixante deux et était toute menue. C’était une femme très gentille à la voix douce, réservée et sans doute très soumise à l’autorité masculine, non pas sur le plan sexuel ; bien que je n’en sache rien, mais sur le plan respect, nous sommes dans le midi, l’homme en bon macho dicte et la femme suit…surtout pour cette génération.

Donc ma grand-mère est là toute nue à environ cinq mètres de moi. Elle est de trois quart et j’ai quand même une belle vue sur ses seins qui tombent surtout qu’elle les savonne sans ménagement, elle les « ballade » dans tous les sens…ses seins sont tombants, vraiment tombants, ils ont du être lourds mais maintenant se sont de véritables gants de toilettes avec de belles aréoles situées tout en bas de sa poitrine aux tétons de bonne dimension…

Elle se savonne et ne fais pas attention à moi, cela m’arrange car je prends du plaisir à la regarder, elle remouille sa savonnette et s’occupe maintenant de son ventre puis de son entre jambe. Elle écarte de plus en plus les jambes, fait des grimaces et frotte sa foufounette. Je ne vois pas ou sont ses mains car elle est toujours de profil et je la regarde ainsi. Elle insiste sur son entre jambe et en curieux j’aimerai bien voir ce qui s’y passe…je me dégage de mes couvertures et me tiens maintenant à l’extrémité du lit, j’ai du gagner un mètre cinquante mais je suis toujours dans le même axe et je n’en vois toujours pas plus…

Elle continue sa toilette intime et je suis à côté et je ne vois rien, c’est trop frustrant, et surtout ce n’est pas rigolo pour le petit garçon que je suis…je descends du lit silencieusement et me tiens maintenant pile dans son axe, si elle lève la tête elle ne peut que me voir…et forcément…elle me voit…

Elle me voit et fait un bon en arrière tout en se tournant sur le côté.
– Que fais-tu ?
– Tournes toi et ne regardes pas…On ne doit pas regarder sa grand-mère qui se lave
– Pourquoi ?
– Bien…parce que les petits garçons biens élevés ne le font pas…
– Pourquoi ?
– Parce que cela ne se fait pas
– Et si je veux le faire…
– Tais toi et retournes toi sinon je vais me mettre en colère…

A contre cœur je me retourne légèrement essayant toujours de voir du coin de l’œil.
– Tournes toi plus
Je souffle fort et je m’exécute en ronchonnant

Je suis maintenant face au mur et je réfléchis. Je suis jeune mais je comprends que malgré les apparences je semble en position de force par rapport à elle. Si je n’obéis pas je serais sans doute puni mais dans l’instant présent je peux contrôler les évènements, je m’en persuade et décide de passer outre la logique de ma grand-mère et de son injonction car je prends cette situation pour un jeu et j’ai envie de m’amuser…

Je saute de mon lit et je me plante pile devant elle. Elle sursaute…me gronde…me menace…se cache les seins d’une main et lève l’autre essayant de me faire peur mais rien n’y fait…je suis là et j’ai décidé d’y rester…me rapprochant encore plus d’elle…elle se tourne…moi aussi et je me repositionne face à elle…elle râle, me gronde puis souffle et arrête de bouger…
Je suis devant elle et je profite de cette « accalmie » pour prendre le temps de bien la regarder et analyser ce que je vois…
Son corps est menu, ses seins tombent bas, ses grands tétons dressés de couleur foncée contrastent fortement avec sa peau blanche et son sexe est pratiquement lisse…

Non, elle ne se rase pas…dans le début des années soixante dix les femmes ne se rasent pas le sexe et encore moins les grand-mères…non tout simplement sa pilosité à disparue…elle à perdu la quasi-totalité de ses poils pubiens…il ne lui reste que quelques poils à la limite haute de son ancien triangle ainsi que sur l’aine de chaque côté…sa fente est pratiquement imberbe sauf sur le haut de cette dernière vers la région clitoridienne ou quelques léger poils demeurent présents…

Son pubis est plat, ses lèvres sont bien en chair et légèrement bombées, sa fente est visible dans son intégralité et je me régale de la vue de sa foufounette…C’est la première fois que j’en vois une…j’en suis à une soixantaine de centimètres et aucun artifice ne me la masque…Et hier comme aujourd’hui je me régale encore de cette vision…

Ma grand-mère est gênée, très gênée…elle bouge ses mains essayant de cacher maladroitement son sexe et ses seins…Elle a compris que cela ne lui sert rien de se tourner car systématiquement je bouge et je me représente face à elle. Elle s’est rendue compte que ses menaces et ses ordres restaient sans effet de mon côté…

– Tu es un vrai coquin, un vrai galopin…tu me déçois…sois gentil, tournes toi…

Je reste impassible

– S’il te plait… fais moi plaisir…je me retourne…mais tu reste derrière moi…tu ne te mets pas devant… d’accord ?

Sa dernière phrase est tremblante. Je sens qu’elle est vraiment très mal à l’aise et comme je l’aime je lui dis :

– D’accord

Et je me place derrière elle
Je la sens souffler et reprendre confiance en elle. Elle est toujours toute nue mais maintenant ce sont son dos et ses fesses qui sont face à moi…son honneur est un peu plus sauf…

Elle a pris sa serviette comme pour s’essuyer mais tout compte fait l’a reposée, je pense qu’elle a du se dire que le « mal » étant fait elle allait finir sa toilette.

Elle a commencé à se savonner le dos et à se frotter mais comme pour tout le monde ses gestes étaient quelque peu maladroits…

Elle s’arrête de se laver et s’adresse à moi :

– Pour une fois ce matin, veux tu être gentil ?
– ?
– Prends cette savonnette et frottes moi le haut du dos s’il te plait…
– D’accord Mamie…

Consciencieusement j’ai commencé à la savonner…j’ai démarré par le dos, d’abord le haut puis le bas et machinalement sans attendre son accord je suis descendu sur ses fesses, ses jambes et en remontant je me suis occupé de l’intérieur de ses cuisses. Arrivé au niveau de son entrejambe, ma main et ma savonnette se sont naïvement localisées autour de sa fente mais de façon très rapide et sans insistance…Après ce sage savonnage le rinçage fut tout aussi appliqué et réalisé avec beaucoup de minutie et douceur de ma part…

J’ai senti que ma grand-mère avait apprécié ma délicatesse et mon calme lors de ce petit « bain » improvisé surtout qu’une fois mon travail terminé je me suis reculé et je me suis placé hors de son champ de vision la laissant se sécher et se rhabiller tranquillement…
A l’issue de ce petit bain et en femme gentille et très compréhensive elle a mis de côté ses réprimandes envers moi et après avoir vidé et rangé tout « l’attirail de lavage » elle m’a dit :

– Tu n’as pas été très sage mais cela ne fait rien je ne t’en veux plus mais à l’avenir écoute un peu plus ta grand-mère et sois moins coquin…

Cette matinée fut un régal pour moi…alors que je ne m’y attendais pas du tout j’avais vu une foufounette…une vraie…ma première…et j’avais trouvé cela magnifique…

La semaine suivante, comme tous les jeudis, alors que mon grand-père était parti à la petite ville voisine s’occuper du ravitaillement et faire les courses, je me suis dit que j’avais peut être une chance de renouveler cette belle expérience.

J’ai calculé, je suis monté à l’étage et fais en sorte de me retrouver dans la chambre vers la même heure que la semaine précédente et bonheur suprême j’entendais ma grand-mère en train de se laver derrière le rideau.

Ne voulant pas rater l’occasion de recommencer cette délicieuse observation, j’ai décidé de rester gentil en espérant que cela allait payer…En restant tout au bout de la pièce, je lui ai lancé :

– Mamie c’est moi
– Que veux-tu ?
– Est-ce que tu veux que je te frotte le dos ?

Silence

Ce silence n’était pas bon signe pour moi…
– Toute seule ce n’est pas facile…et…je serais sage…

Silence puis :

– D’accord, je commence et je t’appellerais pour le dos…

L’attente avant son appel m’a semblé une éternité puis comme convenu elle m’a appelé et je me suis dirigé vers le point d’eau la trouvant debout dans la bassine, toute nue et son dos face à moi.

Tout content de cette grisante vision j’ai pris la savonnette et comme la semaine précédente j’ai démarré par le haut de son dos puis je me suis occupé de son bassin mais fasciné par ce dernier et au lieu de descendre le long de ses jambes je me suis intéressé à ses fesses. Son corps était menu et fin, ses fesses petites mais joliment galbées et bombées mais vu leur petitesse leurs lobes ne se touchaient pas et la vision de ce qui se trouvait entre était totale. Son anus était tout petit, bien fermé et ce mignon enfoncement m’attirait…il me captivait tellement que je me suis polarisé dessus et sans vraiment faire exprès, sans le vouloir je tournais et retournait la savonnette sur l’extrémité de cet orifice…

– Mais qu’est ce que tu fais…Me dit elle à voix haute et sur un air très sec en se retournant brutalement.

Oui, qu’est ce que je faisais…en fait je n’en savais rien…je rêvais…et comme tout petit garçon qui se fait prendre la main dans un pot de confiture j’ai raconté n’importe quoi…j’ai inventé et dit la première chose qui me passait par la tête…

– Ben, c’est tout sale…faut bien que je le nettoie…

Je pensais me faire réprimander mais non un grand silence à suivi…J’ai senti chez ma grand-mère un malaise et son embarras était palpable puis d’une toute petite voix elle m’a dit :

– Continue alors…mais n’exagère pas…

A ce moment, malgré ma mauvaise excuse improvisée j’ai senti que je ne serais pas grondé et que je pouvais poursuivre. Sans préméditation et sans doute par reflexe j’ai appuyé délicatement de ma main libre sur son dos ce qui a eu pour effet de la faire se pencher en avant. Inconsciemment elle m’obéissait et m’offrait un délicieux spectacle.

Elle était penchée et ma vue devenait merveilleuse, les mystères faisaient place à de superbes révélations…pour moi le sexe d’une femme était une fente et puis c’était tout mais là tout changeait…Sa fente s’était ouverte, son sexe m’apparaissait dans toute sa splendeur et son intégralité…Je la faisais se pencher un peu plus, l’obligeant à poser ses mains sur la cuvette des wc, écartant par la même ses jambes et sa vulve…

Son sexe béant aux différentes nuances de couleurs rose me fascinait et bien que très timide au début mes mouvements ont quittés le haut de ses cuisses et sont dirigés tout naturellement vers ses lèvres dépliées et largement ouvertes ou je me suis rapidement aperçu que ma savonnette dans son intégralité pouvait rentrer dans ce lieu normalement tenu secret et bien protégé…Doux lieu inconnu dans et autours du quel je ne me gênais pas pour me mouvoir et du coup je la « masturbait » sans le savoir et de façon non délibérée…

Combien de temps cela dura t’il ? Je ne sais pas ; un temps certain me semble t’il mais tout d’un coup mes mouvements ne furent plus du goût de ma grand-mère qui mit fin à mon savonnage et décréta en se relevant que c’en était fini et me demanda de me retirer pour qu’elle puisse se sécher et se rhabiller, ce que je fis promptement mais avec une certaine amertume.

Cette année là je pus une fois encore me régaler du bain de ma grand-mère et « profiter » de ce plaisir de la voir nue mais malheureusement l’année d’après une seule « séance » me fut accessible.

Les étés suivants, ma grand-mère, à ma grande déception, me refusa ce bonheur car elle me trouvait bien trop âgé pour continuer à y prendre part…

En fin de séjour de cet été là, ma grand-mère vint me voir et me demanda de garder le secret « sur nos bains », je la sentais inquiète et honteuse…Voulant lui faire plaisir et la rassurer tout en espérant d’autres, je lui jurais aux grands dieux que je n’en parlerais à personne…ce qui fut le cas jusqu’à aujourd’hui…

Ces moments intimes entre ma grand-mère et moi ont particulièrement contribués à nous rapprocher l’un de l’autre les années ultérieures. De plus cette magnifique découverte du corps féminin et de ses trésors cachés à influé sur ma sexualité. J’ai vite ressenti la gêne et l’humiliation éprouvée par ma grand-mère lors de ces « bains » mais je suis certain qu’elle était loin de les détester…et j’ai compris en devenant « homme » que je prenais goût à différents manèges dans lesquels j’impliquais mes compagnes, les forçant parfois à aller toujours plus loin dans la recherche d’une jouissance induite par l’humiliation ressentie et le défendu transgressé…

Merci de m’avoir lu.

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