La porte à côté

La porte à côté
J’appuie sur le bouton de ma machine à expresso en admirant par la fenêtre le beau soleil matinal du mois de juillet.
Les températures sont extrêmes même ici dans le Nord et les voisins ont gonflé leur piscine. J’imagine déjà Valentine, la mère de famille s’étendre pour faire dorer sa peau.
Elle est grande, environ 1m80 avec les cheveux très noirs. Une poitrine et une taille fine mais des hanches plutôt larges.
Elle est du genre timide, discrète. L’influence des deux adolescentes de la maison se fait sentir sur sa garde robe.
Elle porte ses t-shirt de marques avec des jeans décolorés. Du genre assez moulants pour deviner quelle ne porte jamais de string.
Les quelques rares fois où j’ai pu observer sa
Peau, c’était lors de ses séances de bain de soleil pendant les fortes chaleurs.

Il y a quelques mois, pendant l’hiver nous les avions invités à manger, elle et son mari. En parlant de mes compétences informatiques, Valentine me signifie qu’elle a beaucoup de problèmes d’ordinateur et que pendant leur séjour à l’étranger, si je veux bien, elle aimerait bien que je regarde si je peux trouver une solution.
Une aubaine pour le voyeur que je suis.
J’ai donc pu regarder chacune des photos enregistrées sur le disque dur. Mais la déception s’emparait de moi.
Mis à part quelques photos de loin sur une plage du sud de la France, rien! Aucune petite déviance, aucun péché mignon.

La belle était fidèle et très certainement désintéressée des questions d’ordre sexuel.
Je comprend que ce fantasme de la voisine coquine en restera un.

Le téléphone de ma chérie Aude se met à vibrer pendant qu’elle est sous la douche.
« C’est Valentine, c’est urgent appelle moi dès que tu peux »
Je saisis le téléphone, prévient ma femme et rappelle dans la seconde notre belle voisine.
A peine elle eut le temps de décrocher le téléphone qu’elle annonça avoir décroché un CDI, dans la même boîte que ma bien aimée.
Après les félicitations d’usage et les remerciements, rendez vous est donné, ce soir 20h sur la terrasse d’en face.

Aude commence alors le tour de sa penderie pour rivaliser de beauté. Elle est très complexée mais magnifique. Elle des jambes fines, la peau bronzée, deux seins énormes et bien ronds. Elle garde un petit ticket de métro, brun comme ses cheveux, sur le haut de ses lèvres et son cul est bien rebondi. Elle a des yeux charmeurs et une bouche pulpeuse.
Pour ce soir elle a choisi un petit string en dentelle noir et le soutien gorge qui l’accompagne, une petite jupe noire et droite et un chemisier blanc pas trop décolleté.
Pas de folies ce soir les gens chez qui nous allons sont sages.
A peine arrivé, je cherche la belle des yeux mais seul Bastien son mari nous accueille. C’est un ouvrier d’une quarantaine année, quelqu’un de simple, souriant et bon vivant.
Lui est plus porté sur le cul. Je me souviens que Valentine nous a raconté une histoire où elle a surpris Bastien en train de se caresser devant youporn. Elle avait été un peu choquée de savoir qu’il faisait ça dans son dos.
« Valentine n’est pas encore prête, installez vous »
Je m’assoie donc face à ma chérie et Bastien prend un siège de côté. Aude est au courant de mes fantasmes avec Valentine et pendant que Bastien est parti nous chercher nos boissons elle me glisse à l’oreille :
« J’espère que je te ferai autant bander qu’elle! ».
Elle se redresse et écarte ses cuisses pour laisser apparaître son string et les referment doucement. Je lui répond alors :
« Ce qui est sûr c’est que toi, si tu m’excites je vais pouvoir te baiser, attention ».
Notre hôte revient avec les boissons et accompagné de sa belle.
Mes yeux se plissent pour admirer de plus près. Elle porte un mini short en jean et un débardeur coloré. Une sorte de boléro et de petits chaussures ouvertes. Un détail m’emporte littéralement. Elle ne porte pas de soutien gorge et je peux distinguer la pointe de ses seins effleurer son haut.
La soirée va être mouvementée.
Après quelques verres et un bon repas, je m’éclipse dans les toilettes. La salle de bain est immense avec une grande baignoire, le rêve.
Je suis interrompu par quelqu’un qui frappe à la porte.
« Occupé ».
« Je sais » dit Aude.
« Coquine, je sais ce que tu es venue chercher »
Je déverrouille la porte et ma chérie me rejoins. Sans même l’embrasser, je la prend par la taille, la penche sur le lavabo et glisse mes doigts jusqu’à sa petite chatte.
« Déjà trempée ? »
« Déjà oui. Déjà très envie de me faire baiser ».
Je mets à genoux derrière elle et étale le fruit de sa mouille a la force de ma langue. Je lui bouffe le cul avec force, aventurant ma langue dans les creux qui se présentaient à moi.
Après de longs va et vient, je retourne ma belle, écartant ses cuisses, les jambes en appui sur le bac à linge qui trainait la.
Même travail de langue sur son clitoris, j’aime le goût de son abricot. Mais même si elle aime ce genre de préliminaire, je la sens impatiente de recevoir ma queue.
J’approche mon gland de son antre et la pénètre brutalement. Un râle sonore explose de sa gorge. Elle enfonce ses ongles dans mon dos.
« Encore » crie t’elle.
Je m’exécute. Ses cris, de plus en plus sonore commencent à nous rendre repérables. A ce moment, j’ouvre le bac à linge, fouille un peu et je finis par trouver ce que je cherchais.
J’ouvre la bouche d’Aude pour y enfoncer une culotte de Valentine et ainsi étouffer ses cris. Je sens alors les muscles de son vagin se serrer autour de mon membre.
A présent c’est elle qui donne le rythme du morceau. Elle balance les hanches d’avant en arrière pour enfoncer ma queue plus profondément. Au bout de seulement quelques secondes elle l’atteint l’orgasme. Pas mécontent de mon travail je la laisse souffler et reprendre ses esprits. J’enlève la lingerie qui lui servait de bâillon et en la tenant par la main je l’installe à genoux devant moi.
Bien dressée elle ouvre grand la bouche pour que j’y dépose mon gland.
Me voilà en train de baiser la bouche d’Aude attrapant ses cheveux pour guider ma queue au fond de sa gorge. Au bout d’un petit moment je viens délivrer mon nectar brûlant sur sa langue l’incitant à avaler. Quelques gouttes ayant fini sur sa joue, je me sers de la culotte/bâillon pour essuyer le reste de mon sperme.
« Cette soirée démarre très bien »
« Oh oui. Je ne peux pas dire le contraire » répondis-je
« La prochaine fois qu’on sera dans cette salle de bain je te donnerai mon cul. Maintenant laisse moi me rafraîchir. J’arrive. »
Je descendais donc rejoindre nos hôtes.
Bastien et Valentine était au milieu du jardin, fumant une cigarette. Bastien avait une main sur les fesses de sa femme, empoignant fermement la courbe apparente sous son mini short.

un petit pouce pour m’encourager à raconter cette histoire longue de 3 ans.

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