un divorce compliqué (12)

un divorce compliqué (12)
Je m’étais mis au lit pour bouquiner, je laissais ma mère s’occuper de finir la vaisselle, il était déjà 1h du matin, mais nous avions passé une bonne soirée. Ma mère avait eu envi d’inviter la famille, donc elle avait fait venir ses parents, sa sœur, son mari et son fils (qui étaient de passage dans la région). On les avait gaté, on avait fait des courses importantes pour l’occasion, et ma mère avait passé beaucoup de temps à la cuisine pour préparer le repas. Au niveau de la décoration de la table, elle s’était surpassée aussi.
Elle avait mis une robe noire que nous avions choisi ensemble durant la semaine dans une boutique un peu chic du centre ville.
Elle était ravissante, aussi belle que lorsqu’elle était heureuse avec mon père. Elle avait pris soin d’elle, était allée chez le coiffeur, s’était subtilement maquillée.
Tandis que je repensais à la soirée, je regardais autour de moi. La chambre était décorée avec gout, mais on sentait que ce n’était pas vraiment une chambre de couple, il y avait principalement des babioles, des affaires de femmes. Ma mère décorait la chambre à son gout. Mais cela ne me dérangeait pas. Cela voulait dire qu’elle s’y sentait bien.
J’entendis ma mère marcher dans le couloir et approcher de la chambre. Je posais le livre sur mon torse, tandis qu’elle entrait, en souriant.
– Je suis fatiguée, me dit elle. Mais on a passé une bonne soirée. J’ai reçu un sms de ma sœur, elle n’en revient pas de nous avoir vu aussi bien, compte tenu de la situation.
– Tes parents avaient l’air heureux aussi. Tu as vu, ton père a fait deux fois le tour de l’appartement, et il n’en revenait pas de la taille du salon, et que l’on ait la piscine dans la residence.
– Oui; il est content de voir que l’on s’en sorte bien. Et tout ça c’est grace à toi.
Ma mère retira sa robe, se retrouvant en culotte et soutien gorge noir juste devant moi. Elle degrafa son soutien gorge, puis baissa sa culotte en s’asseyant sur le bord du lit. Elle glissa sous le drap, et me regarda.
– Je suis bien avec toi.
– Meme si je suis ton fils ?
– Je me suis sentie plus jeune que ma sœur ce soir, alors que j’ai cinq ans de plus qu’elle. Je l’ai trouvé mollassonne, peu amoureuse de son mari, fatiguée par son fils. Tandis que moi j’étais heureuse.
– moui… ils doivent pas baiser souvent.
– surement. Pas comme nous en tout cas.
Je ne pus retenir un petit sourire. Ma mère, je la baisais au moins cinq fois par jour en ce moment, j’avais une assez forte libido et j’étais plutôt bien inspiré.
– et tu n’as pas répondu à ma question… tu es bien avec moi, même si je suis ton fils ?
– je n’y pense plus.
– oh si je sais que souvent tu y penses. Par rapport au regard des autres. Et puis quand on fait l’amour, quand je t’appelle maman parfois je sens que tu vibres… Est ce que tu as été aussi bien avec papa ?
– oh heu… c’est different.
– en quoi ?
– parce que tu es mon fils… justement. une mère se faire aimer autant, c’est juste inoui comme sentiment. Même si parfois je suis un peu mal à l’aise, quand je sens que tu me manques un peu de respect… mais c’est le sexe… alors…
– comment ça ?
– heu… quand tu me sodomises… j’ai toujours senti que ça me rabaissait. Ou quand tu jouis dans ma bouche… Et puis aussi parce que c’est une chose que n’imagine pas de faire une maman.
– quand tu jouis, ça te bloque un peu ?
– heu… oui et non…
– raconte
Ma mère soupira un peu, se colla contre moi, et murmura :
– parfois, tu me fais jouir comme ton père le faisait. et c’est tres bon. Mais d’autres fois, quand tu es particulierement inspiré, que ça dure longtemps, que tu m’appelles souvent maman, que je me rends bien compte que c’est avec mon fils que je fais l’amour, là je jouis très très fort.
Je regardais ma mère avec un demi sourire :
– Petite salope… tu prends ton pied de savoir que c’est ton fils qui te défonce… moi qui pensait que ça te génait.
– c’est un mélange des deux.
Je me dressais dans le lit, et m’allongeait par dessus ma mère. Délicatement, je présentais ma queue devant sa chatte. Je me mis à glisser en elle tout doucement.
– J’ai envi de penser à ta soeur en te baisant. Elle n’avait pas l’air specialement radieuse ce soir, mais elle avait un joli décolleté.
– Je savais que tu remarquerais quand je l’ai vu entrer ce soir.
– Mmmmhhh je suis sur qu’elle ne doit pas se faire casser la chatte comme ca, lui dis-je en donnant de rapides coups de queue dans la chatte de ma mère.
– Ooooohhhhhh ohhhhhh non surement pas….
– Elle est comment la chatte de ta soeur ? tu le sais un peu ? Je suis sur qu’elle est un peu poilue comme toi non ?
– J’en sais rien …
– Oh mais si tu sais, l’été dernier tu te changeais avec elle pour te mettre en maillot pour aller à leur piscine.
– Oh tu te rappelles de ça ! J’ai pas fait attention, je n’ai pas specialement regardé en fait, mais je crois qu’elle est un peu poilue oui.
– Ohhh je m’imagine dans la chatte de ta soeur là…
– continue je viens…
– elle est tellement délaissée par son homme, elle se laisse baiser par son neveu, elle le laisse lui ramoner la chatte… Elle a honte mais elle a besoin qu’un homme s’occupe d’elle. Et elle espère que sa soeur ne sera jamais au courant.
– si jamais j’apprends ça… ohhh baise moi… baise moi…
– supplie moi de t’enculer… en te faisant passer pour ta soeur…
Ma mère me regarda un peu génée, ne sachant pas trop comment improviser, mais alla au plus simple, et se retourna à quatre pattes sur le lit, et écarta ses fesses devant moi.
– mon mari est tellement pudique, et tellement de la vieille école, il n’ose pas… mais j’ai envi d’essayer… est ce que ca te fait envi, mes fesses ? les fesses de ta tente ? les fesses d’Aurelia ?
Sans répondre, je me placais entre ses fesses, et j’enfonçais ma queue dans son cul.
– Oh Aurelia, tiens je te le pete ton cul… Prends ça Aurelia… Prends ça…
– oh oui, oh mon Dieu, si ta mère savait !
– Ma mère je l’encule aussi Aurélia. Je vous fais le cul à toutes les deux. Ma mère. Ma tente. Les deux soeurs…
– Ahhhh oui ???? ohhhhhhhhh…. ahhhh c’est pour ça qu’elle est si radieuse… ohhhh mon dieu toi et ta mère… mais c’est mal… je … et c’est laquelle la meilleure ?
– Ma mère, dis je en crachant mon sperme au fond de son cul. C’est ma mère qui me fait bander dur comme ça !!!
Me sentant venir, ma mère se carressa fort la chatte et se mit à jouir également.
On s’allongea l’un contre l’autre, ma mère riait à moitié, en se mordillant la lèvre inferieure pour se contenir.
– C’était trop fou, me fit elle. Elle t’a inspiré ma soeur ? Enfin je veux dire, elle t’inspire juste ce soir, ou depuis longtemps ?
– C’est une des premières femmes que j’ai cotoyé, donc oui c’est une des premières sur lesquelles je me suis masturbé. Mais ce soir, avec son physique plutot agréable, et son visage un peu fermé, elle m’a particulierement inspiré.
– J’ai vu ça…
Ma mère se leva pour aller à la salle de bain, pour se rincer un peu et se rafraichir. Quand elle revint, je lui demandais :
– On pourrait l’inviter à nouveau ? ce serait bien qu’elle revienne. J’aimerai bien vous voir toutes les deux en maillot, l’une à coté de l’autre. Et pourquoi pas un peu plus, si on a de la chance.
Ma mère s’allongea.
– Je l’appellerai demain. On verra.

On verra…

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