La belle-mère espionnée (7)

La belle-mère espionnée (7)
Jacques resta en arrêt, net, dans l’entrebaillement de la porte. Face à lui, assise sur le lit, Monique se couvrit les seins, couverts de sperme, de ses mains. Et de mon coté, je rangeais mon sexe dans mon caleçon. Il s’approcha de sa femme, les yeux rougeoyants, de larmes et de colère.
– Pourquoi tu me fais ça ?
Il considéra la culotte du maillot de sa femme trainant sur le sol. Monique croisa les jambes.
– Tu as baisé aussi ?
Il se tourna vers moi et me dit à haute voix :
– Tu as baisé ma femme ?
J’avoue que je ne m’attendais pas à cette intrusion, et je ne savais pas trop quoi répondre au malheureux. Il ne se doutait pas que sa femme avait une sexualité secrète, pas tant avec moi, mais avec Paul, ou se livrant à des actes toute seule. Il ne se doutait pas vraiment pas. Monique avait toujours été pour lui la femme gentille, s’occupant de l’entretien de la maison, des courses, prudente avec les économies, veillant sur les enfants.
Il regarda à nouveau sa femme. Il lui décrocha une giffle magistrale qui lui fit tourner la tête sur le coté.
– Tu dégages. Tu prends une valise et tu dégages.
Monique jeta un oeil vers moi, je compris qu’elle était mal, et Jacques lui administra une seconde giffle, sur l’autre joue. Monique tomba à la renverse dans le lit. Jacques lui criait dessus.
– Tu me fais croire que le sexe ne t’interresse pas, ou que tu n’as jamais envi, et tu me fais ça ! Après toutes nos années de mariage ! Tu vas voir ce que je vais te faire moi !
Jacques déboutonna son pantalon, et s’approcha de Monique qui était allongée sur le coté. Il la poussa violemment pour qu’elle soit couchée sur le ventre, et lui écarta les fesses.
– Non ! Non !! salop !! fit-elle, tandis qu’il frottait sa queue, pas tout à fait dure encore, entre ses fesses.
– Je vais t’enculer. Tu m’as toujours dit que tu trouvais que c’était ce qu’il y avait de plus déshonnorant pour une femme. Je vais t’enculer.
– Faudrait déjà que tu sois capable de bander, pour ça !! répondit Monique.
Sans vergogne, Jacques se suça deux doigts, et lui enfonça profondemment dans les fesses, completement à fond. Monique fit la grimage en se cambrant, se recevant un troisieme doigt qui glissa à coté des deux autres.
Il lui baisa le cul avec les doigts avec vigueur, sans s’interrompre malgré les rales répétés de sa femme. Puis, devenu dur, il sortit ses doigts, et enfonça son sexe, d’une taille plutot impressionante (plus grosse que ma queue en fait), dans le cul de Monique.
Monique me regarda à nouveau, les larmes aux yeux, sans rien dire. Son visage appelait à l’aide. Je ne savais pas trop quoi dire. En fait, j’avais surtout envi de partir, je me sentais carrement de trop. Mais j’avais peur d’une réaction violente de Jacques. Et j’étais mal de laisser Monique seule avec cet individu énervé.
Jacques passait sa queue du cul à la chatte de sa femme, en alternance. Il tapait deux minutes au fond de sa chatte, puis sortait, allait dans son cul, tapait dedans pendant deux minutes également, et ainsi de suite.
– Arrête ! Arrête ! fit Monique. Je… Je vais pisser…
– Oh ! salope ! fit Jacques.
Il sortit d’elle, l’asseya sur le bord du lit, et lui écarta les cuisses. Du bout des doigts, il attrappa les grandes levres de la chatte de sa femme, dans le pubis fourni, et tira de chaque coté, délicatement, pour les écarter. Monique avait la chatte bien ouverte, devant son mari, et moi.
– Arrete, j’ai honte, fit-elle.
Jacques me regarda.
– Tu ne trouves pas qu’elle mérite ce que je lui fais ? Qu’aurais tu fait si la femme avec laquelle tu vis depuis tant d’années te fait ça ? La mère de tes enfants ? Comment ça a commencé vous deux ? C’est toi qui l’a approché ? ou c’est elle qui est venue à toi ?
– C’est elle, murmurai-je.
Jacques tira un peu plus sur les grandes lèvres, écartant au maximum la chatte de Monique.
– Giffle lui les seins, elle le merite non ? Tu ne penses pas comme moi ?
Je ne savais pas trop quoi penser.
– Oh non, s’il te plait, me fit Monique, le regard perdu. Fais le s’arrêter. Jacques, je te demande pardon…
Je m’approchais, et donna une tape qui claqua fort sur le sein gauche de Monique, juste contre son aréole. Monique m’implora du regard une dernière fois.
– Giffle la ! Elle m’a trahi, elle te trahira aussi, fit Jacques.
Je mis une giffle violente sur la joue de Monique. Elle ne put retenir ses sanglots.
– Pince lui son clit ! et tourne ! Fais lui mal !!
Sans reflechir, je regardais la chatte completement ouverte de Monique, dont le clitoris prohiminant était facilement trouvable. Je le pris entre deux doigts, pinça, et me mit à tourner fort. Un jet de pisse sortit à ce moment là de la chatte ouverte.
Aussitot, Jacques se redressa, et plongea sa queue dans la chatte de sa femme. Celle ci continuait de pisser en meme temps, sous les coups de queue de son mari. Je voyais l’urine couler à flots de sa chatte, ruisselant entre ses cuisses jusque sur les draps du lit. Je recommençais à bander. Jacques s’en aperçu et me fit :
– Profite encore une fois de ses trous !
Il la tira vers elle, se trouvant couché sur le dos, avec Monique installée sur lui. A nouveau sans reflechir, je sortis ma queue, et tandis que Jacques baisait la chatte de sa femme, je lui écartais les fesses et m’approchais. Jacques ralentit la cadence, puis s’immobilisa, le temps que je prenne ma place. Je ne m’étais jamais imaginé un jour sodomiser ma belle mère. Et voilà que j’étais en train de le faire. Son cul était étroit et j’étais extremement excité d’être enfoncé dans ses fesses. Jacques se remit à la baiser, en j’en fis de meme, sentant le sexe de mon beau père au travers de la fine cloison qui me séparait de sa chatte.
On la baisa ainsi, fort, pendant une dizaine de minutes. On sentait sa pisse. Nous en étions couverts. Je démontais completement le cul de ma belle-mère, et j’éjaculais au fond d’elle en étant épuisé. Jacques éjacula dans sa chatte presque en meme temps que moi.
– Vous… Vous êtes des salops ! marmonna Monique en se levant et essayant de marcher un peu.
– Tu vas où, connasse ? je veux que tu sois sur que tu ais joui.
Jacques flanqua trois giffles d’affilées à Monique, puis lui enfila quatre doigts dans sa moule, dégoulinante de pisse et de sperme, et la travailla fort. Sa main disparaissait presque dans sa chatte. Il la travailla un bon moment, puis sortit sa main, pour voir des gouttes de mouille couler de la chatte de sa femme.
– Oh oui, tu as aimé salope.
Monique me regarda, et son visage se transforma. Elle me sourit, et embrassa langoureusement son mari. Jacques fit ensuite quelques pas vers moi.
– C’est pas ma femme la salope. C’est toi le salop qui fout la merde. Je joue souvent des jeux de roles avec ma femme, au niveau sexuel. Sinon j’ai du mal à bander fort. Ca me stimule. Et elle aussi. Dans un jeu, elle m’appelle Paul, et elle doit faire tout ce que je lui demande, comme si j’étais son maitre. C’est moi que tu as contacté par email. Et j’en ai tout de suite parlé à Monique.
– La question, fit Monique, c’est comment sais tu autant de choses sur moi ? Tu as placé une caméra quelque part ? J’en suis sure. Enlève la, ou nous parlerons de certaines choses te concernant à notre fille.
– Oui, je… je vais l’enlever.
– Bien, fit Monique.
Puis, le regard severe, elle ajouta :
– Tu me voyais en difficulté, maltraitée, et tu n’as pas cherché à m’aider. Mets toi à genou.
Jacques passa derrière moi, et me força à me mettre à genou. Monique s’approcha, et s’ouvrit la chatte qu’elle vint se posa contre mon visage. Le sperme coulait d’elle, et elle se remit à pisser, trois longs jets brulants, qui m’innondèrent.
Et qui me firent comprendre, je pensais controler un jeu. Et j’avais tout faux.

Fin

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