Une autoroute, un travesti et des routiers

Une autoroute, un travesti et des routiers
Alors qu’il faisait le plein sur une aire d’autoroute, de retour d’un petit séjour à l’est de l’Europe où il avait baisé plus que de raison, William remarqua une forme masculine, néanmoins habillée en femme, près des toilettes publiques. Il avait bien compris le manège de cette pute et il avança donc son véhicule jusqu’à elle. Quelques mots échangés, elle monta côté passager dans la voiture et William roula jusqu’à l’extrémité de l’aire de repos, dans un endroit coincé entre une rangée de poids-lourds et un grillage donnant sur un espace boisé.
Il déboutonna son jean, releva ses fesses du siège et abaissa le pantalon et le caleçon d’un mouvement, révélant sa bite molle (pour le moment). Il intima à son invitée de la sucer, l’ordre fut rapidement suivi d’effet.
Le travesti était plutôt costaud, pas vraiment féminin, mais totalement sapé comme une pute. Il assumait donc ce rôle même si pour le moment il n’avait pas demandé un seul euro à William. Il était probable que le mec faisait surtout ça pour le plaisir de prendre des queues et d’avaler du foutre. Il allait être servi et boire jusqu’à plus soif.
William bandait de plus en plus, au fur et à mesure que le mec le branlait et lui suçait la bite. La main et les lèvres du trav étaient expertes et William avait maintenant lui aussi la main sur le paquet de sa pute et avec quelques manœuvres il avait sorti un sexe aux dimensions honorables. Non circoncis, d’un beau diamètre et prompt à l’érection… finalement cette rencontre pouvait s’avérer plaisante. William voulait quand même rentrer sa bite dans un petit trou serré et il avait maintenant en vue d’enculer profond son partenaire. Le projet de ramoner avec vigueur un gaillard sur une aire d’autoroute excitait notre pervers, et pas qu’un peu. Il sorti donc de la bagnole, fit le tour, ouvrit la portière passager et demanda au mec de lui présenter son cul. L’éventualité même de lui demander s’il voulait se faire baiser avec ou sans capote n’était même pas passée dans la tête de William… pour lui une bonne baise devait se faire sans artifice… juste un peu de lubrifiant pour faciliter le passage. Voilà donc un cul, à hauteur de bite ou à peu près, et une bite qui bande à moitié et qui pend entre les jambes. Le spectacle n’est pas glamour mais une fois quelques gouttes de gel posées sur sa bite et un doigtage en règle de l’anus du gaillard pour préparer le passage, William peut poser son gland sur le petit trou et pousser lentement pour entrer sa queue au plus profond. Petit cri de douleur venant de l’inconnu penché en avant, râle de plaisir venant de William… et les allers et retours peuvent commencer. Le mec a un cul bien serré, et en faisant le tour du bassin avec son bras William a même réussi à lui att****r la bite. Il la branle pour la sentir durcir et commence à vraiment apprécier ce qu’il fait subir à la petite pute. Au bout d’à peine une minute de baise, William réalise que trois routiers sont en train de mater la scène, la bite à la main… deux d’entre eux ont même décidé de se prêter leur engin, puisqu’ils se tiennent la bite l’un l’autre, se branlant, se serrant, nonchalamment.
” Les cochons, approchez un peu, il y a des queues à sucer !”
Les mecs approchent. William sort sa queue du cul (qui reste ouvert, attendant le retour dans son fondement du membre viril), la tendant au premier routier dans son champ de vision. Le mec approche et lui nettoie consciencieusement la bite avec la langue, William replonge son sexe dans l’anus éclaté puis ressort et se refait lécher… pendant qu’un mec barbu et ventripotent est à genoux en train de sucer la queue du travesti. Les routiers semblent ne pas parler français mais peu importe, ils comprennent l’idée. La scène est très excitante et William se dit qu’il faut passer à l’étape suivante. Il se retire et demande (fermement) au travesti de se mettre à genoux : opération suçage de bites. William et les trois routiers entourent maintenant la pute qui bouffe les bites autant qu’elle peut. Elle est douée et tout le monde semble y trouver son compte, mais d’un coup le plus jeune des routiers, bandant comme un âne, commence à laisser s’échapper de la pisse… qui mouille les fringues de la lopette à genoux… et bonne surprise : le mec aime ça ! Alors tout le monde s’y met, vidant sa vessie autant que possible sur le mec, sur ses fringues, sur sa tronche, dans sa bouche… le travesti suce, avale, recrache… et se retrouve au bout de quelques minutes couvert de pisse, puis de foutre car à tour de rôle les mecs se finissent sur sa tronche.
La fin de la partie laisse quatre mecs vidés et une pute travestie couverte de jus, pisse et foutre.

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