Ode à la fellation

Ode à la fellation

Sperme je t’aime.
Je t’aime parce que tu es la vie, concentrée, dans des couilles pleines de désir, dans un regard de loup, dans une tige bandée.
Regarde comme les hommes sont heureux quand ils jouissent ! Quand ils se déversent en nous, de toute leur puissance, de toute leur a****lité. Quand ils éclaboussent nos corps, nos visages, qu’ils remplissent nos orifices.
Nous, femmes, les accueillons, c’est notre tache, notre hospitalité. Vois comme les plus durs, les plus sauvages, jouissent comme des enfants de 12 ans qui découvrent le plaisir. A chaque fois. Dans nos bouches offertes. Admire la lumière dans leurs yeux quand tes lèvres se referment sur leurs glands qui explosent. La fierté qui les traverse quand cette bouche avale avec plaisir leur jouissance, se régale, joue avec comme d’un divin nectar.

Hommes je vous aime, pour vos forces et vos faiblesses, pour votre jus qui m’a rempli tant de fois le ventre et la bouche, faisant de moi une reine, votre reine, me gavant de vitamines pour que ma peau soit belle, pour que mon corps rayonne. Sentez comme ma langue, mes papilles vous dégustent avec gourmandise, que mes mains caressent tendrement vos bourses, vos cuisses, pendant que votre queue durcit dans ma bouche appliquée.

Allongez vous confortablement, détendez vous, posez votre main sur mes cheveux attachés pendant que je commence à vous butiner, comme une geisha bien éduquée au plaisir de son maître. J’accueille votre premier soupir comme la récompense de ma douceur, de mon amour. Vos premières gouttes comme une promesse d’abandon.

Laissez-vous faire. Laissez moi faire. Laissez mes mains tournoyer sur votre mat, le faire palpiter, pendant que ma bouche active sa succion, se ventouse à votre sexe turgescent. Votre odeur m’enivre. Celle de vos couilles mal rasées dans lesquelles j’enfonce mon petit nez. Celle de votre anus détendu que je viens parfois titiller d’un bout de langue. Celle de votre gland salé qui perle sa délicieuse mouille.

Sentez comme ma bouche danse sur votre queue, virevolte comme un papillon, fermez les yeux que les paysages vous envahissent, les steppes, les paradis perdus.
Puis ouvrez les pour admirer ma fellation. Moi je vous regarde, je vous scrute, je connais tous vos signes, votre ventre qui se tend, vos grimaces infimes, vos mains qui se font plus pressantes, sur mon crâne, mes épaules, mes bras.

Insultez moi, traitez moi de pute, de bouffeuse de queues, de vide-couilles, c’est ce que je suis. Ordonnez moi d’avaler comme une salope, de réclamer votre foutre, pendant que vous sentez monter l’orgasme dans vos reins, j’obéirai.

Vous allez tout me donner. M’abreuver, me faire à boire votre petit lait, appuyer plus fort sur ma tête pour que ma gorge fasse disparaitre votre queue surtendue, jusqu’à venir toucher le voile de mon palais, le soulever comme un morceau de dentelle, comme une étoffe précieuse, l’inonder de votre foutre tiède, libérateur des spasmes de votre ventre tout entier qui s’envahit de douceur.

J’aime votre sperme qui coule par petits jets, je ne bouge plus maintenant, je laisse la nature faire son oeuvre, je me suis immobilisée pour sentir la moindre palpitation de votre jouissance masser ma gorge, ma langue. Votre jus coule dans mon estomac, me nourrit de bonheur, du bonheur d’être une femme aimante, caressante, votre suceuse adorée qui vous fait jouir.
Voyez comme mes mains se sont posées maintenant sur mon sexe trempé. Je me branle, excitée par votre gout, vos odeurs, votre jouissance m’offre la mienne, délicieuse, alors que je déglutis vos premiers flocons, que ma bouche se remplit de votre abondance, que vos gémissements me ravissent. Prenez ma tête entière dans vos mains puissantes, faites la coulisser sur votre éjaculation, que ma bouche pleine dégouline votre sperme, fasse luire votre sexe sur toute sa longueur pendant que les derniers jets se déversent en moi. Nous avons joui ensemble.

Mes lèvres sont gonflées comme après avoir mangé du piment, ma cavité buccale recouverte de votre semence visqueuse, je prends tout mon temps pour vous boire, pour extraire avec ma langue vos dernières gouttes de sperme, m’en lécher les babines.
J’aime votre sexe qui ramollit, gluant de salive et de semence, dont le mélange m’évoque le miel de mon enfance.
Votre corps se détend, se décrispe, ne bouge presque plus.
Je continue à vous lécher doucement, nettoyant les blancheurs résiduelles, toilettant vos organes pour ne pas perdre une goutte de liqueur, vous laissant propre, abandonné, presque déjà en sommeil.
Je m’allonge à vos cotés pour me reposer avec vous, digérer votre jouissance d’une sieste apaisée.
Nous nous réveillerons heureux. Pleins d’amour

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