A la merci de mon beau-frère Ch. 06

Anal

Coulybaca / Auteur inconnu

Chapitre 5

J’essayais de toute ma persuasion de convaincre Jean de m’emmener à ce séminaire.

La pensée d’un week-end entier à la merci de Yan me rendait folle de panique.

Jean devait visiter toute une série de maison ce week-end, il devait faire de même le suivant, il prétexta que c’était un séminaire totalement consacré au boulot et qu’il ne pourrait pas me divertir pour refuser de m’emmener, ajoutant :

– “Je chargerai Yan de prendre soin de toi pour que tu ne t’ennuies pas un instant! …”

Comme je lui donnais un bisou d’au revoir, Yan posa sa main autour de ma taille et assura à Jean qu’il prendrait grand soin de moi.

Je cherchais à contrôler les frissons de peur qui couraient le long de ma colonne vertébrale à la suite de ces paroles à double sens de Yan, Jean nous souriait répliquant ingénument qu’il ne voyait pas à qui il pourrait bien confier sa femme avec plus de confiance.

Je goûtais toute l’ironie involontaire de ces mots.

A l’instant même ou Jean démarrait Yan retroussa ma jupe et me fourra sa grosse bite dans la chatte.

Baisée sur le porche d’entrée je lui obéis enlevant ma brassière et mon soutien-gorge pour lui offrir mes nichons.

Une fois de plus j’étais incapable de repousser un orgasme fulgurant qui me terrassait;

Yan me regardait jouir avec une moue ironique avant de se concentrer sur sa propre jouissance.

– “On va bien s’amuser ce week-end! …” me promit-il railleusement tout en pinçant cruellement mes tétons.

– “Règle N° 1, tu seras toujours nue, à moins que je ne te donne un vêtement! … C’est compris! …. Je te donnerai d’autres instructions lorsque ce sera nécessaire… “

Sachant pertinemment qu’il valait mieux lui obéir sans délai je me diri-geais vers la salle d’eau pour me nettoyer.

Lorsque j’eus terminé mes ablutions, je l’entendis qui m’appelait dans la chambre.

En entrant, je constatais qu’il avait installé une caméra reliée à son ordi-nateur, sur un trépied

Il arborait ce sourire démoniaque que je lui connaissais bien et attendit mes commentaires, mais je restais muette me refusant à lui donner cette satisfaction de me voir protester.

– “Nous allons ouvrir un site Internet à ton effigie ma chère belle-sœur, inutile de protester, ton identité sera tenue secrète, je me suis procuré de la teinture pour cheveux et un masque, je pense que cela créera une aura de mystère autour de ton site ce qui le différera amplement de bien des sites ne sortant pas de l’ordinaire. Tu vas de ce pas dans la salle de bain et tu te teins en rousse, l’opération est lancée! …”

Je lui obéis à contrecœur, je me dis que si c’était la pire épreuve que j’endurerai au court de ce maudit week-end entre ses mains, je m’en tirai à bon compte..

Mon imagination était peut-être plus fertile que la sienne

Les cauchemars qui m’avaient torturé ces dernières nuits ne seraient donc que des fantasmes! ….

Je semblais très différente avec ma chevelure brune teintée en roux, un rouge à lèvres de pute une épaisse couche de mascara me transformè-rent encore plus.

Le masque que me donna Yan était pailleté d’or, deux larges trous me laissaient voir et un dernier me permettait de respirer aisément, il ne dissimulait pas la totalité de mon visage mais il complétait mon dégui-sement.

Je découvris alors que j’avais sous-estimé l’humiliation que je ressentirai à me grimer ainsi.

Je dus poser dans une grande variété de poses impudiques que me dic-ta Yan.

En plus de sa traditionnelle caméra numérique, il employait une caméra ordinaire dont il se servait pour prendre des plans rapprochés de ma fente que j’ouvrais à deux mains.

Au début ce ne fut que des poses, puis je dus jouer des saynètes éroti-ques : il m’ordonna de me malaxer les seins, puis de me caresser la chatte, de me doigter avec énergie, il prenait constamment des plans rapprochés de ces saynètes pornographiques.

Bientôt, à ma grande confusion ma foufoune s’inonda de cyprine alors que mon corps se mettait à vibrer sous mes caresses.

Yan était nu et portait un masque ressemblant au mien pour dissimuler son identité lorsqu’il rentrait dans l’angle de tournage.

Il me tendit un vibromasseur et m’intima de me branler avec.

C’était difficile avec le ronronnement constant des caméras en arrière fond, qui enregistrait ma performance, mais je fermais les yeux et es-sayais de m’abstraire de ces bruits parasites;

Le fait de subir ses volontés sans pouvoir m’y soustraire me tracassait mais j’étais soucieuse de ne pas le mettre en colère, je ne pouvais em-pêcher mes sens de répondre à ces sollicitations vibratoires et bientôt un orgasme inattendu fulgura dans mes lombes.

Lorsque mon orgasme s’estompa, Yan fit une bursa escort pause le temps de chan-ger les cassettes vidéos

Il disposa la caméra ordinaire sur un autre trépied et le relia à une télé-commande.

Puis il me dit de lui faire une pipe.

La caméra était reliée à une télévision portable, l’écran était dans mon champs de vision je me voyais sucer et lécher la bite de Yan.

La femme qui s’activait sur l’écran ne me ressemblait pas même si je sa-vais pertinemment que c’était moi qui suçais Yan.

Etrangement c’était un spectacle d’un énorme impact érotique que de me voir sucer un homme sur l’écran.

Une fois que Yan eut éjaculé dans ma bouche, j’avalais servilement son foutre n’en laissant pas perdre une seule goutte.

Il me tendit alors un gros godemiché noir et m’ordonna de me masturber à nouveau.

Je me voyais toujours sur l’écran, et pour la première fois je me vis suc-comber à un orgasme.

C’était follement érotique de me voir jouir à l’écran alors qu’un orgasme fulgurant me terrassait.

Je ne pouvais nier mon entière coopération à la vue de ses images de moi en pleine jouissance, Yan était ravi.

Une fois que j’eus joui une troisième fois, il extirpa le vibromasseur de ma chatte et le remplaça par sa bouche avide.

Il avait prouvé à maintes reprises qu’il était un formidable bouffeur de chatte et dans l’état d’excitation dans lequel je me trouvais, je perdis ins-tantanément tout contrôle de la situation.

Je m’entendais miauler et vagir, l’encourageant d’une vois plaintive à me brouter le gazon, pressant mon mont pubis chauve à ses lèvres d’une main possessive enfouie dans ses cheveux.

Il sentait clairement les orgasmes se succéder sous ses caresses lubri-ques.

Je gémissais une protestation lorsqu’il se releva, mais à ma grande sa-tisfaction sa grosse bite remplaça immédiatement sa langue fouineuse.

Cuisses grandes écartées il m’embrocha jusqu’à la racine sur sa grosse mentule.

Lorsque je trouvais la force d’ouvrir les yeux je découvris qu’il avait la caméra vidéo en main, il filmait avec attention sa bite apparaissant hors de ma petite chagatte pour mieux s’y enfoncer ensuite.

Il écarta les babines de ma cramouille d’une main habile et focusa sur mon clito.

Il le tritura rudement juste avant que je jouisse.

Je rebondis d’orgasme en orgasme alors qu’il maintenant un lent rythme de chevauchée, me pilonnant aussi lascivement que profondément la moule.

Atteignant enfin les limites de son self-control, il replaça la caméra sur son trépied et revint en moi jusqu’à ce qu’il éjacula un torrent de foutre dans mon intimité béante.

Une fois qu’il en eut terminé, je gisais molle et épuisée le corps encore secoué de spasmes nerveux.

Yan reprit la caméra en main et fit un long plan de mon corps éreinté, finissant sur une interminable vue de ma chatte béante dégorgeant de foutre qui était encore agitée d’occasionnels spasmes convulsifs.

Il éteignit enfin les deux caméras et commença à jouer avec son ordina-teur m’intimant brusquement de préparer le repas.

Profondément honteuse de m’être si lubriquement comportée, je quittais la pièce chancelant sur mes jambes.

Je fus assez longue à préparer de quoi manger mais, lorsque je lui ame-nais un plateau, il travaillait toujours sur son ordinateur.

Visiblement la création d’un site Web s’avérait plus difficile que je ne le pensais, heureuse de ce sursis, je descendais dans le salon pour regar-der la télé.

Je devais être vraiment épuisée car je m’endormis, ne me réveillant que parce que Yan me secouait rudement.

Je me traînais derrière loin remontant à, l’étage dans le studio occasion-nel.

Il voulait rejouer la même scène en y apportant quelques améliorations.

A moins que ne l’ayez déjà expérimenté, il est impossible de réaliser à quel point cela peut-être humiliant de poser pour quelqu’un que vous haïssez.

Visiblement cela l’enchantait, il faisait le tour de moi enregistrant les po-ses provocantes qu’il me dictait.

– “Malaxe tes seins… Serre les l’un contre l’autre… Lécher un té-ton… Bien, bien… Et maintenant positionne-toi face à la caméra et supplie-moi de te baiser! …. Oui, c’est excellent! …. Maintenant courbe-toi… Ecarte les cuisses.. Je fais un plan rapproché de tes nibards puis de ta chatte béante… Oh oui c’est ça… Ouvre l’encore un peu plus qu’on voit bien tes muqueuses! …. parfait! ….”

Je suivais ses directives comme un robot, feignant de croire que cela ar-rivait à une autre, une étrange rouquine bien trop maquillée.

Puis Yan me sauta à nouveau il m’était impossible de me dissocier plus longtemps de ce qui m’advenait.

Il manipulait implacablement mon corps me faisant rebondir d’orgasme en orgasme bursa escort bayan jusqu’à ce que je me perde dans un océan d’extase.

Enfin il cessa ses manœuvres lubriques et me tapota les fesses pleine-ment satisfait de notre performance.

– “C’était pas mal pour un après-midi! … Je t’ai drôlement fait reluire! … Je savais pertinemment qu’en dépit de tes dénégations tu n’étais qu’une salope! … Toutes les femmes sont des salopes! …” j’avalais ma salive pour endiguer ma fureur.

Je jure que si j’avais eu un couteau je lui aurai planté dans le bide sans hésiter une seconde, sans même me soucier des conséquences.

Peut-être est-ce une chance que je n’aie pas eu d’armes à portée de main! … Je bouillonnais silencieusement.

– “Vas te laver maintenant! … Il y un bal costumé dans mon night-club favori ce soir! … J’ai choisi moi-même ton costume…” Je fris-sonnais, la crainte m’envahissant à nouveau.

J’avais espéré qu’il travaillerait sur son site Web tout le week-end. Je n’aimais pas du tout cette idée de sortir avec lui en public, même dégui-sée et les cheveux teints.

Par ailleurs il lui serait bien plus difficile d’abuser de moi au cœur d’une foule de fêtards.

A mon retour dans la chambre je vis le costume qu’il m’avait choisi, je savais que cela allait dépasser mes idées les plus folles.

J’étais supposée me déguiser en danseuse du ventre. Il était composé d’une fragile brassière qui ne cachait rien de mes mamelons, je devais la porter sous une courte veste sans manches, bien qu’elle soit plus opa-que, je n’avais aucun moyen de la tenir fermée sur ma poitrine, elle de-vait se porter constamment ouverte servant d’écrin à mes appâts mam-maires.

Le pantalon était fait du même tissu arachnéen que la brassière, il était orné d’une ceinture brodée qui se portait au bas des hanches.

Chaque jambe était composée de quatre panneaux distincts attachés à la ceinture et à un lien serré sur les chevilles.

J’avais un string ficelle pour tout sous-vêtement qui ne cachait rien de mes charmes.

La dernière partie du costume constituait en un masque, il était composé d’un voile éthéré suspendu au-dessus de mon nez et qui dissimulait quelque peu le bas de mon visage. Combiné avec l’autre masque il m’assurait que personne ne pourrait me reconnaître.

Yan me filma le temps que j’enfile mon costume de bal, ce qui me rendit encore plus consciente de la légèreté de ma tenue.

Il s’était contenté de se coiffer d’un stetson de cow-boy texan sur son jean et sa chemise ouverte.

J’avais la sensation angoissante que cette soirée que cette soirée serait aussi cauchemardesque que mes pires pressentiments le prédisaient.

Pendant que nous attendions pour le taxi qui devait nous emmener à la boîte de nuit Yan s’attaqua de la bouche à mes nichons.

Le temps que le taxi klaxonne à l’extérieur, j’étais congestionnée et je haletais, le fragile tissu mouillé était devenu transparent, soulignant les courbes de mes nibards.

J’étais soulagée qu’il fasse nuit noire, les voisins ne me verraient pas partir en cet équipage.

La lampe intérieure du taxi lui offrit une bonne vue de mes charmes, ses yeux lui sortirent presque des orbites alors qu’il se tordait la tête pour mieux voir.

J’étais brûlante de honte et je ne savais pas où poser les yeux alors que Yan jubilait. Il s’assit à coté de moi et m’enlaça de ses bras empaumant mes nibards d’une main avide.

– “Hey n’a-t-elle pas des gros nichons…” demanda-t-il me forçant à les exposer sous les yeux du chauffeur.

Le conducteur se pourlécha les babines, enthousiasmé par la vue, mais ne sachant visiblement pas quoi dire.

– “Pour sûr ils sont bien gros! …” murmura-t-il après quelques se-condes de réflexion.

– “Ou voulez-vous vous rendre? …”

– “Au Blue Lagoon… ” répondit Yan, s’asseyant bien au fond du siège, m’attirant tout contre lui.

C’est un miracle que l’on ait survécu au périple du taxi, il passait plus de temps à épier ce que nous faisions à l’arrière de son taxi qu’à regarder la route.

Une part cachée de moi-même se réjouissait que la vue de mes appâts puisse engendrer de telles réactions, je fis semblant d’ignorer ces pen-sées.

L’éclairage de la boite de nuit était très tamisée. Seuls les gens proche de moi pouvaient noter la transparence de mon costume. Je me calmais et commençais à m’amuser.

Les généreuses doses d’alcool que me servaient Yan contribuaient à me deshiniber.

Lorsque Yan m’emmena sur la piste de danse j’étais bien grise.

Habituellement je bois peu et surtout je préfère le vin aux alcools forts. Mais tout ce qui pouvait me faire oublier ma fâcheuse situation était bon à prendre.

J’étais heureuse de pouvoir m’appuyer sur les bras de Yan qui m’étrei-gnait escort bursa fermement, mais pouvait on dire que l’on dansait?

Il étreignait fermement mes hanches contre lui, à chaque mouvement je sentais sa formidable érection frotter contre mes cuisses.

Ses mains rampaient sur tout mon corps, suivant ses courbes, empau-mant mes nibards.

Je chancelais passivement endurant ses caresses lascives jusqu’à l’ins-tant ou il descendit sa fermeture éclair.

– “Que fais-tu? …” lui hurlais-je à l’oreille pour couvrir le bruit de la musique.

– “On va baiser sur la piste de danse! …” répliqua-t-il, commençant à sortir sa bite.

Je tentais d’échapper à son étreinte mais il était trop fort.

– “Arrête et range ta bite! ..” protestais-je paniquée?

– “Arrête d’attirer l’attention sur nous! …” m’engueula-t-il libérant tota-lement sa grosse bite.

Elle jaillit de son caleçon, bien raide, prête à l’emploi.

Cela ne luit prit qu’une seconde pour repousser mon string de coté, pour propulser son gland à l’orée de ma caverne embrasée.

Je jetais un coup d’œil angoissé à nos voisins, mais tous les autres cou-ples semblaient absorbés par leur propre relation, personne ne nous re-gardait particulièrement.

– “Accroche ta jambe à ma taille! …” m’intima Yan sèchement.

J’obéis à contrecœur et s’aidant de la main posée sur ma croupe il adop-ta le bon angle pour planter sa grosse mentule dans ma chatte affolée.

Mes pieds ne posaient plus au sol j’étais empalée sur sa grosse bite qui supportait mon poids alors que mes cuisses étreignaient fiévreusement sa taille.

Mes nibards pointaient visibles à a hauteur de ses lèvres, il entreprit de mâchouiller mes mamelons.

Il accordait ses allées et venues dans mon utérus au rythme trépidant de la musique qui trouvait un écho dans les battements de mon cœur dans mes oreilles.

Incapable de l’endiguer, je sentais un orgasme dévastateur monter dans mes flancs j’étais soulagée de savoir que la musique couvrait mes gro-gnements de plaisir.

Yan évoluait au cœur de la foule, se dirigeant vers un coin de la piste sa queue profondément enfoncée dans mon intimité, ce qui me donnait d’étranges sensations.

Il se retira et me plaça face au mur, je me blottis contre le mur lorsqu’il me prit par derrière.

Ses couilles frappaient mes fesses alors que ses doigts trituraient mes nibards et mon clito, un orgasme d’une intensité démente me submer-gea.

Satisfait dans l’immédiat il m’envoya me rafraîchir aux toilettes.

Je le rejoignais au bar, deux boissons m’attendaient, il me présenta à quelques hommes qui voulaient danser avec moi.

Il a chuchota à mon oreille:

– “Montre toi très coopérative si tu ne veux pas que je me fâche! … Je te surveille du coin de l’œil! …”

Plus la soirée avançait, plus les visages de mes partenaires rougis-saient, seul le visage de Yan restait impavide, il souriait d’un air affecté tout en observant de totals étrangers palper et meurtrir mon corps

Plusieurs d’entre eux se frottaient contre moi d’autres me tenaient les mains et les posaient sur la grosse bosse déformant leurs braguettes.

Je dansais avec un homme, dont j’ignorais le nom, lorsqu’on annança que la boite de nuit allait fermer.

Yan nous rejoignit alors que j’étais coincée entre deux colosses pelo-teurs.

Ce partenaire s’était montré bien plus prévenant que ses prédécesseurs, je n’étais pas insensible à ses caresses.

Lorsque Yan se mit lui aussi à me peloter, je ne tardais pas à gémir et à me tortiller sous leurs caresses lascives.

Yan baissa ma brassière, exposant totalement mes nichons aux yeux de mes voisins, mon partenaire captura un de mes tétons entre ses dents.

Il le suçait avidement alors que son autre main dénichait mon clito au travers des fentes de mon sarouel.

Je plongeais ma main dans sa braguette et empoignais sa grosse bite selon ses directives.

Je sentais l’orgasme monter en moi, je crispais inconsciemment mes sphincters. Nous jouîmes de concert sous les rires de Yan qui appréciait de nous voir orgasmer en chœur.

Lorsque j’enlevais ma main du caleçon de cet étranger, Yan me la guida en bouche m’intimant de lécher le sperme qui enrobait mes doigts.

L’étranger me regardait avidement, puis il tourna son attention sur Yan.

– “C’est votre nénette? …” l’interrogea-t-il suavement.

Yan hocha la tête en replaçant ma brassière sur mes nibards.

– “Vous avez une sacré veine! … Reviendrez-vous la semaine pro-chaine? … J’aimerai refaire quelques pas avec elle! …”

– “Peut-être bien…” répondit Yan vaguement.

– “Pour l’instant, nous allons dans un club que je sais encore ouvert pour un bon moment… Venez avec nous et vous pourrez de nou-veau danser avec elle! …”

– “Je vous suis! …” s’exclama-t-il me reluquant de la tête aux pieds avec concupiscence.

Coulybaca

1er juillet 2007

Texte d’un auteur inconnu traduit de l’anglais par Coulybaca

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