Mon désir d’être une femme,

Mon désir d’être une femme,
Mon désir d’être une femme,

Natacha, grande et élancée se tient debout devant moi.
Ses cheveux noués en queue de cheval lui affine le visage en soulignant son profil de Dominatrice.

Elle porte une ravissante nuisette et une guêpière met en valeur ses seins magnifiques.

Elle est perchée sur ses cuissardes d’où jaillissent ses cuisses fuselées gaînées de nylon.

Mon regard est attiré par l’impressionnant gode ceinture qui est fixé sur ses hanches et qui retombe lourdement sur ses genoux.

Il est tellement ajusté que la lanière centrale disparaît totalement dans sa chatte.

Sans perdre de temps, Natacha me maquille et me coiffe d’une perruque bouclée blonde avant de m’aider à enfiler une guêpière, un string transparent et des bas cervin.

Elle achève ma transformation en glissant mes pieds dans des escarpins.

Quelques heures plus tard, après m’avoir fait jouir lors de nombreux jeux de rôles, elle me laisse récupérer avant de m’installer dans son fauteuil gynécologique.

Elle retire mon string et m’écarte les cuisses en attachant mes pieds aux étriers.

Puis, son regard de braise fixé sur moi, elle fait glisser lentement une de ses nuisettes sur mon anus, mon périnée, mes bourses et mon gland décalotté.

L’irrésistible contact des mailles satinées ne tardent pas à faire monter ma libido.

Satisfaite de voir ma queue bien raide, elle presse alors son gode ceinture contre ma rosette.

Allongée sur le dos, je cambre les reins en poussant pour l’aider à m’enfiler.

Face au miroir, je regarde fascinée l’énorme pal s’engouffrer dans ma chatte.

Lorsque j’entoure sa taille avec mes cuisses, ma chatte s’ouvre davantage en s’offrant à cette queue monstrueuse.

Le bassin de Natacha vient se souder au mien et je réalise avec stupéfaction qu’elle m’a déjà embrochée jusqu’à la garde.

Après m’avoir prise sous tous les angles, ma maîtresse s’allonge sur le dos en m’ordonnant :

– Mets toi à califourchon sur moi car je veux voir ton visage lorsque tu vas jouir.

En la chevauchant, je m’embroche lentement sur son pal.

Ses yeux rivés aux miens, elle fait rouler son bassin de gauche à droite pour m’élargir l’anus et s’enfoncer plus à fond dans mes reins.

Tout en me masturbant, elle me pilonne la prostate par de vigoureux coups de reins jusqu’à ce que d’épaisses coulées de sève inondent ma guêpière.

Quel bonheur de pouvoir me concentrer sur ce gode qui m’empale en restant passive !

Cela me fait prendre conscience une fois de plus que mon plaisir anal est bien plus fort que mon orgasme pénien, car l’anus est une zone érogène ayant plus de terminaisons nerveuses qu’un vagin.

Ma chatte étant également plus serrée qu’un vagin, je sens mieux Natacha s’activer en moi.

Le fait qu’elle stimule en même temps ma prostate majore considérablement mon plaisir.

Voilà les raisons qui me font préférer la jouissance anale à l’orgasme pénien et qui permet de comprendre pourquoi les hommes sont plus demandeurs que les femmes.

Natacha interrompt le fil de mes pensées :

– Comme tu le souhaites et afin que tu te sentes vraiment femme, je vais te trancher la queue.
– Aux USA, c’est devenu un véritable phénomène de société car certains hommes jeunes ne veulent plus être esclaves de leur sexe.
– Nombreux également sont les hommes matures qui aiment que je les prenne au gode ceinture en restant passifs sans être obligés de bander.

– Après les avoir castrés, leur anus devient leur seule source de plaisir et ils jouissent davantage lorsque je les sodomise.
– N’ayant plus rien entre les cuisses, ils se sentent vraiment femmes.
– Je les oblige ensuite à porter un plug de chasteté anal que je verrouille pour garder le contrôle sur leur sexualité afin qu’il ne puisse plus se goder et avoir un orgasme anal en mon absence.

– En ce qui te concerne, je veux que ta queue soit bien dure avant de la trancher, me dit-t-elle en me masturbant avec beaucoup de savoir faire.

M’ayant fait prendre du viagra, elle arrive très vite à ses fins.

– C’est vraiment dommage de devoir couper ta queue épaisse et tes bourses bien pleines qui auraient pu encore donner beaucoup de plaisir.

Sans plus attendre, Natacha s’assoit sur mon ventre en me tournant le dos.

Elle soulève ma queue en érection pour bien la couper à sa racine.

Puis, elle brandit dans sa main un couteau à la lame effilée et courte.

– Sa petite taille va me permettre de le glisser entre tes cuisses et te trancher la queue sous tous les angles.

Une peur panique s’empare de moi lorsqu’elle appuie sa lame sur la veine bleue courant sur ma hampe.

Au bout de quelques secondes, je finis par comprendre que Natacha me bluffe en utilisant le dos de sa lame de couteau.

– La prochaine fois sera la bonne, me dit-t-elle dans un rire de gorge qui témoigne de sa forte excitation.

– Lorsque tu n’auras plus rien entre les cuisses, tu pourras porter une lingerie transparente et faire admirer ton triangle de vénus qui deviendra le symbole de ta féminité.

– Aujourd’hui, je vais seulement t’enlever ta source de vie.

– Tu pourras ainsi mieux te concentrer sur ton plaisir anal.

– Tu sentiras la sève de tes amants fuser dans ta chatte alors que la plupart des femmes ignorent souvent quand ils jouissent en elles.

– Je vais te faire une anesthésie locale, rajoute-t-elle d’une voix douce en se plaçant entre mes cuisses une seringue à la main.

– Fais moi confiance car j’ai déjà castré de nombreux mâles ces dernières années.

Avec douceur, Natacha multiplie les points d’injections pour que le produit diffuse plus rapidement.

L’aiguille est si fine que je la sens à peine s’enfoncer dans mes chairs.

En attendant que le produit fasse effet, elle ne résiste pas à l’envie de me masturber une dernière fois en caressant la peau satinée et douce de mes bourses.

Lorsqu’elle voit ma queue se dresser devant ses yeux, elle me dit d’une voix chargée d’émotion :

– Je suis troublée d’être la dernière femme à te faire bander.

Un instant plus tard, une peur panique s’empare de moi quand elle saisit son scalpel.
Elle me fixe intensément du regard en m’avouant:

– Malgré ma grande expérience, je suis fortement excitée à l’idée de te castrer maintenant.

D’une main sure, elle incise mon scrotum sur trois centimètres en pressant doucement mes testicules avec ses pouces pour les faire sortir.

Très concentrée sur sa tâche, elle tire sur les cordons auxquels ils sont rattachés en les laissant pendre entre mes cuisses.

Elle poursuit en ligaturant les vaisseaux pour éviter l’hémorragie tout en me disant:

– Tu sais que c’est irréversible et que tu ne pourras plus bander ?

Me voyant acquiescer du regard, elle tranche d’une main assurée mes gonades l’une après l’autre.

– Bienvenue dans ta vie de femme, s’exclame-t-elle en me recousant avec du fil et une aiguille.

– Reviens me voir la semaine prochaine pour que l’on vive notre première séance de gouinage entre filles.

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