Amour aveugle pt1

Amour aveugle pt1
Solène se réveilla, elle sentait que son mari Pierre se tenait au-dessus d’elle.

Pierre: Tu as bien dormi chérie? dit-il en lui caressant le visage.
Solène: Oui, encore un peu fatigué à cause de la soirée d’hier,
Pierre: C’est vrai qu’on a fini la fête tard.
Solène: Tu peux me passer mes lunettes. Merci je vois mieux. Tu es habillé pour le travail?
Pierre: Oui, ma patronne m’a appelé, je dois remplacé Marc pour une réunion.
Solène: Mais on est dimanche en plus on avait prévu de réparer la sonnette.
Pierre: Je sais, ce sera rapide et je te promet que je répare la sonnette dès que j’arrive, tu n’auras pas besoin de te le faire.
Solène: Ok, mais tu as intérêt à revenir vite, les dimanches on les passe ensemble. Pas avec ta patronne.
Pierre: Je reviens vite.

Pierre embrassa Solène avant de partir. Après quelques minutes, Solène rentra dans sa cuisine pour prendre son petit déjeuner. Elle repensait à la soirée d’hier, elle fêtait avec Pierre leurs cinq ans de mariage. Ils se connaissaient depuis le lycée, elle n’avait connu aucun autre homme à part lui. Leur amis trouvaient qu’ils formaient le couple parfait. Solène était une jeune femme de 28 ans, plutôt petite, un peu potelé et au teint laiteux, blonde coiffée court avec des yeux bleus et une paire de lunettes. Elle a toujours voulu porter des lentilles pour corriger sa vue mais son mari trouve qu’elle est plus sexy avec. Pierre, lui est un jeune cadre de 28 ans, grand, brun, qui se maintient en forme ayant deux priorité dans la vie sa femme et son travail, mais dès fois le second prend le pas sur le premier, surtout depuis que l’ancienne collègue de Pierre, Sara, est devenu sa patronne. Ils s’entendaient bien avant mais elle était devenir sévère et infecte avec lui, l’appelant les jours de repos pour faire des travaux qui pouvait largement attendre. Cela faisait 2 années qu’ils habitaient dans cette maison, ils étaient dans un quartier tranquille. Le seul problème récent qu’ils avaient été leur sonnette qui ne fonctionnait pas.

Après son petit déjeuné, Solène décida de prendre sa douche et qu’elle attendrais le retour de Pierre. Elle prépara ses affaires sur son lit et posa ses lunettes sur sa table de chevet. Dans la salle de bain, elle fit glisser sa nuisette et rentra dans la douche. L’eau commença a coulé sur son corps, elle aimait bien prendre son temps, dix, vingt, trente minutes, sentir l’eau sur sa peau la calmait, les gouttes qui caresse ses courbes, la vapeur qui perles sur ces formes. Elle s’apprêtait à s’enduire le corps de savon lorsqu’elle entendit la sonnette. Pierre était rentré et avait tenu sa promesse. Il fallait récompensé cette gentillesse, surtout qu’elle n’avait pas eu trop le temps hier de lui faire un cadeau de remerciement pour les cinq ans de mariage. Elle entendait ses pas dans l’appart. C’est bien viens à moi, pensait elle. Tu as fais du bon boulot chéri, je crois que tu as mérité une récompense viens avec moi sous la douche, j’ai besoin d’aide pour me savonner. Elle entendit le bruit de ses vêtement tombaient par terre et sentit ses mains lui caresser le dos.

S’il vous plait, j’ai du mal à me passer le savon dans le dos, vous pourriez m’aider? Je promet d’être très gentille.

Elle lui passa le savon, elle sentait ses pouces fortes glissait des ses omoplates au creux de son dos alors que ses autres doigts défilés sur ses côtes et ses flancs. Elle posa ses mains sur celle de Pierre et en guida une vers sa poitrine et l’autre entre ses cuisses.

Tu te débrouilles bien, continues.

Elle sentait les lèvres de Pierre couvrir son cou de baisers alors qu’une de ses mains titillait son clitoris et l’autre lui saisissait fermement son sein gauche. Elle l’obligeait à aller plus en profondeur.

Il faut bien frotter.

Il commençait à glisser ses doigt dans son intimité tout en serrant sa poitrine. Solène en avait presque le souffle coupé.

Continue chéri, tu auras le droit à plus tout à l’heure.
Les caresses se faisant de plus belle, elle sentait au niveau de ses fesses poindre le membre viril de son amant.

Je vois que tu apprécies, attend je vais m’en occuper.

Elle se retourna, prit du savon sur sa poitrine et enduit avec le sexe de son partenaire. La vapeur d’eau troublait encore plus sa vue mais elle arrivait à le sentir durcir et s’allonger à chaque va et vient, elle si prenait lentement tout en malaxant, tirant, serrant de l’autre main les bourses de Pierre. Elle commença à l’embrasser pendant qu’elle frottait sur son ventre le gland gonflé de plaisir. Des mains vigoureuses lui agrippèrent ses fesses, elle sentait la mousse se formait sur sa peau. Il les écartait, les serrait, les pinçait. Et d’un coup un tape ferme firent claquer ses fesses.

On aime quand c’est sauvage.

Elle donna une tape sur son pénis qui se balança légèrement. Il était dure.

Passons aux choses sérieuse dans la chambre, suit moi.

Elle l’amena dans la chambre en le tenant par la queue, elle aimait mener la dance. Elle le fit asseoir sur le bord du lit et elle commença à s’agenouiller.

Hum tu es tout tendu, c’est ta salope de patronne qui t’oblige à venir le dimanche qui te rend tout stressé. Pour te détendre, je vais être aussi salope qu’elle mais comme tu aimes.

Elle posa ses lèvres sur son gland et l’embrassa.

Tu as besoin de détente, tu as bien travaillé.

Elle fit glisser ses lèvres en salivant jusqu’à la basse de sa verge. Elle mordilla délicatement la peau des testicules et commença à gober la paire de son amant tout caressant de son index la tête du pénis. Le bruit du succion se faisait entendre de plus en plus. Lachant prise sur les bijoux de famille de son amant, elle posa ses mains sur des cuisses fermes et et commença à pratiquer une lente et sensuelle gâterie. Pierre aime quand c’est lent mais j’ai envie d’être sauvage, sa patronne nous gâche tous nos week-ends. Il faut en profiter. S’enfonçant jusqu’à atteindre de ses lèvres le bassin de Pierre, elle commençait à caresser du bout des ongles les jambes du travailleur. Sentant sur son menton les testicules de Pierre, elle commença à se retirer puis à revenir plusieurs sentant la paire frôler le bas de son visage à chaque coup. Elle en profitais pour regarder Pierre dans les yeux mais elle n’arrivais pas à voir sans ses lunettes mais elle se sentait libérée sans, comme si elle portait un masque lui permettant de tout faire.Dans un dernier retirement, elle pressa de ses la verge de Pierre et produit un son de ventouse retiré fort et clair. Elle sentait des fils de salive joignant sa bouche au membre de son amant.

Je crois que je t’ai bien détendu, mais il faut que tu relâches tout cette frustration. Traite moi comme si j’étais ta patronne, punie moi.

Solène n’en revenait pas elle même de ce qu’elle venait de dire. Qu’ est ce qu’il lui était passer par la tête. N’étais-se pas elle qui devait extérioriser cette frustration. Elle n’eut pas le temps de réfléchir, elle fut soulever du sol et déposer violemment sur le lit dos à son amant. De fessés simultanée furent administrées. Cela lui faisait à la fois mal et plaisir de voir que Pierre se prenait au jeu. Son homme la saisi au bassin pour la faire cambré, les genoux et la tête contre le lit. Elle sentit des baisers à l’intérieur de ses cuisses qui se transformèrent en coup de langues et en suçons. Il se rapprochais de son clitoris. Il prend son temps, il veut me montrer que c’est un bon amant. Elle sentit s’introduire une langue agile en elle alors que des mains vigoureuses lui saisissaient l’intérieur des cuisses. La force exercée faisait qu’elle sentait plus intensément le visage de son amant contre son corps. Elle n’avait pas vu Pierre aussi vigoureux depuis longtemps. Les coups de langues firent place à des une mains qui caressait ses lèvres. La combinaison des frottement de main avec de la salive sur son clitoris l’excitait.

Aller, tu peux le faire, prend moi!

En quelque seconde, toujours dos à son amant, Solène sentit le membre de Pierre se frayait un chemin en elle lentement. Jamais elle ne l’avait sentit aussi dure. Il commença directement par des coups énergiques, lui saisissant les flancs. Le claquement de ses fesses contre son bassin raisonnait.

Continu comme ça chérie.

Les coups se faisait de plus en plus vite. Pierre la redressa d’un coup. Elle avait le dos collai à son buste et ses mains qui malaxaient ses seins. Elle saisit la tête de Pierre sur les côté et l’embrassa. Elle était proche de l’orgasme.

Prend moi sur le dos et délivre moi ta jouissance.

Sur le dos, Solène titillait Pierre avec ses lèvres qu’elle mordait de façon obscène. Son amant la pénétra et mis les jambes de Solène sur ses épaules tout en surélevant son bassin avec les mains. Solène n’avait plus que le haut du corps coller au lit. Elle se caressait tout griffant légèrement le ventre de Pierre. Elle sentait que le plaisir de Pierre était à son maximum, sa respiration s’accélérait.Elle même sentait qu’elle allait atteindre l’orgasme mais elle avait besoin de le sentir sur elle pour jouir.

J’ai envie que tu décharges tout sur mon corps, imagines que je suis ta patronne, humilies moi!

Il se retira, se rapprocha d’elle, Solène sentait les boules prêtent à exploser sur ses grandes lèvres. Elle saisit à deux mains la verge de Pierre qui se masturbait d’une main. Elle accéléra le rythme, la friction était intense. Et elle arriva à extraire la semence de son amant qui émit un gémissement. Un jet qui allait de son bassin jusqu’à son cou se rependait sur son corps. Elle frottait le gland contre son bassin pour en avoir un maximum sur son corps mais elle avait du mal tremblant du plaisir que l’orgasme lui procurait.

Chérie, tu es vraiment un étalon. Tu pourrais me passer mes pour que je vois comment tu m’as arrosée.

Une fois les lunettes sur son nez, elle vit le sperme dégoulinait de ses seins et rependu sur son ventre. Mais elle constata avec horreur qu’un inconnu était dans son lit. Elle fit un sursaut en arrière mais ne put crier.

Quand votre mari m’a appelé pour réparer la sonnette et qu’il a dit que vous me payerez grassement, je ne pensait pas que se serait aussi agréable. Je vais prendre une douche mais tout seul cette fois. Ne vous inquiétez pas la sonnette marche et je n’ai rien abîmé.

Solène resta aphone. L’homme parti dans la salle de bain. Qu’avait elle fait, pourquoi n’avait elle pas senti que ce n’était pas Pierre. Comment va-t’elle pouvoir le regardait en face. Elle qui n’avait connu que lui, elle venait d’avoir le plus grand orgasme de sa vie avec un parfait inconnu. Comment pourrait elle faire comme si rien ne c’était passé?

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