Juillet 1989 mon dépucelage anal

Anal

Juillet 1989 mon dépucelage anal
Après ma première pipe, Paolo était devenu mon amant. Nous nous étions quitté sur un long baiser en se promettant de se voir tous les soirs de la semaine en fin de journée.

Le lendemain en fin de journée, j’arrivais à son bureau, vide car c’était vendredi. J’avais fait ma toilette intime encore plus méticuleusement que d’habitude car je sentais que cette fois ci je « passerais à la casserole ». Je m’étais déjà doigté et caressé l’anus mais je n’avais jamais été pénétré car je craignais la douleur forte de la pénétration anale.

Cependant, je me rendis au bureau de Paolo, le cœur battant et excité par ce nouveau 5 à 7. Je sonnais et Paolo m’ouvrit. Il me fit entrer dans la salle d’attente. Il était déjà en peignoir cheveux mouillés par la douche. Paolo me pris dans ses bras et me donna un long baiser en me caressant mes hanches et mes fesses. Je me déshabillais en jetant mes habits près du canapé et fut bientôt nu tandis que Paolo continuait à m’embrasser la bouche. Il m’avait préparé une surprise.

Je n’avais pas remarqué des vêtements et une paire de mules sur le canapé. Il y avait là une nuisette rose transparente, et des basses résilles noires autofixants avec une large jarretelle à dentelle. Paolo me dit « s’il te plait, habilles toi » Surpris mais terriblement excité, je m’assis sur le canapé et enfilait maladroitement (c’était la première fois !) les résilles et la nuisette. Les mules Pleaser étaient par contre trop petites pour moi. Ainsi « féminisée », j’adorais la sensation des résilles sur la peau de mes jambes et j’avoue que j’étais troublée. Paolo m’aida délicatement dans mon habillage puis m’enlaça dans ses bras, me caressant les hanches et mes fesses sous la courte nuisette.

J’étais si excitée que je l’implorais de s’occuper enfin de mes petites fesses de vierge.

Ce qu’il fit avec tact et délicatesse. Je pense qu’il était fier de me dépuceler.

Il me fit mettre en levrette sur le canapé et j’agrippais le dossier, mes fesses bien cambrées, jambes légèrement écartées, nuisette relevée, totalement impudique telle une chienne en chaleur – ce que j’étais à cet instant.

Paolo humecta son doigt avec sa salive et me caressa délicatement ma rosette, puis passa sur mes couilles, revint me titiller encore la rosette. Son doigt me faisait trémousser la croupe. Je me pâmais de plaisir lorsqu’il se pencha et colla sa bouche sur mes fesses en me léchant ma rose. Sa langue chaude insistait autour puis elle s’enfonça dans mon trou… il me léchait divinement en me caressant mon sexe avec sa main droite… et se masturbant avec la main gauche… bel exercice !

Il me léchait l’anus et je me détendais ma chatte s’ouvrait telle une fleur sous sa langue râpeuse. Puis Paolo prit un tube de lubrifiant, spécialement conçu pour les pénétrations anales car contenant un analgésique pour diminuer la douleur de la première fois. Il me beurra généreusement la rondelle. Je me sentais nerveuse car le moment fatidique approchait. Je me cramponnais à mon dossier en essayant de détendre et en présentant mes petites fesses. Paolo enleva son peignoir et mis ses larges mains sur mes hanches pour se mettre en position. Il avait enfilé un préservatif et je sentis le latex tout contre ma rosette. En agrippant fermement mes hanches il commença son introduction par une poussée. Je poussais un cri car vu son diamètre la douleur fut vive mais supportable. Il continua à pousser lentement mais inexorablement sa bite en moi. Je mordais mes lèvres mais j’avais trop envie de ce moment. Paolo enfonça son gland en moi. Je l’implorais de me laisser le temps d’habituer ma rosette à son diamètre. Il fit une pause en ne bougeant pas. Je me détendis en me caressant et Paolo repris sa pénétration jusqu’aux couilles. Je n’en revenais pas d’avoir en moi la totalité de son membre, longueur que j’avais avalée dans ma bouche la veille.

Je commençais à ressentir du plaisir et Paolo fit de petits mouvements de vas et vient qui me détendirent totalement la chatte. Maintenant Paolo me baisait lentement il allait et venait son piston était en moi et je sentais monter un plaisir inconnu et immense venant du creux de mes reins.

Paolo me limait délicieusement et je frétillais de ma croupe, pendant que ses mains chaudes sur mes hanches guidaient mon effilage. Le plaisir devenait de plus en plus intense au fur et à mesure que Paolo me limait au plus profond de moi. La douleur initiale avait disparue par l’effet de l’analgésique et le piston de Paolo avait dilaté mon anus. Paolo allait et venait en me faisant des baisers dans mon cou. Ses mains chaudes m’agrippaient fermement. Le plaisir de cette première pénétration arriva brutalement et de manière violente tel un « tsunami anal ». J’ai eu une jouissance merveilleuse et inouïe et j’éjaculais sur le dossier du canapé tandis qu’imperturbablement Paolo continuait à venir en moi. J’avais jouie et maintenant je me sentais molle telle une poupée entre les mains de mon amant. Je m’abandonnais résolue à lui m’offrir totalement, lui donner un plaisir aussi intense que celui qu’il m’avait fait connaitre. Paolo me limât le trou longtemps, il allait tantôt vite, tantôt il sortait pour mieux revenir dans mon trou. Je serrais mes fesses pour que son piston et son gland ressente le maximum de sensations en moi. Cette tactique fut payante car Paolo finit par se raidir, s’arrêter le membre complétement enfoncé, il jouit dans un râle de plaisir, ce qui me procura une nouvelle jouissance anale moins puissante mais fort agréable. Je ne bougeais pas pendant que le membre de Paolo vidait sa semence dans le préservatif. Qui fut assez rempli et que Paolo retira précautionneusement de mon trou.

J’étais heureuse et épuisée, comblée et troublée car je me sentais vraiment Femme. Femme née dans un corps de garçon… Une femme avec des bijoux entre les cuisses.

Depuis cette mémorable soirée, j’aime vivre en femme, penser en femme en regardant les boutiques de vêtements et de chaussures. Je suis devenue « accro » aux bas nylons et autres résilles. (J’affectionne particulièrement les bas cubains à couture Cervin). Je ne porte que des hauts talons que je collectionne telle une « fashionista » car j’adore sentir mes pieds cambrés dans de beaux escarpins (récemment j’ai vu sur Arte un reportage expliquant que le pied cambré féminin dans un escarpin ferait référence à sa position lors de l’orgasme – j’y souscris pleinement car c’est l’extase.

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