Rendez-vous avec une soumise

Rendez-vous avec une soumise
J’avais fixé rendez-vous à L., une soumise que je vois de temps en temps, sur une place pas très loin de chez moi.
Quand je suis arrivé près d’elle, je l’ai fait monter à l’arrière de ma voiture et lui ai dit de mettre le bandeau qui se trouvait sur le siège.
Après quelques minutes de trajet, je la faisais descendre dans mon garage, ses yeux toujours bandés. Je lui ai mis aux poignets des bracelets de cuir avec un anneau et, à l’aide d’une chaîne, les ai attachés à un crochet au plafond.
L. était désorientée et respirait rapidement.
J’ai ouvert son chemisier, écarté son soutien et sorti ses seins. J’ai relevé sa jupe, baissé sa culotte et enfourné 2 doigts dans son sexe déjà trempé.
Puis je l’ai laissé là, dans le noir, le temps d’aller chercher un peu de matériel….

Quand je suis revenu quelques minutes plus tard, je l’ai déshabillée et lui ai passé un corset et l’ai serré, des chaussures plateformes ainsi qu’un collier de cuir avec la lourde chaîne qui y était attachée.
Avec 3 doigts j’ai vérifié qu’elle était encore plus mouillée qu’avant.
Ses mains ont été attachées dans son dos et je l’ai guidée à l’intérieur en la tirant par la chaîne reliée à son collier.

Je l’ai fait mettre à genoux, les jambes écartées et attaché ses poignets à ses chevilles. Sa bouche a été bâillonnée avec une boule retenue par une courroie en cuir.
Mes mains ont effleuré son corps. Je la sentais frissonner de sentir ce contact sur ses bras, ses jambes, ses joues, ses seins, son sexe.
Pendant ce temps, je suis disais quelle salope elle était de s’être déplacé jusqu’à chez moi pour se faire traiter comme un pute soumise.
Quand j’ai senti que mes doigts qui ,s’étaient concentrés sur son sexe allaient la faire jouir, j’ai brusquement arrêté et lui ai dit que plutôt que de penser égoïstement à son plaisir à elle, elle devait s’occuper du mien , en bonne pute soumise qu’elle était.
Je lui ai retiré le bâillon et lui ai dit de lécher ma bite et de la sucer, que je savais qu’elle n’attendait que cela.
Je l’ai laissé faire tout en caressant toujours ses seins, son sexe et son cul.

Après un moment je l’ai arrêté et l’ai fait monter sur une table, à genoux les jambes écartées, les épaules contre la table. Je lui ai ordonné de mettre ses mains sur ses fesses et de les écarter pour que je puisse voir son cul et son sexe entrebâillés. Elle était sans pudeur, me dévoilant son intimité.
Je lai ai fait répéter :’je ne suis qu’une pute, une grosse salope….’ et ai répondu que les salopes méritaient une punition.
Elle a dû compter lentement jusqu’à 20 et à chaque chiffre ma main s’abattait sur ses fesses qui rougissaient de plus en plus. Au chiffre 8, elle a hésité et a dû recommencer depuis le début.
Arrivé à 20, son cul était rouge et chaud. Ma main aussi d’ailleurs et j’ai dit à cette salope qu’elle devrait avoir honte de me faire faire cela parce que c’était juste pour son plaisir à elle, juste parce que je savais qu’elle voulait être traitée comme une traînée.

J’ai mouillé 2 doigts sur son sexe et en ai pointé un vers son anus, l’autre restant dans son sexe. Doucement elle s’est déhanchée pour s’empaler le cul et la chatte sur mes doigts.
Je la sentais qui s’agitait de plus en plus vite. Plusieurs fois je lui ai ordonné de s’arrêter immédiatement puis l’ai laissé reprendre un peu plus tard, quand elle avait ‘refroidi’.

Après un moment, je l’ai mise debout à côté de la table et lui ai attaché les poignets par devant et les coudes dans son dos.
Je l’ai penché sur la table à angle droit. Les paumes de ses mains appuyées à plat sur la table et j’ai écarté ses jambes. Je lui ai aussi remis le bâillon boule. Tout cela en continuant de la traiter de salope, pute et traînée.

Je me suis mis derrière elle et ai empoigné ses fesses à pleines mains en les écartant.
J’ai trempé ma bite dans sa chatte pour la mouiller puis j’ai pointé mon gland à l’entrée de son anus. Doucement le gland s’est introduit puis le reste de ma queue.
Elle gémissait dans son bâillon à chaque fois que je m’enfonçais plus profond et respirait par saccades.
Quand j’ai buté sur ses fesses et que je ne pouvais plus avancer je suis resté là immobile. Dans sa position, elle pouvait à peine bouger. De temps en temps je contractais ma bite au plus profond de son cul et je regardais les frissons qui la parcouraient.
Puis je suis ressorti presque complètement ne laissant que le gland dans son cul. Je me suis mis à faire des petits mouvements d’un ou deux centimètres maximum.
Elle recommençait à gémir puis quand elle s’est habituée à ce mouvement je me suis enfoncé plusieurs fois à fond et rapidement. Mon bassin claquait contre ses fesses que je serrais toujours dans mes mains.
Mais je n’ai pas fait ce mouvement longtemps pour ne pas la faire jouir de suite……

Je me suis retiré, ai détaché ses bras et l’ai couchée le dos sur la table.
Ses poignets ont été attachés à ses chevilles, toujours avec les bracelets de cuir, et les ai attaché à la table pour qu’elle ne puisse pas refermer ses cuisses.
Je pouvais voir son sexe ouvert et humide et son anus encore distendu. Je l’ai caressé : 2 doigts dans le cul, 2 dans la chatte et le pouce massant son clitoris. J’ai aussi utilisé le vibromasseur qui l’accompagne partout jusqu’à la faire jouir et quand elle a commencé a se tendre violemment sous la jouissance j’ai encore continué à la branler ….
Je l’ai détachée et enlevé la bâillon et lui ai ordonné de se mettre à genoux devant moi, tête en arrière et bouche ouverte.
Comme je suis magnanime, je n’ai rien dit quand j’ai vu une de ses mains qui caressait son clitoris.
Je me suis branlé sur elle. La première giclée de sperme a traversé tout son visage, les autres ont été dans sa bouche.
Je la traitais encore de salope, lui disant qu’elle avait enfin ce qu’elle était venue chercher et que maintenant elle devait nettoyer ma bite et bien la vider du foutre qui s’y trouvait encore.
Elle m’a obéi et m’a sucé puis, avec un doigt, a ramassé le sperme sur son visage et l’a avalé goulûment.
A mon ordre, elle a été se rhabiller, je lui disais qu’elle avait assez pris sur mon temps et que j’avais des choses plus intéressantes à faire qu’à essayer de calmer une chienne en chaleur. Que de toute façon le feu qu’elle avait au cul ne s’éteindrait jamais. Elle s’est excusé de m’avoir dérangé et m’a remercié de la bonté que j’avais témoignée à la pute qu’elle était.
Je lui ai remis son bandeau fait monter en voiture et reconduit jusqu’à l’endroit où j’étais venu la chercher.

Si vous êtes une femme, ou un couple, et que vous voulez vivre une histoire semblable, il vous suffit de m’envoyer un message. Nous pourrons convenir d’un scénario qui convienne à tous.

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