Je veux être ta pute (suite)

Brunette

Je veux être ta pute (suite)
Monique et Sylvie étaient en cuisine quand Pascal rentra, il pris sa femme par la taille d’une main et posa l’autre sur ses fesses, il adorait le contact léger du paréo sur la peau nue et déposa  une bise sur les lèvres de sa femme puis pris Sylvie par la taille, se qui la fît frissonner et lui donna trois bises sur les joues.
Puis monta prendre une douche.
Quand il descendit la table était mise et la table basse pour l’apéro remplie de petits canapés et autres amuse bouches, il prit les commandes pour les boissons et servis les verres.
Les amis installés, Pascal pris des nouvelles du couple, de son pote, de leurs enfants et petits enfants, après cela Monique pris la parole et dit…..
_ Sylvie a quelque chose à te demander
Sylvie se leva, se mit face à Pascal et dit sans ambage.
_ Je veux être ta pute, je veux d’appartenir, que tu sois mon homme.
Il fût surpris et écouta Sylvie dans ses explications puis se tourna vers sa femme.
_ Je la comprends et étant moi même offerte à d’autres je ne peux pas t’en empêcher, tu es l’homme, le Maître
_ C’est bien pour cela que je ne te demande pas ton avis.
_ J’accepte que tu sois ma pute mais…..je veux que tu prennes du temps pour réfléchir, car, ton quotidien va changer.
Le veux tu vraiment, es  tu prêtes????? Tu me donneras demain.
Maintenant santé!!!!!!
Le repas se déroula dans la bonne humeur comme à chaque fois que ce groupe d’amis se retrouve. 
Sylvie pris congé de son hôtesse et Pascal se proposa, comme à chaque fois depuis très longtemps de raccompagner Sylvie jusqu’à son hall d’immeuble.
Dans le hall Pascal pris Sylvie par la taille et lui fît trois bises.
Il n’avait pas lâché son amie qu’elle lui dit
_ J’ai pas besoin d’une nuit de réflexion, je veux être ta putain…..maintenant.
Il lui demanda alors ses lèvres puis sa langue, leur langue tournèrent en un baiser fougueux et humide, les mains de l’homme partirent faire connaissance de ce corps maintes fois vu en maillot de bain ou dans des tenues sexy mais là dans ce hall, ses mains entraient dans le soutient gorge chercher un téton, descendaient et entraient dans le string, découvrant un sexe déjà bien humide sous une pilosité entrenue.
Le souffle de Sylvie s’accèlera
_ Continu c’est bon, embrasse moi, att**** mes cheveux et tire, ça me fait de l’électricité le long de la colonne vertébrale
Ce que fît Pascal puis l’autre main remonta, il déboutonna la robe, libéra les seins de leur emprise et pinça les tétons.
_ J’adore, encore
Il lâcha les cheveux pour ouvrir le bas de la robe.
Il y avait dans ce hall des plots d’une hauteur de soixante centimètres environ, il installa Sylvie de dessus et lui retira le string, la fît s’accroupir.
Tout en mordillant les tétons de la belle, une main allait des fesses à la chatte toute mouillée et gonflée de désir.
_ Je te savais pas aussi coquine et chaude, Pierre ne sait pas ce qu’il a perdu
_ Pierre n’aime  que les fellations et le coït, rien d’autre moi j’aime le sexe, les préliminaires, je crois que je suis une salope
_ Imagine qu’une personne sorte de l’ascenseur ou de l’escalier de secours, que va t-elle penser?
_ Je m’en moque j’assume
Sylvie était toujours accroupie, Pascal avait enfoncé deux doigts de l’antre de la belle, ressorti ils avaient titillé le petit trou, qu’il avait senti frémir puis de nouveau avaient pris place dans la chatte, l’autre main avait attrapé les cheveux, tirait, faisant relever la tête de son amie
_ Tu veux toujours être ma pute
_ Oui je le veux
_ Alors je te reçois comme telle et maintenant tu vas jouir ma pute
Les deux doigts dans la chatte se mirent à danser une farandole endiablée, de plus en plus vite, un gargouillis se fît entendre de plus en plus fort, la main était mouillée.
La belle n’allait pas tarder à exploser, elle se tortillait, Pascal lui réclama sa langue, les doigts accéléraient encore leur danse jouissive et ce fût l’explosion,  des jets, des flots de cyprine.
Le corps de Sylvie n’était que soubresauts et cris de jouissances qui se perdaient dans la bouche de son amant.
La tempête était passé, Sylvie revenue à elle le remercia.
_ J’ai jamais connu un tel orgasme, encore moins avec Pierre, je savais pas que j’étais une femme fontaine, merci mais maintenant à toi de prendre du plaisir.
_ Non, ce sera pour un autre soir….. J’ai une précision esthétique à formuler, je veux une chatte entièrement lisse et idem pour ton petit trou et aussi à partir de ce soir tu seras une sans culotte, pas de string ou tanga, cul nu par tous les temps et en tous lieux, même au travail.
_ Bien mon homme, il sera fait suivant tes désirs et uniquement les tiens.
Ils se firent un dernier baiser fougueux, elle prit l’ascenseur et lui le chemin de son domiciile ou l’attendait impatiente son éppouse.

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