Decouverte Du Plaisir Avec Maman 02

Amateur

Chapitre 3

– Viens, dit-elle en arrêtant de virevolter, je vais te savonner le dos.

Elle prit le flacon de gel douche et commença à répandre le produit sur mon dos et bas du dos, elle me frotta avec ses mains douces et délicates.

-Tu as un dos magnifique, tes dorsaux sont développés, tes omoplates bien plaquées, tu es un bon sportif, tu as un très beau corps, dit-elle en continuant de passer ses mains sur mon dos.

Puis ses mains sur mes reins et finirent sur mes fesses. Elles tournèrent en rond, cela me fit un doux massage.

-Tu as les fesses bien rondes mon chéri, elles sont parfaites. Tu es un véritable adonis. Affirma-t-elle

– Tu dis cela parce que tu me vois comme ton fils, c’est-à-dire plus beau que je ne suis. Répliquai-je

Ce faisant elle passa ses doigts dans ma raie culière et la sillonna sur sa longueur en faisant un arrêt sur mon anus. Je me contractai par réflexe.

Elle sourit, continua son massage en disant :

– N’aie pas peur, je n’irais pas plus loin, je titille seulement ton anus.

Elle me retourna, prit le flacon dans une main et se versa du gel dans l’autre en me parlant.

– Au diable! Les bonnes résolutions, je vais franchir la ligne, j’en ai trop envie et toi aussi j’imagine.

Elle posa le flacon s’enroba les deux mains de gel est sans aucune hésitation prend mon sexe dans les mains et le badigeonna de gel sur sa longueur, me saisit les testicules et fit de même, Elle me regarda en souriant, ses yeux brillant de plaisir. Elle continua ce massage qui se confondit vite en une masturbation. Le résultat ne se fit pas attendre, ma bite se mit illico à durcir.

– Hum, c’est bon! J’aime avoir ta queue entre mes doigts, la sentir durcir. Tu bandes à nouveau mon ange. Aimes-tu ce que je te fais? Moi j’aime, j’en avais envie depuis longtemps d’avoir ton sexe dans mes mains, Depuis que je la vois, sous mes yeux, te branlant. C’est bouleversant tu sais. Excitant aussi… me déclina-t-elle

– Moi aussi j’en avais envie depuis longtemps, c’est bien que tu admettes de franchir cette ligne du défendu que tu prennes enfin mon sexe entre tes mains. Tu me combles de plaisir et de désirs aussi… Répondis-je gorge sèche et hallucinant de voir maman me masturber

Elle continua un certain temps à me branler, puis remonta ses mains sur mon torse, elle s’attarda sur mes mamelons, les titilla, puis finit au cou et oreilles par de douces caresses savonneuses et si touchantes de délicatesse.

Je plaquai mon ventre contre le sien pour mettre ma bite dure en contact avec son pubis.

Elle redescendit ses mains vers mon sexe, le reprend en main si j’osais dire, caressa mes testicules, ma verge délicatement avec des allers-retours délicats, mais serrant ma bite. Me regarda dans les yeux, ses yeux brillants de luxure, je fus encore plus ému et excité. Le gel et sa mousse disparurent sous l’eau ruisselante, je penchai ma tête en arrière tellement je fus bien, je savourai l’instant. J’entendis mère disant :

– J’en ai trop envie mon ange, tant pis pour la morale, je n’en peux plus de me retenir, c’est trop pour moi…

Je sentis ses lèvres sur mon sexe, je redressai ma tête, me penchai pour voir maman à genoux, qui longea ma queue avec ses lèvres, me suçant les couilles puis commença à gober ma bite en la branlant.

Maman me suce! Je n’osai dire quoi que ce soit, j’appréciai l’instant avec délices. Je pris sa tête entre mes mains caressa ses cheveux détrempés d’un geste délicat. Elle goba ma queue entièrement, sa langue tourbillonnant autour de ma bite. Je me mis à gémir plaquant sa tête contre mon ventre, je craignis de flancher avec mes jambes chancelantes.

– Maman, oh maman! j’aime ce que tu me fais. J’en rêve depuis longtemps.

Elle sortit mon sexe de sa bouche pour me dire :

– Moi aussi mon chéri, je l’ai souvent imaginé dans ma bouche depuis que tu te branles sur moi. Je veux que tu jouisses dans ma bouche,

Elle recommença son pompage avec plus de fougue, je me sentis transporte dans des délices que je ne soupçonnai pas, Cela dura une bonne dizaine de minutes, elle accéléra sa branlette en me suçant. Je pressentis que ce désir allait se transformer en jouissance.

– Maman! Je vais jouir je vais jouir! Je ne peux plus me retenir.

Loin de s’arrêter, elle continua le mouvement me mit une main derrière les fesses et me plaqua à sa bouche. Je compris que je pouvais jouir dans sa bouche, je poussai un gémissement, un premier jet partit au fond de sa gorge, maman absorba le tout, mes mains derrière sa tête la plaquant contre mon ventre, je gémis comme un malade et un deuxième jet sortit. Maman fut, un instant, submergée, mais reprit la direction des choses en déglutissant péniblement toute ma semence.

– Maman! Maman! Je me tendis à nouveau, criai mon plaisir serrai sa tête entre mes mains et un troisième jet, sortit de ne je sais où, fini dans sa bouche.

Maman l’avala sans aucune difficulté, il me sembla qu’elle l’attendait, me goba comme jamais, avala tout mon liquide, nettoya ma bite. Je me mis à flancher, mes jambes ne me supportant plus, je tombai à genoux yenge seks hikayeleri devant elle, ma bite s’échappant de son visage. Nous fûmes face à face, visage contre visage, je vis les yeux de maman brillants, doux, elle approcha ses lèvres et un baiser d’amour commença, je sentis sa langue entrouvrit mes lèvres, elle vint s’enrouler autour de ma langue, je me laissai faire puis je lui rendis son baiser avec violence et amour, je sentis le goût de mon sperme dans sa bouche, je n’avais jamais connu un tel instant de bonheur de ma jeune vie.

Ce baiser d’amour prenant fin, maman se leva, tel un vorace voyant son pubis devant moi, sa chatte offerte à mes yeux, je me précipitai pour la dévorer. J’eus enfin à porter de lèvres le sexe de maman, je m’en imprègne, je le respire, le sent, le goute, ma langue va et vint, de bas en haut et de haut en bas qui s’ouvre sur ma langue déchainée…

Les mains de maman vinrent derrière ma nuque, elle plaqua ma tête contre son sexe afin que je me calme, je comprends le message mai aussi le signal qu’elle aime cela…

-Oh oui, chéri lèche mon minou, c’est affolant j’aime ce que tu me fais avec ta langue, tu bouleverses à nouveau mes sens bébé me murmura-t-elle de sa voix excitée.

J’écartai son sexe avec deux doigts de ma main gauche. Je vis enfin, à quelques centimètres le lieu et endroit où je vins au monde. Léchant le lieu avec ma langue, je fus excité de la chose au maximum. J’embrassai sa vulve de toutes mes forces, je lui glissai ma langue à l’intérieur, je dégustai, je savourai, je me délectai du sexe de maman. Elle appuya sur ma nuque à tous les mouvements. Je remontai vers ce point tumescent à la pointe blanche qui ne cessa de grossir et s’allonger. Je pris ce clito dans ma bouche, le suça, ma langue tourbillonna autour de sa pointe, l’étirai avec force de mes lèvres serrées sur le clito. Ce fut grandiose ma bite redevint dure, je sentis maman qui se contractait vibrait à ce léchage forcené que je lui administrai. Je savourai tout, sa chatte, son goût, ses râles, ses vibrations.

Je lâche ma bite tenue et branlée par ma main droite et je décide de mettre l’index de celle-ci dans le vagin de maman, aussitôt une rection de contraction musculaire et un gémissement plus puissant m’indique que maman apprécie, je me dis que deux doigts seraient plus profitables, sa vulve est béante, glissante tellement inondée de sa cyprine, j’ai la certitude avec ce constat que je donne un plaisir délicieux à maman. Me voilà à l’intérieur avec mes deux doigts dans sa vulve. J’en fait le tour intérieur, autant que faire ce peut, et à un endroit je sentis une manifestation du corps de maman et un petit râle aigu, venu s’entremêler aux râles graves et forts. Je cesse immédiatement de bouger mes doigts et je me mis à faire des ronds à cet endroit avec mes deux doigts collés l’un contre l’autre. Quelques secondes, voire trente, je perçois des tremblements dans les jambes de maman, son ventre se contracter, elle s’arque, pousse ainsi sa chatte contre ma bouche, j’appuie légèrement un peu plus fort mes ronds, de suite les râlements devinrent vrombissants

– Mon Bébé que fais-tu? c’est bon trop bon!!!!!!!!!! tu vas me faire jouir….

– Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii , continue!! continue, mon bébé ça vient, ça vient

Elle serra ma tête avec ses mains contre sa vulve, ma bouche se trouve devant le trou de sa chatte, elle se contracte encore plus elle crie come ce n’est pas possible

– Je jouisssssssssssssss mon bébé!!!!!!!!!!!!!! je jouis de toi, par toi cela vient de mon ventre profond, trop bon ………………..

Je suis plaqué encore plus fort à l’issue de son vagin, une arrivée de cyprine arrive, je bois, je bois maman, et des larmes de plaisir arrivent sur mes joues, je n’ai jamais éprouvé un tel bonheur, un tel bien-être. Maman continue ses râles, ses torsions. Je bois à la fontaine de maman, je savoure puis un relâchement des muscles de maman, un silence et elle s’effondre à genoux devant moi, je ne reconnais pas son visage, celui-ci encore déformé par sa jouissance, son regard est comme absent, elle me regarde et petit à petit ses yeux reprennent vie, son visage redevient le sien de toujours, elle m’embrasse tendrement, me fait un baiser d’amour doux, délicat. Je le lui rends avec amour et plaisir.

– Tu m’as tué mon fils, tu m’as tué de délectation jouissive comme jamais, je n’ai jamais ressenti cela avant mon bébé, je suis encore en orgasme latent, je n’ai jamais joui en me faisant lécher le minou comme tu as su le faire, je t’aime, je t’adore mon bébé à moi

– Je n’ai fait que suivre les sensations émanées de ton corps maman et je n’ai jamais connu rien de meilleur que cette jouissance que tu m’as offerte, merci à toi mon amour

Elle me serre contre elle, je sens ses seins contre ma poitrine je masse sa nuque, je ne trouve rien de mieux que dire maman je t’aime, elle de me répondre :

– Moi aussi mon fils,

Mais nous savons tous deux que nous venons de vivre un instant magique et on veut le faire perdurer par l’étreinte de nos torses, toujours à genoux…

Un instant plus tard, je ne sais exactement la véritable durée,

Maman dit

– Mon trésor, il faut se ressaisir et tu sais quoi? on va devoir se relaver.

Elle part d’un éclat de rire pour enlever cette tension de l’instant comme elle sait si bien faire à l’ordinaire, se lève me prit la main et me soulève en disant

– On se lave à nouveau mais cette fois-ci nous restons sage et maitre de la situation. On ne batifole plus dit-elle en m’embrassant

– Oui! D’accord maman d’autant que je suis flagada

Lavage, rinçage, essuyage comme initialement l’un s’occupe de l’autre, maman s’attarde sur ma queue à l’essuyage, moi sur ses seins, ses fesses, sa chatte, nous sommes plus détendus et la bonne humeur revient par les remarques humoristiques de maman qui dégonflent ainsi l’atmosphère pesante de nos jouissances.

On sort de la salle de bains nus comme des vers, on se dirige vers nos chambres respectives. Je m’apprête à embrasser maman pour lui souhaiter une bonne nuit et l’étreindre pour avoir un dernier contact avec mon amour quand maman me dit

– Où vas-tu? ne veux-tu pas venir dormir avec moi? J’ai envie de dormir dans tes bras mon bébé, je ne veux pas te quitter.

– Avec un grand plaisir, maman d’amour, moi aussi je ne veux pas te laisser

– Alors vient mon trésor, que je me blottisse dans tes bras pour la nuit

Nous voilà dans la chambre, on s’embrasse, on se caresse tendrement, on s’enlace comme des amoureux. Nos regards sont chaleureux, lumineux, brillants

– Vu la tiédeur des nuits, on va faire économie des nuisette et pyjama, je vais pouvoir fleurer ta peau collée à mon corps toute la nuit

– Oui la réciproque est vraie aussi

Maman tire le couvre-lit, puis ouvre le drap, s’assied côté gauche, s’étend de tout son long dans le lit, tapote le lit de sa main gauche et montre ma future place.

– Viens mon trésor vient t’allonger à ta place

Je m’exécute, maman se met sur le côté, me regarde, j’ai le nez près de ses seins, elle m’embrasse

– Mon trésor, mon amour, tu m’as fait connaitre un orgasme fantastique, tu es mon homme maintenant, je suis à toi, je t’aime mentalement, sexuellement, je ne regrette rien de nos actes et ce n’est que le début de nous. Tu es un amant merveilleux, mon trésor

Elle m’embrassa de nouveau tendrement

– Tu m’as tuée deux jouissances grandes coup sur coup, aussi pour ce soir on s’arrêtera là, j’aimerai seulement être dans tes bras me blottir contre toi et m’endormir ainsi.

– Oui maman je suis de ton avis, et je suis flappi aussi de nos plaisirs immenses

– Que tu dormes dans mes bras, je ne pensais pas ce matin au lever que cela serait pour ce soir, et je pressens que cette nuit sera félicitée grandiose pour moi

– Pour moi aussi trésor et, en vérité, moi aussi je ne pensais pas passer la nuit blottie dans tes bras, mon amour et cette pensée me remplit d’un ravissement jamais ressenti à ce jour pour aucun homme.

Maman se retourne sur le côté, tente de me coller à elle, n’y arrivant elle dit

– Prends-moi dans tes bras amour, colle-toi à moi que je te sente bien

Ce que je fais, je passe un bras sous sa nuque, l’autre sur son flanc je mis ma main gauche sur son ventre doux et ferme. Mon bras sous sa nuque je le repli vers son devant et ma main droite est sur ses seins, je titille un téton, j’ai un début d’érection molle aussi je prends ma bite de ma main gauche la place dans le sillon fessier de maman qui se colle à moi

Ma main gauche reprend sa position sur son ventre, maman remue pour se mettre au mieux contre moi me bise les doigts de ma main droite et tiens ma main

– On va dormir amour bonne nuit, merci mon trésor de ce que tu me donnes depuis ces derniers temps merci de me faire connaitre ces instants magiques, Bonne nuit bébé, je t’aime

– Moi aussi maman et surtout merci à toi de me faire connaitre ces délices fabuleux, bonne nuit et douce nuit à toi mon amour

Maman éteint la lumière, je serre un instant son corps plus fortement comme pour la faire entrer en moi, je relâche l’étreinte

Je pense que nous sommes endormis de suite maman et moi.

Chapitre 4

L’odeur de café me réveilla, sortant de mon sommeil je ne reconnais pas ma chambre. Mes souvenirs me reviennent, la soirée, maman et moi, nos jouissances communes, maman qui enfin passe le Rubicon, puis notre mise au lit dans sa chambre. Mère blottie dans mes bras pour une nuit douce et agréable pour moi…

Je me rends, dans la cuisine, nu, pas envie de me rendre dans la mienne pour enfiler un boxer, maman est là, entrain de faire le petit déjeuner, elle porte un déshabillé, rien en dessous, elle est sublime maman!!!

– Bonjour maman d’amour, bien dormi, en ce qui me concerne, je n’ai pas souvenir d’avoir aussi bien dormi depuis longtemps, de t’avoir dans mes bras m’a fait un plaisir immense car c’est un vieux désir ancré en moi

– Bonjour trésor! oui j’ai bien dormi aussi et pour tout te dire, je me suis endormie en pensant que j’étais une petite fille en amour…

On s’embrasse d’un baiser d’amour tendre maman me serra contre elle, je l’étreins très fortement, je suis bien contre ce corps qui me rend amoureux démoniaque de ma mère.

On s’installe pour déguster ce que maman nous a préparé, me regarde avec des yeux souriants, luisant d’une lubricité que je ne soupçonnais pas mère capable, au grand plaisir pour moi.

Elle déglutie à vitesse grand V, en disant :

– Bébé, je file dans la salle de bains, je vais m’habiller, me maquiller un peu, je vais finir par être en retard

– Ok amour, je t’aime,

Je vois les belles fesses de maman s’enfuir et je n’arrive pas à m’ôter cette vision sublime

Une fois fini le petit déjeuner, je commence à ranger puis débarrasser le reste quand maman revient toute apprêtée, une autre femme ainsi, elle vient vers moi pour m’embrasser avant de partir, on s’embrasse, je me remets à bander au contact.

– Ce n’est pas possible mon trésor, tu me mets les sens en folies avec cette queue dure

J’allais répondre quand maman se met à genoux, dépose sa mallette, son sac et prend ma bite dans la main, me branle, elle avale ma queue savoureusement, sa langue tourne, tourne, je mets mes mains sur sa nuque

– Maman c’est bon, tu es une grande suceuse, une virtuose, j’aime que tu me suces

Elle ressort mon sexe de sa bouche

– J’aime te sucer moi aussi mon amour, j’adore l’avoir en bouche, ta queue me plait, voilà c’est dit

Elle reprend la pipe d’enfer, elle active le mouvement de branlette, cela devient accru, je suis au bord de la jouissance

– Maman je viens, ralenti, sinon j’explose.

Que nenni elle continue de plus en plus belle.

J’explose dans sa bouche comme hier soir elle gobe tout sans rien perdre, je suis vidé de mes forces

– Maman tu m’achèves de bon matin, je t’aime c’est merveilleux, tes pipes sont étonnements extraordinaires, je t’aime et aime tes pompiers d’amour

– Moi aussi mon grand et j’adore te boire mais là je dois filer, merci pour ta donation matinale, tu m’envoutes avec ta queue, elle se lève, récupère ses affaires, m’embrasse follement puis fuit vers la sortie.

Elle se retourne, pour dire :

– Vivement ce soir, je te promets que tu auras ma chatte, j’ai trop envie de la sentir en moi ta splendide verge, je t’aime, la journée va me paraitre longue

Elle disparut de mon champ de vision, j’entendis la porte d’entrée claquer, je reprends mes esprits peu à peu et me remémore ses dires « ce soir, tu auras ma chatte » cela m’ouvre de grandes perspectives avec maman. Elle a changé en peu de temps, pour ne pas dire vite…

Mais son changement d’attitude me plait énormément. Je ne vais pas me plaindre de l’amour que mère me porte. J’en suis très heureux d’autant que j’en suis follement amoureux

Ma journée s’étire longuement, jogging ce matin ensuite retour, douche, puis déjeuner seul, en fait je me suis fait un beau sandwich avec viande froide, tomate, salade et un coca…

L’après-midi sortie en ville, passant devant un ciné, j’entre me disant deux heures de tuer, le film fini, je me demande pourquoi je suis entré voir ce navet, je passe voir au café de rencontre avec les potes, personne de mes amis, tous en vacances, ailleurs sans doute. Au lieu de prendre le bus je décide de rentrer à pieds, cela me fera tuer une bonne heure supplémentaire, la fin de journée n’arrive jamais…

Me voilà de retour à la maison, il est presque dix-huit heures, mère ne sera pas là avant une bonne heure sinon plus, je tourne en rond, j’ai voulu prendre un bouquin mais impossible de me concentrer, je prends donc la console de jeux pour tuer le temps et me plonge dans une partie…

J’entends enfin l’entrée de maman, mon cœur se met à battre la chamade, je perçois sa voix dire :

– C’est moi

Elle doit se débarrasser de sa mallette, de la veste de son tailleur léger et de son sac comme d’habitude…

– Bonsoir mon trésor, pas trop longue ta journée, pour moi elle fut interminable, tellement j’avais hâte d’être là dit-elle en s’avançant dans le salon, je me lève pour l’embrasser

– Bonsoir Aurélie, oui longue, elle fut ma journée, cette attente est terriblement atterrante, mais te voilà

Je la serre contre moi et la couvre de baisers

– Ne restons pas là, je vais me changer, me démaquiller, prendre une douche, tu me raconteras ta journée et moi la mienne mon amour dit-elle en me prenant la main et m’attirant derrière elle

Je me laisse faire et suit mon amour de mère.

Nous sommes dans sa chambre, je m’assis sur le lit, mère me demande de lui raconter ma journée, ce que je fais pendant ce temps-là elle se déshabille, lève son chemisier, sa jupe, la voilà en culotte et soutien-gorge, elle va et vient comme si tout cela était naturel, je l’admire, elle est vraiment belle. Elle s’approche, me donne un baiser en enlevant sont soutien-gorge et j’ai les deux seins qui sont là devant mes yeux, je les contemple avidement de mes yeux, ils sont magnifiques, j’aime tout en maman, elle s’éloigne me tourne le dos, enlève sa culotte en levant une jambe après l’autre avec sa grâce naturelle, se retourne et me voila avec la vision de sa foufoune, son ventre, ses seins, nue elle s’offre à ma vue comme si nous étions des amants de longue date. Je me tais pour admirer.

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