Cochonneries

Cochonneries
“Tu sais pas ce que H a dit de toi juste avant ? Qu’il avait entendu dire que tu avais une excroissance au coccyx, une sorte de queue de cochon …”
L rit doucement, mais suffisamment pour avaler de travers, ma tête étant posée sur son torse pour mieux sentir l’odeur douce de ses longs cheveux bouclés. H était, lui, tout près, sa cuisse sous la main du garçon. J’embrassai lentement ce dernier, qui fit de la main signe à H de s’approcher. On se mit alors tous les deux à le caresser à travers ses vêtements. Il se comportait en vrai maître depuis un moment, jouissant vraiment de nous voir lui porter toutes les attentions possibles, et de nous mettre en compétition pour ses faveurs. Il gardait d’ailleurs un calme olympien, même lorsque nous nous mîmes à lui toucher avec une précision toujours plus grande le sexe à travers son pantalon, ou bien les tétons à travers son t-shirt. Un peu lassé par ses manières de seigneur, je lui mordis l’oreille. Sa réaction fut impitoyable : il me tira les cheveux vers l’arrière, et m’embrassa voracement, sans tendresse. H, assistant à cela, ouvrit la braguette de notre partenaire de jeux, et inséra sa main entière dans le pantalon. Cette fois-ci, L se redressa, ôta son pantalon, et se rassit, son sexe en érection très en évidence à travers le tissu de son caleçon moulant, en exigeant que nous fissions de même. En garçons obéissants, nous fîmes de même, à ceci près que L exigea de nous de retirer nos sous-vêtements. Rassis sur le canapé, nous fûmes masturbés doucement par le jeune homme, simultanément. Dans un moment d’excitation un peu exagérée, je demandai si je pouvais le sucer, et il me regarda bouche bée, comme si ma proposition avait quelque chose de choquant. Alors il revit totalement la disposition : je fus contraint de m’allonger sur le dos, L mettant son cul au-dessus de ma bouche, pendant que H lui prodiguait une fellation. Cette position le fit beaucoup rire de nous. Lorsqu’il se lassa, il demanda à ce que je sois enculé par H, pendant que lui nous regarderait. H était déjà un partenaire connu, mais me faire défoncer avec ses manières un peu brutales devant notre maître m’assura un plaisir complet, encore qu’un peu gêné. D’ailleurs H eut très vite un râle un peu suspect et jouit sur mes fesses, assurant la délectation de L qui vint lécher le foutre sur mes fesses, le trouvant manifestement à son goût. Je dus rester à quatre pattes de force, mes deux partenaires poursuivant leurs jeux hors de mon champ de vision.Je les entais respirer très fort, voire gémir, sans pouvoir rien faire. Finalement, je me retournai, et je vis L en train de fourrer le cul de H, son corps maigre, blanc et sans poil tranchant avec le type moins fin de l’homme qu’il prenait plaisir à limer d’un joli pénis de belle circonférence rendu brillant par le préservatif. Lorsqu’il réalisa qu’il était vu par moi, il se retira, ôta la capote, la retourna pour enfin se masturber et éjaculer dedans un beau sperme sans l’épaisseur grasse qui rend certains foutres dégoûtants. Il me jeta alors le plastique souillé au visage, me faisant comprendre que c’était là ma seule consolation, pour avoir cherché à voir ce que je ne devais pas voir. Frustré, je me mis à supplier ridiculement, à pleurnicher, et à ramper. L fut longtemps intraitable, posant même un de ses pieds blancs sur ma tête. A la longue, il s’adoucit, et demanda à mon camarade et moi des excuses pour s’être moqués de lui et avoir écouté ces rumeurs sur cette queue. Nous nous excusâmes, et L s’allongea sur le dos, son corps nu étendu sur le sol, ses cheveux presque roux étendus en auréole autour de sa tête. Il m’autorisait enfin à rendre tous les hommages à son corps délicat de prince un peu despotique. Je l’embrassai longuement, le mordis, le griffai sur de vastes pans de la peau, jusqu’à ce qu’il se retournât, se mît à quatre pattes, et m’autorisât, en me tendant un préservatif, à le pénétrer, non sans quelques efforts de la langue et des doigts à la porte de son cul. Lorsque je jouis, je me retirai, les joues en feu, épuisé par des lubricités que je contrôlais encore mal pour m’allonger au plus près du garçon, tandis que H nous rejoignait, et s’étendait tout contre.

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir