collègues et amants

Bdsm

collègues et amants
Je m’appelle Maryse. Je suis mariée, j’ai aujourd’hui 37 ans. Je suis blonde les cheveux mi-longs au carré, les yeux d’un très joli bleu profond ; petit gabarit, 1m53 pour environ 47 ou 48kg, une petite poitrine (85B) avec de gros mamelons très proéminents, un petit ventre plat, et des jambes fines et musclées, des mollets bien galbés.
Lorsque j’ai rencontré celui qui est devenu mon mari, j’avais tout juste 18 ans, lui 25, et je n’avais jusque là jamais eu de rapports sexuels avec un autre homme. Nous nous sommes mariés 2 ans après et notre fils est né 5 ans plus tard.
Nous avons filé le parfait amour durant de nombreuses années jusqu’à ce jour de juin 1996 …

J’aime m’habiller de manière sexy, toujours très féminine jusque dans mes dessous, parfois même provocante. J’aime aguicher les hommes, sentir leur regard se poser sur moi, les sentir me désirer, me dévorer des yeux même. Dans ma panoplie d’allumeuse, il y a les mini jupes, les petites robes courtes, les petits hauts décolletés et s’arrêtant au dessus du nombril pour laisser voir mon ventre, les pantalons moulants à taille basse (très basse), les talons hauts. Et puis, il y a aussi le parfum que je choisis toujours sensuel et capiteux. Cela attire toujours les hommes et souvent leur sert de prétexte pour engager la conversation par un compliment. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai ainsi été accostée que ce soit dans la rue ou dans les centres commerciaux mais, je n’ai jamais poussé le jeu de la séduction au-delà et mon mari reste le seul homme a m’avoir possédé sexuellement. Mon mari certain de ma fidélité, me laisse « jouer » sans jamais me rapprocher quoi que ce soit. Je pense même qu’il en retire une certaine fierté voire peut être même de l’excitation lorsqu’il surprend le regard avide un homme rivé sur moi. Il doit lui même s’imaginer les pensées lubriques en train de germer dans le cerveau de ces mâles croisant une telle créature.

… Mais voilà, depuis quelques semaines il y a un homme qui me fait tourner la tête. C’est l’un de mes collègues de travail. Nous travaillons tous les deux dans le même service hospitalier. Nous discutons souvent tous les deux. Il est divorcé, n’a qu’un seul fils comme moi, et coïncidence, nos enfants portent le même prénom. Il est grand, brun, les yeux noisette et il est aussi plus jeune que moi car il a 36 ans. Tout chez lui m’attire, son physique athlétique, son charisme, son sourire ravageur, ses yeux .
Outre le fait qu’il plutôt mignon et très attirant physiquement car très sportif, il est également charmant car souriant, plaisante souvent, tout en étant courtois et prévenant. Bref le genre d’homme qui ne laisse pas une femme indifférente.
Nous nous sommes insensiblement rapprochés en quelques semaines et aujourd’hui Il me propose d’aller boire un café à la débauche en dehors de l’hôpital. Un peu surprise mais flattée, j’accepte sans hésiter, et nous nous retrouvons dans un café que nous choisissons un peu éloigné de notre lieu de travail afin de ne pas croiser de connaissances professionnelles. Nous restons un long moment à discuter tout en dégustant notre café et à contre coeur nous nous levons pour rejoindre nos voitures. Au moment de nous dire au revoir et de nous faire la bise, il me prend par la taille et m’embrasse sur les lèvres tendrement. Je n’oppose aucune résistance et nos bouches s’ouvrent, nos langues se mêlent et ses mains me caressent le dos. Nous échangeons un long baiser langoureux avant de nous séparer pour rentrer chez nous. Je rentre chez moi sans trop savoir comment, le soir je suis tellement perturbée que je n’arrive pas à manger, j’écoute à peine mon mari et je trouve le sommeil très difficilement.
Le lendemain, nous nous retrouvons au travail, essayant de nous comporter « normalement » mais cela me demande des efforts considérables pour ne pas lui sauter dessus. Profitant d’un moment de tranquillité, il me propose de nous rejoindre de nouveau après le travail, mais cette fois ci, me propose d’aller dans un parc. Nous nous garons sur le parking d’un jardin public à l’écart des rares voitures déjà présentes et profitons de cet après-midi ensoleillée pour marcher autour du lac. L’endroit est quasi désert à cette heure de la journée et nous nous allongeons un moment dans l’herbe. Je m’installe sur le dos et il me prend dans ses bras Nous nous embrassons de nouveau comme la veille langoureusement mais encore plus longuement. Nos bouches sont collées, nos langues inséparables. Ses mains se font de plus en plus caressantes Il a passé son bras gauche sous mon cou et me tient par l’épaule tandis que sa main droite se glisse sous mon petit débardeur, ses doigts s’insinuent sous la dentelle de mon soutien gorge, en écartent le tissus et commencent à jouer avec mes tétons qui sont déjà durs et encore plus gonflés que d’habitude. Je me retiens de gémir mais je suis excitée comme rarement. Je sens que je suis en train de mouiller. Et sa grosse main continue à me peloter, elle me pétrit maintenant les seins tout en jouant avec mes tétons. Je sens qu’il est lui même terriblement excité. Il est collé contre moi, il frotte son bassin contre ma cuisse et je ressens très nettement une bosse qui ne cesse de grossir dans son entrejambe. Il est de plus en plus excité et pousse des râles d’excitation sans cesser de m’embrasser, sa main malaxe de plus en plus frénétiquement ma poitrine, l’abandonne à peine le temps d’une caresse sur mon ventre pour revenir au plus vite vers mes seins, jusqu’au moment ou n’y tenant plus, sa main descend franchement sur mes cuisses, les caressent un instant avant de remonter vers mon sexe. Je dégouline, mon string est à tordre, mon coeur bat à 100 à l’heure, je gémis de plaisir et d’excitation, mon corps est parcouru de frissons. Il écarte le petit triangle de tissus et découvre ma vulve, joue avec mon clitoris avant d’enfoncer un doigt entre mes lèvres intimes. Je suis maintenant totalement sous son emprise, incapable de résister, j’écarte les cuisses et j’ondule du bassin afin de sentir encore plus ses doigts s’enfoncer en moi, mes mains se crispent, ma respiration se fait de plus en plus haletante, je suis emportée par un orgasme, secouée par les spasmes du plaisir ….
Je retrouve mes esprits au bout de quelques minutes, il est là penché au dessus de moi, il me regarde tendrement. Je n’en reviens pas, je viens de jouir en pleine nature pour la première fois avec un autre homme que mon mari. Il est toujours collé contre ma cuisse, et je sens toujours son sexe tendu. Je fais glisser ma main dans sa direction et commence à le caresser au travers de son pantalon. Il est dur comme un roc et me semble plutôt bien proportionné. Je m’enhardis, je défait les boutons et glisse ma main sous son boxer. Son pénis est non seulement tendu, mais il me parait vraiment gros. Je n’y tiens plus, avec mes deux mains, j’ouvre un peu plus son pantalon et je dégage son sexe. Je me suis trompée, il n’est pas gros, il est énorme … Comparé à celui de mon mari qui est « dans la norme », il doit bien faire 5 ou 6 cm de plus de long, et en grosseur au moins le double !!! Je me met à caresser le gland qui est déjà recouvert d’un peu de liquide visqueux. Je continue à caresser ce membre, je sens qu’il est terriblement excité et qu’il ne va pas tarder à jouir. Il me demande d’interrompre la branlette.
« Arrête un peu … je vais venir sinon »
« Tu n’en as pas envie »
« Si mais pas aussi vite … et … pas comme ça »
« Comment alors »
« Dans ta bouche »
« ici »
« oui pourquoi pas »
« non là , ça me gène »
« ça te gène de me prendre dans ta bouche? »
« non c’est pas ça …. mais pas ici … n’importe qui pourrait nous voir »
« ok, je sais où alors … viens … suis moi»
Il se relève alors, reboutonne son pantalon m’aide à me redresser et m’entraine dans sa voiture. Nous nous glissons sur la banquette arrière et j’ouvre moi même son pantalon. Son sexe est toujours raide et je le saisis dans ma main le masturbe, approche ma bouche de ce membre qui m’apparait vraiment monstrueux. Je commence par le lécher, le gland d’abord puis tout le long de sa hampe, ma langue court de haut en bas le long de cet arbre, je lui masse les couilles en même temps puis après quelques minutes de ce traitement, je commence à le sucer. Là encore je commence par le gland que je suce seulement du bout des lèvres au début, puis je le prend un peu plus en bouche avant de descendre un peu plus. Son pénis est tellement démesuré que j’ai du mal à en introduire plus de la moitié, mais je fais de mon mieux. Il apprécie car il gémit, sa tête est rejetée en arrière, ses yeux fermés, une main repose sur ma tête, caresse mes cheveux et l’autre me pétrit les seins. Je le suce toujours quand je sens tout son corps se tendre, ses mains se crispent, celle qui me caressait la tête empoigne fermement mes cheveux et m’oblige à enfoncer plus profondément sa bite dans ma bouche. Il Jouit à ce moment là. Je reçois plusieurs jets de sperme chaud au fond de la gorge. Il m’envoie une telle quantité de liquide que j’ai du mal à tout avaler, du sperme et de la salive coulent hors de ma bouche le long de son membre et sur ses couilles. Je m’applique alors à le lécher pour ne rien perdre de sa semence.
J’aurais tellement aimé continuer, mais il était plus que temps pour moi de rentrer.

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