Trav’Estelle, trios

Trav’Estelle, trios
Cela faisait environ 4 ans que je me travestissais régulièrement lorsque j’eus ma première “liaison”. En fait de liaison, c’était surtout une histoire de cul très particulière, lui adorant me démonter comme une chienne, et moi adorant être dominée par ce beau mâle arabe de 35 ans, superbement bien doté, endurant, dominateur, imaginatif et sachant me rendre folle de sa queue. J’étais éperdument amoureuse de lui, mais lui s’en foutait complètement, tout ce qu’il voulait, c’était que je lui vide les couilles. Et j’adorais cette relation, ma soumission à un homme se trouvant ainsi magnifiée. Il m’appelait, me disait: “Je passe à telle heure!”, et je devais être prête à tout pour combler ses désirs. Parfois, il ne se déplaçait que pour me baiser violemment, histoire de passer ses nerfs, et quelques fois, il s’installait sur mon canapé, un whisky à la main, et nous discutions, jusqu’à ce qu’il me demande de le sucer. Alors, j’obéissais, je me mettais à genoux entre ses jambes, je sortais sa queue de son pantalon et je le suçais longuement, langoureusement et amoureusement jusqu’à ce qu’il me jouisse dans la bouche ou me sodomise sans ménagement.

Cela faisait une petite dizaine de fois que l’on se voyait lorsqu’il me demanda, avant de partir, si cela ne me dérangeais pas s’il venait, la fois suivante avec un copain. Je lui répondis que non, mais que cela allait être la première fois, pour moi, que j’allais me faire baiser par deux mecs en même temps. Il sourit, et me dit de ne pas m’inquiéter, que cela allait bien se passer. Je lui faisais confiance.

Une quinzaine de jours passèrent, quand il vint chez moi avec un jeune Beur d’une vingtaine d’années, mignon, grand, fin, qui voulait se donner un genre “racaille”, mais qui avait plutôt l’air timide et emprunté. Il me le présenta ainsi:
– “Estelle, je te présente Tarek, c’est ma petite salope préférée, j’adore le défoncer comme une pute, mais je voudrais aussi qu’il se mette à baiser des putes!”
Il se tourna vers Tarek.
-C’est pour ça, Tarek, que je te présente Estelle, une pute que je baise comme une chienne.Tu vas me faire le plaisir de la baiser devant moi, je veox savoir ce que tu as dans le ventre!”

Ca devait être la première fois que Tarek voyait un trav’ car il était en panique et ne savait absolument pas comment s’y prendre. Je haussais les épaules et dit à Salim
– Tu ne peux pas lui demander ça comme ça, sur commande. Le pauvre, laisses-moi m’occuper de lui!”
Je lui pris le visage entre mes deux mains et l’embrassais tout doucement. Comme il avait l’air pétrifié, je le fis asseoir à coté de moi, nous avons continué à nous embrasser, je commençais à lui caresser l’entrejambe. Je sortis son sexe bandouillant et commençait à le sucer, mais je compris vite que ce n’étais pas son truc. Il était gay, passif, en tout cas pas du tout branché par les travestis. Je fis signe alors à Salim d’approcher. Il sortit sa queue et la proposa à Tarek qui la prit en bouche immédiatement. Tput de suite, un changement notable s’opéra chez Tarek, il se mit à bander plus fort, plus dur, et sa queue prenait des proportions plus intêressantes.

Ce fut Salim qui trouva la solution, et je compris par la suite que c’était lui qui avait le beau jeu. Il nous fit mettre en 69, moi, allongée sur le dos, jambes relevées, Tarek se mettant tête-bêche sur moi, maintenant mes jambes relevées en les bloquant avec ses bras. Nous nous sucions et nous doigtions mutuellement. Pendant ce temps, Salim nous regardait faire en se masturbant, il avait préparé des capotes et nous encourageait de la voix:
– Allez-y, mes p’tites salopes, allez-y! Vous êtes deux belles putes, j’adore vous voir baiser comme des chiennes en chaleur. Estelle, bouffes lui le cul, j’veux l’entendre couiner avant d’l’enculer! Tarek, mets-lui plusieurs doigts à cette pute, elle aime ça, la chienne!”
puis il vint au-dessus de mon visage, j’avais la queue de Tarek en bouche, mais il me présenta son gland à lécher:
– Suces-moi, lubrifies-moi avant que je l’encule!
Je léchais son gland dur comme une pierre. Il se retira de ma bouche, applique son dard contre l’anus du jeune Beur et poussa,doucement, sans v******e mais inéxorablement. Tarek cria, mais il y avait un mélange de jouissance et de douleur dans ce cri. Salim se mit alors à le ramoner doucement au début, mais je le connaissais et je savais qu’il faisait souvent comme ça: le calme avant la tempête. Il le besogna ainsi pendant quelques instants, moi, je continuais à sucer Tarek et lui me masturbait plus qu’il ne me suçait, car il avait besoin de son souffle, quand Salim se retira, alla se placer face à Tarek et lui dit:
-Ecartes-lui le cul!
Tarek m’écarta les fesses, et malgré qu’il m’ai préparée, doigtée, léchée, ce coup-là, Salim me déchira les entrailles. Il me pénétra en force, d’un coup dur et puissant, faisant entrer toute sa longue bite dans mon cul. Il prit le visage de Tarek à deux mains et lui dit:
-Regardes bien ce que je vais lui mettre, j’ai été gentil avec toi, tout à l’heure. Quand je vais te la remettre, tu vas prendre aussi cher!
Il me défonça comme il ne m’avait jamais défoncée. Il prenait son élan pour me coller de grands coups de rein, pour aller bien au fond de mon cul. Comme j’avais la queue de Tarek en bouche, mes hurlements étaient étouffés, d’autant plus que Tarek, excité par ce qu’il voyait à 20 centimètres de lui, commençait à me pistonner la bouche. J’étais pratiquement clouée par 2 bites en même temps, et, malgré la douleur, j’adorais ça.

Salim me pistonna longuement et calma un peu le jeu, car j’étais au bord de l’évanouissement. De temps à autre , il se retirait de mon trou pour se faire sucer par son ami, avant de me réintroduire sa si bonne bite. Puis il revint derrière Tarek, le sodomisa à nouveau, mais il ne pouvait pas aller aussi fort avec lui qu’avec moi,Tarek n’étant peut-être pas aussi maso que moi. Dans ces moments-là, pour calmer le jeu, Salim me donnait sa queue à lécher. Je léchais ainsi les deux beurs et le premier à lacher fut Salim, qui gicla sur la rondelle de Tarek, le sperme dégoulinant le long des couilles et du manche de Tarek, j’en récupérais le plus possible. Excité par ce qu’il voyait entre ses jambes, le plus jeune des deux Reubeus me lâcha une grosse giclée de sperme en plein visage, et s’écroula sur moi, complètement vidé. Salim lui mit une grande claque sur les fesses et lui dit, en se marrant:
– Dis donc, t’as d’ces manières! tu lui envoies le potage en pleine gueule et après tu t’allonges dessus? Tu aurais pu, au moins, lui vider les couilles, malpoli!
Tarek se retira de sur moi en rigolant et se mit à me sucer. Mais je lui pris le visage avec mes mains et lui dis de me masturber plutôt, pendant que j’embrassais Salim. Celui-ci me regarda et me dit:
– C’est vrai que tu l’as bien méritée, aujourd’hui!
Et pendant qu’il me roulait une superbe pelle (la première et dernière), ke jouissais dans la main de Tarek.

Deux jours plus tard, Salim me téléphona:
– Salut, Estelle, comment vas-tu?
J’avais très mal au cul de la séance de l’avant-veille, mais j’attendais de savoir ce qu’il voulait.
– J’ai bien aimé la séance de l’autre jour, me dit-il, enfin, j’ai surtout aimé avec toi, Tarek, je l’ai jeté.
– Mais pourquoi? il était gentil, il a quand même accepté un plan à trois…
– Rien à foutre de ce puceau! Par contre, j’ai super envie de refaire un plan à trois avec toi, ça te branche?
– Oui, bien sûr, mais quand?
– Je te rappelle, et je te promets une belle surprise.

Quatre jours plus tard, Salim revenait dans mon studio avec Paola, une trans du Bois qu’il avait payé pour qu’elle me baise férocement (c’était son mot) avec lui. Elle était plus grande que moi, je la trouvais un peu forte, sans être grosse non plus, elle avait un visage assez masculin, des gros seins, des grosses cuisses. Sous son long manteau en cuir, elle portait un body en vinyle, des bas et des cuissardes. Comme Salim l’avait briefée sur le chemin entre le Bois et chez moi, elle s’approcha de moi, me toisa et d’un ton méprisant
me dit, avec un fort accent brésilien:
– Il parait que tu veux faire la pute?
Je baissais les yeux, mais ne répondis pas. Elle me gifla.
– Tu veux faire la pute?
– Oui, lui répondis-je timidement.
– D’accord, alors je vais t’apprendre à faire la pute, je vais te dresser et tu vas être notre pute à tous les deux, d’accord?
– Oui.
Nouvelle gifle.
– Oui qui?
– Oui, Paola.
Encore une gifle
– Oui qui?
– Oui… Maîtresse?
– C’est bien! Mets toi à genoux, suces moi la bite.
Je me mis à genoux, elle écarta la partie string de son body et me présenta un gros sexe, long et épais, qu’elle m’enfourna d’autorité dans la bouche. Elle me baisa la bouche en m’insultant, me giflant, me biflant. Salim passa derrière moi pour me maintenir la tête en position, afin qu’elle puisse me pistonner la bouche comme elle l’entendait. Puis il sortit, lui aussi, sa queue, me força la tête en arrière, pour me la faire avaler. Paola se mit à genoux, m’attrapa les testicules et commença à me les pétrir durement. Elle me giflait la queue, me titillait l’oeil de bronze, me pinçait les seins, pendant que Salim me baisait par la bouche, la tête en arrière. Il s’enleva de ma bouche, ce qui rendit ma position moins inconfortable, mais je restais à genoux, et il me fit lécher son trou du cul, pendant que Paola le suçait tout en continuant à s’occuper de mes bourses qu’elle pétrissait et de mon sexe qu’elle caressait.

Au bout d’un moment, Salim s’assit sur le canapé, moi, je me mis à quatre pattes sur le canapé pour pouvoir le sucer et qu’il m’appuie sur la tête pour bien avaler sa queue en entier (ma position préférée). Paola, elle, se mit derrière moi, et commença à me bouffer le cul, fit ressortir ma queue par en dessous et me lécha également les couilles, me suça d’une langue experte, me cracha dans le cul et me doigta. Prise aux deux extrémités, je devenais folle de désir, poussant des petits grognements. Tous les deux étaient assez brutaux dans leurs gestes, leurs manières et leurs paroles. Salim dit à Paola:
– Vas-y, défonces-la, elle est prête, maintenant. Et vas-y, hein, elle aime ça, cette chienne!
Il me releva la tête.
– Hein, t’aimes ça,salope, qu’on te défonce?
– Oh oui, m’entendis-je lui répondre, j’adore ça.
Il me réenfourna sa grosse tige dans la bouche, et me força à quelques gorges profondes qui m’amenérent au bord de la nausée Paola, pendant ce temps-là, me pénétra, rentrant petit à petit, mais implacablement, jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mon cul. Alors elle se recula et commença ses va-et vients à cadences régulières. Elle prit appui sur mes reins et se mit debout, comme pour mieux dominer la situation. Tout à coup, avec son pied droit, elle m’appuya sur la tête, ce qui me fit avaler la bite de Salim entièrement. Salim l’encouragea:
-Vas-y, défonces la, c’est trop bon ça!
Elle m’insultait en Portugais, après avoir oté son pied de ma tête, elle m’ordonna, tout en continuant de me sodomiser, de lécher ses cuissardes. J’étais vraiment en train de me transformer n chienne.

Salim me sodomisa à quatre pattes (comme une chienne, comme il aimait à répéter), pendant que Paola me baisait par la bouche. A un moment, elle s’enleva de devant moi, et présenta sa queue à Salim. A ma grande surprise, celui-ci la prit en bouche et la pompa goulûment. L’orgie se termina avec moi, assise dans le canapé, en train de me masturber,Paola et Salim autour de moi, se masturbant sur mon visage. Après m’être joui dessus, Paola prit ma main, trempa mes doigts dans la flaque de sperme qui ornait mon ventre, et me fit goûter à ma propre semence, y goûtant aussi. Puis elle me fit avaler tout le sperme que’ils avaient étalé sur mon visage

Ma relation avec Salim prit fin quelques semaines plus tard, sans raison. Je crois qu’il a eu honte que je le vois sucer Paola, lui qui voulait passer pour un mâle actif, et uniquement actif.C’était vraiment dommage, et pour out dire un peu nête, mais bon… Je revis Paola, quelques mois plus tard, au Bois. Je la cherchais car j’avais adoré baiser avec elle, et j’avais une terrible envie de remettre ça. Elle ne me déçut pas et me défonça aussi bien que la première fois. Mais ce n’étais pas en trio, ce coup-ci, même si ce fut bien bon. Quand aux trios, j’en ai fait d’autres depuis, mais jamais aussi rapprochés.

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir