Baby-sitting BDSM

Cougar

Baby-sitting BDSM
Pour améliorer le quotidien lorsque j’était étudiante, je faisais de temps à autre du baby-sitting.
Un jour je reçois un texto me proposant :
« Besoin baby-sitter ce soir de 20h00 à 04h00 du matin 50€ »
Pour 50 balle ça valait le coup. Je me présente donc à 20h00 à l’adresse indiquée. A peine arrivée que le papa pressé s’éclipse pour sa soirée en me laissant le billet de 50€. Le gamin dort déjà et donc je peux m’occuper de mes études en attendant le retour du papa.

Tard dans la soirée, je me suis assoupie dans le canapé. Vers les 03 ou 04 heures du matin, j’entends une clef dans la porte et je vois entrer le papa dont la démarche est hésitante. Il est visiblement alcoolisé et me demande de rester plus longtemps moyennant 50€ de plus. Évidement j’accepte. Mais il se met à me draguer et me confit :
« Tu sais ma grande, ça fait un moment que j’ai pas fait la bagatelle et t’es trop mignonne toi ! »
Je ne sais pas quoi faire. Ses avances sont très directe. Je ne suis pas contre une partie de jambe en l’air mais pas avec un mec bourré. Mais telle une fauve à l’affût de sa proie, il se rapproche ostensiblement et posant une main sur un de mes seins, il tente de m’embrasser.

Je recul sous cette agression. Mais l’homme insiste et pauvre de moi, je me laisse faire. En moi même, je me dit :
« T’es une vrai pute Michèle. Tu te laisse peloter pour 100 balles ! »
Me voyant moi réticente et même assez réceptive, il s’enhardit et en un rien de temps, il sort sa queue et me la fourre dans la bouche. Il me dit alors :
« J’savais que t’était un bonne pompe à bite ! T’aime la baise toi ! Ca se voit ! »
Il me baise la bouche plus que je ne le suce.

Puis, brusquement, il sort de ma bouche. Je suis encore toute bouleversée par ce premier contact plutôt intrusif et je le vois ouvrir un placard rempli de matos sado maso.
Je prends peur et tente de m’enfuir. Tant pis pour les 100€. Je veux bien baiser mais ces trucs tordus non merci. Mais il me ratrappe par le bras et me dit :
« Doucement gamine ! Je te file 50 de mieux ! Mais tu reste là et tu vas être très gentille ! Tu vas voir tu va aimer ça ! »
Je me débat un peu , mais il me met sous le nez un autre billet.
« Vous n’allez pas me faire de mal Monsieur ? » Lui demandais-je ingénue.
Il croit se faire rassurant en me répondant :
« Mais non tu vas voir ! Tu va jouir de façon très particulière ! »
Je ne vous cache pas que je flippe un max car si je n’ai mon expérience du BDSM n’est que le visionnage de vidéo sur des sites cochons où des filles jouissaient sous des sévices.

Il arbore maintenant un air plus autoritaire. Il m’assoie sur une chaise et m’y attache. Je ne pouvais plus bouger. Il m’installe ensuite une sorte de baillon mais qui m’oblige à garder ma bouche grande ouverte.Au visage il me porta une sorte de masque qui avait pour but de maintenir ma bouche grande ouverte. Il prend du recule et avec son portable capte quelques images. Je doit avoir l’air ridicule avec ce truc qui m’écarte la mâchoire et qui me fait baver. Il se rapproche et ouvre mon corsage pour admirer mes seins gainés dans un délicieux soutien gorges noir en dentelles..

La bite victorieuse, il me prend les cheveux et se met à me fourrer la bouche. Son sexe tape au fond de ma gorge et j’ai envie de vomir à chaque coup de bites violent qu’il me porte Il me met sa bite bien profond et avec une v******e incroyable. A ces yeux, je ne suis plus la baby-sitter de son môme mais son esclave sexuel.
Après cette pipe de sauvage, il sort des bougies et le allume. Je me dis :
« Ce con veut faire une cérémonie satanique ? »
Mais je me ravise rapidement quand il commence à faire couler la cire des bougies sur mes seins. Après la première sensation de brûlure, la légère douleur se transforme en une chaleur agréable. Je me prends même à mouiller sous cette pluie cireuse. A nouveau, il prend des photos en me disant :
« T’inquiéte, c’est pour ma collection perso et je te les enverrais ! »

Puis il me met nue et, certainement adepte du shibari, il me ficelle de manière complexe et me suspend à un crochet prévu à cet effet au plafond. Dans cette position, totalement offerte, il se met à met flageller le corps sans en épargner la moindre parcelle. Je veux crier, le supplier d’arrêter mais le bâillon m’en empêche et il ne sort de ma bouche que des gargouillis incompréhensibles.

Quand je l’ai vu sortir un plug monstrueux, je fais des signes non de la tête frénétiquement. Mais ça semble l’amuser de me voir ainsi attachée en détresse. Il lubrifie abondamment le plug et me le passe sous le nez en me disant :
« Je vais t’élargir le cul avec ça ! Après même les gros calibre pourront utiliser ton petit trou ! »
Il place l’engin sur ma rosette et pousse inexorablement. J’ai l’impression que je vais éclater. Mais il me le met à fond.
Non content de me remplir et de dilaté autant, Il me prend par les hanche et m’enfile sa verge dans ma chatte baveuse. Il se met à me dévaster le vagin avec une brutalité démente. Et lui qui me disait que j’aimerais et que je jouirais de ses sévices. Mais au moment que je subis cet outrage, je sens comme une vague de fond me submerger. Il ressort de ma chatte aussi rapidement et brusquement qu’il y est entré pour décharger dans ma bouche gardée écartée, en m’ordonnant :
« Avale salope ! »
La bouche grande ouverte avec l’écarteur, je ne peux faire autrement et il me fait boire son sperme jusqu’à la dernière goutte.

Il me libère enfin. Il 06 heures du mat. Mes jambes me tiennent à peine ; Il appel un taxi pendant que je tente de me rhabiller et en me tendant 100€, il me dit :
« Tu as été une bonne petite. J’espère que tu as pris autant de plaisir que moi.Je t’ai appelé un taxi car à cette heure-ci, les rue ne sont pas sûres et je ne voudrais pas que tu te fasse violer. »
Je le remercie pour sa générosité et c’est le corps endolori de cette expérience que je rentre chez moi pour m’écrouler sur le lit sans me déshabiller. En une nuit j’avais gagné 250€, pour être une nounou soumise et servir de jouet à cet homme. Etait-ce le prix à payer  pour ma dépravation ?

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