Promotion sur Canapé

Promotion sur Canapé
L’affaire fut rondement menée. Je n’ai pas l’habitude de perdre mon
temps. Il se trouvait qu’allait bientôt recommencer les migrations
estivales. Je devais notamment me coltiner pendant quinze jours la femme
et les marmots. Je goûtais moyennement ce devoir conjugal. Ajoutons à
cela que ma maîtresse dans le service m’avait claqué la porte au nez.
Pour être précis elle était passée avec armes et bagages chez un chef
dessus moi. Ravalant ma rancœur je devais faire bonne figure devant tous
ceux qui se réjouirent de mon infortune. Sauf Didier.

Celui-ci n’y allant pas par quatre chemins me demandait d’intercéder
pour une collègue et amie. Il était notoire que tous deux mariés
fricotaient ensemble. Cette amie Magalie était indéniablement un des
jolis lots de notre service. Elle m’avait un jour gentiment rembarré me
signifiant de son attachement profond à son amant. Loin de m’en
offusquer je pris bien la chose. Je convins que leur liaison pouvait
mériter le respect. Je n’y décelais rien de sordide ni d’une histoire de
cul. Aussi ne fus-je pas peu étonné que ce Didier vint m’appeler à la
rescousse.

Vraisemblablement Magalie avait du lui parler de ma tentative de drague.
Bref Didier me savait bien disposé à l’égard de sa chère Magalie.
Celle-ci pour la énième fois se voyait souffler un avancement qu’elle
convoitait depuis longtemps. Elle était à bout et prenait mal la chose.
En gros elle envisageait sérieusement de demander sa mutation dans une
autre entité où elle aurait plus de chance. Didier avait peur qu’elle
lui échappât à jamais. J’avais le bras long. J’avais notamment l’oreille
d’un chef suprême. Celui qui distribue les bons points. Je pouvais tout
arranger.

Je méprisais un peu cet avorton de Didier. D’humeur noire je concevais
mal à présent qu’il ait pu séduire et subjuguer une si belle nana.
Celle-ci elle-même me renvoyait au désagrément qu’elle m’avait un jour
refusé . Avais-je le droit de les aider ? Je crus devoir m’échapper par
une pirouette. Je soufflais à Didier qu’il m’envoyât sa miss. Je voulais
éprouver son degré de motivation pour la place. Je la reçus. Il faisait
chaud ce jour de juin. Une jupe courte et légère lui seyait bien. L’idée
me traversa qu’elle était autrement mieux gaulée que mon ancienne
maîtresse.

La Magalie n’en menait guère large. Penaude elle regardait ses pieds
qu’elle avait mignons. Un instinct prédateur m’indiquait de
l’opportunité du moment. Le hasard divin avait amené dans mon antre
cette biche. Avec une certaine muflerie je lui rappelais la circonstance
où elle m’avait refusé un déjeuner ensemble. J’ajoutais sardoniquement
que peu de ses collègues avaient dédaigné ce privilège. Je demandais
cyniquement si son ami Didier l’avait à l’époque poussé à ce refus. Elle
protesta que non. Elle dit qu’elle regrettait à présent. Ce déjeuner
n’avait rien que d’anodin.

La fixant droit dans les yeux je lui demandais s’il était vrai qu’elle
voulut demander sa mutation et partir d’ici. Elle me le confirma avec
cette fois un air bravache. Elle était manifestement à bout. D’un ton
méchant et ironique je demandais : »Ce jusqu »au point de laisser notre
ami Didier ? » Comprenant l’allusion et soutenant mon regard elle
répondit : « J’en prends le risque. J’ai envie d’autre chose. »
Réprimant ma joie intérieure, je fis un quart de tour sur mon fauteuil
affectant de réfléchir. Il me fallait porter l’estocade et poser mes
conditions.

J’usais de ces termes. « Je crois autant que Didier que je serais triste
que vous partiez. Vous êtes un bon élément. J’ai trop envie de vous
garder. Je peux faire je crois quelque chose. Seriez-vous disposée cette
fois à déjeuner avec moi ? » Elle sembla ne pas être surprise de ma
proposition. Elle l’avait sûrement anticipé. Elle sourit ajoutant : »Je
vous l’ai dit tout à l’heure. Je regrette amèrement de vous avoir refusé
l’autre fois. Donc c’est oui ! » Je rétorquais : « A moins que Didier
n’y porte son veto ? » Elle répliqua : « Il sera d’accord. Je vous
l’assure. »

Au cours de cette conversation, son comportement avait peu à peu évolué.
Outre qu’elle m’affrontait davantage du regard, elle avait maintes fois
croisé et décroisé ses cuisses en un jeu peu anodin de séduction. De
même le battement d’une mule au bout du pied me signifiait assez une
chose de l’ordre de l’excitation. Ses yeux brillaient. Quelque chose
caractéristique de la garce m’étant si familier. Je vis bien qu’elle
n’avait plus rien à voir de l’oie blanche et qu’elle n’avait cure de son
Didier. Bref je pourrais la sauter facilement. Elle savait ce que
voulait dire déjeuner avec moi.

Dans une semaine je serais vouée à ma seule femme que je baisais
péniblement car sans entrain. J’aurais sur la plage peu d’occasions de
quelques femmes ou gamines vicieuses. Bref le séjour de vacances ne
serait pas la fête du sexe. Aussi escomptais-je m’en dédommager avant.
J’obtins du chef suprême un coup de pouce pour la carrière de Magalie.
Celui-ci était un ami. Il comprit en un clin d’œil que j’avais vent
d’att****r cette fille. Il savait mon dépit récent avec la précédente.
En copains solidaires, il voulut me remettre le pied à l’étrier.

Le surlendemain, la petite était à mes côtés dans la voiture. Elle avait
une robe plus courte que l’autre fois. Elle s’était maquillée plus que
de raison. Elle avait par trop exagéré. J’eus envie de lui dire : Cela
faisait pute. Je m’en gardais et me contentais de lui caresser la
cuisse. Elle se laissa faire. Nous en étions à une conversation sur son
amant Didier. J’étais résolu à savoir si elle l’aimait encore. Elle me
dit sans ambages qu’il la lassait. Elle m’assura qu’elle avait envie
d’autre chose. A un feu rouge je pus l’embrasser. Sa main me caressa à
un endroit particulier.

Je ne mégotais jamais sur la qualité d’un restaurant quand il s’agissait
de sauter une petite. Je n’eus pas de peine à la faire boire. Elle était
tout excitée et me caressait du pied sous la table. Je lui fis observer
que nous étions entourés et que cela susciterait du scandale. En outre
nous avions plus de vingt ans de différence et que je pourrais être son
père. Elle rit protestant qu’elle avait été toujours attiré par le style
d’homme mur et de pouvoir. Elle regrettait maintenant de ne pas m’avoir
dit oui la première fois. Je lui proposais que nous passâmes ensemble
l’après-midi.

Je me faisais fort de l’excuser auprès de son chef de service. Je
demandais cependant si son amant ne lui ferait pas de scène. Elle me fit
comprendre que celui-ci s’était un peu résigné à cela. N’étais-ce pas un
peu le prix pour qu’elle demeurât encore dans le service. Je m’exclamais
heureux et triomphant : « En gros. Tout le monde y trouve son compte.»
Dans la hâte nous ne trouvâmes qu’un hôtel vulgaire en sortir
d’autoroute. La chambre était sommaire. Nous nous jetâmes l’un sur
l’autre tels deux morts de faim. Je ne fus pas peu impressionné par sa
fougue.

Elle s’accroupit malicieux tel un singe et m’extirpât la bite pour la
branler et sucer. Le doute me traversât qu’elle ne suçait pas qu’un mari
et Didier. Cette dextérité signalait plutôt la garce et salope férue de
ce genre de geste avec moults hommes. J’eus du repérer son vice avant.
J’eus du réitérer mon offre de restaurant. Je l’eus obtenu à peu de
prix. Ce Didier était un sot et cette Magalie, une pute. Elle préféra
que je l’entrepris sur le canapé. Elle goûta que je lui léchas la chatte
puis les pieds. J’adorais le frais de cette chair. J’en devins fou à
partir de cet instant.

A mon âge fort avancé je n’avais autant baisé avec une garce. Je ne sais
où je pus trouver pareille énergie pour recommencer tant de fois. Au
propre elle me vidât les couilles. Riant je m’écriais : Tu veux ma mort
ou un arrêt cardiaque ? » Encore que je trouvas bon de mourir de la
sorte. Il m’importait peu du scandale en résultant pour la femme et les
enfants. Je l’assurais de sa promo. C’était acquis. En retour elle me
dit qu’elle savait pour ma précédente maîtresse et qu’elle voulait la
remplacer si je voulais. Didier accepterait. Nous baisâmes encore au
seuil de nos vacances.

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