Une baise peu commune!

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Une baise peu commune!
Il y avait déjà un moment que je caressais ce fantasme. J’avais il y avait plusieurs années vécus à quelques reprises des expériences du genre mais j’avais envie de le faire avec mon mari… de vivre ce moment si spécial pour moi avec lui. J’adore le sexe… en fait, mon mari et moi adorons le sexe tout court… peu importe comment ou avec qui c’est pour nous une activité aussi agréable ou normale que de jouer aux cartes ou de faire du vélo…

Préparer mon fantasme n’avait pas été de tout repos. Malgré le fait que celui-ci pouvait exciter beaucoup d’hommes, il n’y a malheureusement pas beaucoup d’hommes sérieux et prêt à passer à l’acte. Nous avions donc passé quelques annonces dans différents sites de rencontres et finalement étions arrivé avec une brochette d’une dizaine d’hommes qui viendraient servir mes envies…

J’avais demandé à mon mari de choisir les types, je me foutais complètement de leur allure, tant qu’ils avaient une queue qui bandait, n’étaient pas trop timide ( parce qu’ils ne seraient pas seul dans la pièce), s’ils avaient un gros gland tant mieux, sinon tant pis… ah oui, de préférence des types qui aimaient lécher un anus… ( une fille peut bien avoir ses préférences…!!!). Bah une orgie… c’est bien commun direz-vous…mais en fait j’avais demandé à mon mari quelque chose d’un peu particulier…

Lorsqu’ils arrivèrent au rendez-vous, mon mari les fit entrer. J’étais déjà installée à 4 pattes, le cul vers le haut, les jambes juste assez écartée pour que les lèvres de ma chatte ouvre légèrement comme un baiser invitant. Mes seins lourds pendait vers le lit, excité à l’idée de ce qui allait se passer sous peu, leur tétine était bien dure, et sensible… ma chatte perlait déjà un peu et mon anus battait la mesure. Pour ma part, j’entendais à peine ce qui se passait puisque j’avais des bouchons dans les oreilles qui tamisaient le bruit, je ne voyais rien puisque j’avais les yeux bandés. Je percevais leur voix comme un vague écho… je voulais ne pouvoir me servir que de mon sens du touché, du goûté, de mon odorat pour ce qui allait suivre… je voulais être un objet dans les mains de ses hommes… et tout cela pendant que je suçais mon mari.

Je sentis des mains sur ma croupe, sur mes seins… mon mari avait établit un ordre… et un petit jeu. Il y avait sur la table près de lui un dé et une minuterie. Chaque type avait 5 minutes pour me défoncer, me lécher, me titiller… il devait avant de me pénétrer tirer un dé… S’il avait un 20 ou un 1, il avait le droit de me prendre analement ( je n’étais pas au courant du règlement au début mais peu importe… j’étais à ce moment là un simple objet de plaisir).

Mon mari me présenta sa queue et les festivités commencèrent. J’adore prendre sa queue quand elle est encore molle… sentir la vie monter dedans et son gland grossir dans ma bouche et je ne fut pas déçue. Surprise aussi par la langue chaude et mouillée qui ouvrait à présent mon anus avec l’agilité d’une excavatrice. si je n’avais pas été aussi occupée à tenter de me tenir sur le lit, je me serais fortement caresser mais il m’était impossible de le faire sans m’écraser sur mon mari… La langue me donnait presque l’impression d’avoir une petite queue dans mon cul et j’haletais déjà comme une chienne sur la queue de mon mari qui se retira de ma bouche pour étirer un peu le plaisir… j’étais également sur le bord de jouir de ses caresses buccales lorsque je sentis une queue qui pénétra ma chatte. Une fois la surprise passée je pu apprécier un gland de taille bien moyenne mais qui tenait sur une longue tige qui venait taper contre le col de mon utérus. Des mains douces et jeunes pinçaient maladroitement mes tétons à chaque coup de rein pendant que la verge de mon mari s’enfonçait dans ma bouche. Malgré mes bouchons j’entendis la première sonnerie et la queue se retira de ma chatte pour laisser place à une queue beaucoup plus large qui me ramona comme une cheminée.

Excitée par le traitement accordée, ma bouche s’était transformée en véritable aspirateur et j’avalais avec ardeur l’engin de mon mari qui devait encore une fois se retirer de ma bouche pulpeuse pour éviter de se vider dans ma bouche sans avertissement. Mon ramoneur me défonça ainsi pendant tout son temps puis se fut la surprise agréable d’une langue sur mon clitoris qui me ramena à une autre sensation. Je sentais la tête de ce type entre mes cuisses, sa barbe chatouiller mes grandes lèvres, sa langue laper la cyprine qui s’échappait de ma chatte. J’étais un peu gênée puisque malgré mes bouchons je m’entendais beugler comme une truie en chaleur. Mon mari prenant une petite pause j’exigeais une queue a sucer… je voulais me sentir usée… utilisée… comme une gamine réclamant sa sucette, mon mari me ramena sa queue bien tendue pendant que numéro trois excité par mes cris de chienne en chaleur s’activait avec ses doigts dans ma chatte comme s’il voulait y construire un garage. Je ressentais un mélange d’excitation et de douleur me gagner et je ne voulais pas que cela s’arrête.

La sonnerie sonna une fois de plus et j’entendis une exclamation. Comme si l’équipe favorite de mon mari venait de marquer un but au hockey. Je sentis un jet de crachat sur ma rondelle et une queue y pénétrer sans trop de ménagement. Je faillis m’étouffer sur la queue de mon mari mais celui-ci prévoyant ma réaction me tenait la tête fermement sur sa queue… Le type semblait m’insulter à chaque coup de bassin, il giflait mes fesses, me tirait les cheveux. Je commençais à peine à me remettre de la surprise lorsque son temps se termina ( je n’étais pas déçue puisqu’il baisait comme un pied).

J’anticipais un peu le prochain participant mais au contraire, il me fit mouiller comme une petite chienne… Alors que je léchais avidement le gland de mon mari, mon nouvel amant parcourait de sa langue mon anus meurtris… il semblait apprécié le trou béant laissé par la précédente queue… de ses doigts, il caressa mes grandes lèvres, puis pénétra ma chatte avec un doigt puis deux… puis trois, sa langue caressant le pourtour de mon petit trou devenu grand. Je sentais les couilles de mon mari commencé à remonter, signe que l’éjaculation était éminente…et ce traitement était ma foi vraiment agréable mais j’entendis une fois de plus la sonnerie qui annonçais un nouveau partenaire.

J’avais la mâchoire en feu, l’anus aussi, mais des exclamations de joie puis des doigts remplis de lubrifiant me firent comprendre le lien entre l’exclamation et la pénétration anale. Plus doucement, je sentis une queue qui pénétra mon petit orifice. Le type y allait avait une infini délicatesse, laissant à mon anus le temps de bien s’adapter à sa queue… puis se couchant presque sur mon il caressait mes mamelles pendant qu’il faisait son mouvement de va et vient. Il caressait mon dos, mes cheveux. Puis la sonnerie retentit une fois de plus.

Une fois de plus je fus remplie, cette fois dans la chatte par une grosse queue bien dodue. Je pouvais sentir les parois vaginale s’étirer au maximum… je me mit à pomper sur la queue de mon mari comme si ma vie en dépendait… J’avais à la fois mal et envie de jouir rageusement, envie de hurler mais la queue dans ma bouche m’en empêchait. Soudain je sentis le jet chaud et salé du sperme de mon mari remplir ma bouche… je craché sans ménagement ( ben non … je ne suis pas avide de sperme…mais j’ai d’autres qualités! 😉 ) J’entendis le long râle de mon mari suivre le jet de sperme puis je le sentit quitter le lit. Je me retrouvais à présent isolée… avait pour toute sensation la queue énorme qui me dilatait la chatte ( je remerciais le ciel de ne pas avoir entendu d’exclamation avant de me faire défoncer par ce monstre).

Encore la sonnerie… deux queues qui bandèrent à peine me pénétrèrent ou tentèrent de me pénétrer… n’ayant plus à sucer, je me permis de me caresser avidement le clitoris. Je me sentais à la fois bien et en manque de sensation… j’en voulais plus. Mon mari voyant que je commençais visiblement à m’ennuyer décida de pimenter un peu les choses… c’était le temps de jouir… mais connaissant mon penchant pour la double pénétration, il s’organiser pour pairer les hommes de façons à ce que je ne sois pas trop malmener analement… ( il y a une limite au plaisir de la douleur) mais pendant plus de vingt minutes, je subis une fois de plus les assauts non pas d’un homme à la fois mais de deux.

À quatre pattes, je sentais un des type se glisser sous moi et m’empaler dans la chatte… principalement ceux qui avaient la plus grosse queue. Puis on me lubrifiait l’anus déjà distendu par les multiples pénétrations et on s’y glissait à qui mieux mieux… je gémissais, me tordais… à deux reprises j’ai même éjaculer sur mes partenaires tant le ramonage était intense… mais à la fin lorsque tous les hommes eurent éjaculer ( dans des condoms… je suis affamée de sexe mais pas suicidaire) j’étais épuisée. Mes jambes tremblaient sous l’effort… mon anus avais la taille d’une bouche de métro, mais chatte… j’avais l’impression de venir d’accoucher… malgré tout mon mari m’avais réservé une dernière petite surprise…

Je reconnue immédiatement ses caresses après 10 ans, j’aurais reconnu n’importe où sa manière douce de caresser mon dos, mes fesses…Puis doucement il se glissa dans ma chatte, je fus surprise de sentir une langue chatouiller ma chatte… mes tétons se remirent au garde-à vous immédiatement… je ne pouvais pas sentir si j’avais affaire à un homme ou une femme mais la personne savais s’y prendre question léchage. À l’occasion, elle prenait une lappée sur la queue de mon mari avant de la retourner dans ma chatte à présent aussi excitée qu’une pucelle. Je me balançais a présent sur sa queue… glissant du même coup sur la langue de mon admirateur secret… j’avais une envie folle de jouir… d’éjaculer…il ne manquait pas grand chose…Mon mari continua son mouvement lent, son gland frottant justement cet endroit si sensible, il sentait monter en moi ce plaisir qui allait sous peu se relâcher… et je le sentis lui aussi se relâcher par une salve bien sentie dans ma chatte… Là… entre mes jambes la langue continuait de s’activer adroitement, profondément… je crois qu’elle a même lapper les dernière gouttes de plaisir sur le bout du gland de mon amour avant de le laisser s’éloigner mais cette charmante langue me fouilla profondément. Son visage devait dégouliner de mon éjaculation mais la langue continuait à lapper… sucer… avaler ma chatte en entier…je sentis même au dernier moment des doigts fouiller mes entrailles à la recherche de dernière gouttes de sperme… par un dernier baiser sur mon clitoris endoloris mon dernier inconnu se retira de la chambre alors que mes derniers soubre-saut secouaient le lit puis je m’écrasai.

La place était à présent calme, aussi calme que la sensation de plénitude qui m’envahissait. Mon mari me retira mon bandeau, mes bouchons puis nous prîmes une longue douche en amoureux avant de quitter la chambre.

FIN

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