Baisée comme un chienneBonjour, je m’appelle Mathilde, et comme vous le savez maintenant, il m’arrive d’être appelée à faire l’hôtesse…Comme je ne suis pas toujours en cours ou au club, il m’arrive aussi d’avoir une vie normale. Genre faire mes courses…Exceptionnellement et comme j’ai vraiment peu de choses à acheter, je me décide à me rendre dans la petite échoppe juste à coté de la fac. Je n’y vais jamais parce que c’est hors de prix, mais bon, pour du dissolvant et des cotons à démaquiller, ça va bien aller.Je constate en poussant la porte que je ne suis pas la seule ,le magasin est plein à craquer . Je me faufile donc entre les rayons, et cinq minutes après, je suis dans la file d’attente.Je me tortille d’impatience, ça n’avance pas. Et je sens tous les autres clients derrière moi qui trépignent d’ennui…Soudain, je sens une main qui s’insinue discrètement sous ma jupe. Je me retourne, prête à retourner une baffe à ce type qui se croit tout permis… mais je m’aperçois à temps que c’est un visage que je connais. Mais d’où??Çà y est, je me souviens, je me rappelle bien de lui, enfin, surtout de sa queue à vrai dire. C’est un des hommes que j’avais rencontré lors de ma première soirée d’hôtesse (comme le monde est petit, il faut que je tombe sur un des ces mecs)… Après une petite hésitation, je lui souris, me disant que j’ai peut-être à y gagner après tout!Un bon quart d’heure après, nous nous retrouvons donc dehors. Il me propose d’emblée, sans plus de discussion, une Escort partie cul chez lui, tout prêt, rémunérée bien sur.J’avoue que j’ai un peu bugué sur le trottoir… Je ne savais même pas si j’en avais le droit!Bon en même temps, coucher pour coucher, ça ne change rien pour moi… le seul truc qui me fait hésiter c’est sa tête de pervers, il a quand même pas l’air tout net. Je décide donc de garder mon sac à main (avec ma bombe au poivre) pas loin de moi.J’accepte donc sa proposition et le suis. Nous arrivons dans une belle résidence.Arrivés dans son vaste duplex, il me demande de me déshabiller, entièrement et de me bander les yeux. Je suis donc totalement nue et m’apprête à m’asseoir sur le canapé, tendant les bras devant moi pour ne pas tomber.Il se retourne vivement et sèchement me dis: “tu t’assiéras quand je te le dirai sale chienne!”Bon, bon OK, je ne veux pas le contrarier.J’attends donc debout, dans le noir. Au bout de 10 minutes qui me paraissent une éternité, mon partenaire revient. Je l’entends ouvrir ce qui me semble être une mallette, avec du matériel qui fait des petit bruit de métal sur le sol.Il me demande de m’installer sur le dos, à même le carrelage froid, les cuisses bien écartées. Je m’exécute un peu à contrecœur.Le voilà qui s’approche de mon sexe, un peu tendu par le froid. Au bruit caractéristique, je comprends qu’il commence par prendre des photos, de mon corps en entier puis de manière plus précise, il écarte mes lèvres avec nervosité et Escort Bayan prend de tellement gros plans que j’ai l’impression que l’objectif rentre en moi. Il farfouille bientôt dans sa mallette et en sors des objets qui font un bruit plus sourd sur le sol. Il en prend un et avec une v******e et une rapidité inouïe, tente de me l’enfoncer profondément dans la chatte. A la sensation que cela fait, je pense que c’est un gode en silicone ou latex. Peu importe en fait.Mais mon sexe peu habitué résiste. Il a beau cracher et baver entre mes cuisses, l’engin n’est même pas enfilé au quart de sa longueur. Il appuie de toutes ses forces et entame un mouvement de vrille pendant que de mon coté je crie et crie encore (heureusement que j’aime la bite). Lorsque mon corps cède enfin sous son acharnement je suis en transe, les flashs crépitent. Je sens un autre objet de forme allongée , plus fin mais plus long me rentrer dans le cul, il rentre et pousse de plus en plus fort. Je me sens possédée par cet homme violent. Je ne comprends plus vraiment ce qui m’arrive, j’entends le déclencheur de l’appareil qui ne cesse de fonctionner. Il me met à quatre pattes, d’une main ferme.Et vient prendre des images de mon visage déformé par l’effort et ma bouche tordue par les cris. Conscient de pouvoir aller plus loin, j’entends mon partenaire prendre un autre engin qu’il me fourre dans la bouche. Il est petit mais large, recouvert de poils, ou de fourrure je ne sais pas. La sensation dans Bayan Escort ma bouche est désagréable et je peux à peine respirer.Mes cris sont étouffés mais ne baissent pas d’intensité lorsque l’homme prend un gode dans chaque main et les agite, les enfonce jusqu’aux profondeurs de mon corps.J’ai l’impression que je ne vais pas tenir encore bien longtemps comme ça.Il me demande de me rouler par terre comme une pauvre chienne et je m’exécute tout en l’entendant faire toujours plus de clichés.Tout à coup, il retire avec fureur le gode fiché dans mon cul, mais c’est pour y insérer sa bite impatiente. Il remplace l’objet fourré dans ma chatte par un gros gode vibrant qui stimule délicieusement mon clitoris. Je me sens revivre… Il se cambre et réalise de rapides mouvements de va et viens, ça devient plus conventionnel et j’aime ça.A présent, il met son poing dans la bouche, à la place de l’espèce de peluche à présent trempée de salive. Il me fait une gorge profonde avec sa main pendant que le gode vibre et qu’il se trémousse dans mon petit cul.Je suis en extase et je joui enfin comme une folle. Il n’arrête pas de me baiser, à une cadence folle et soudain, lui aussi joui dans moi, il se vide en poussant un cri rauque et tombe à la renverse sur le sol froid. Le foutre chaud dégouline sur mes cuisses jusqu’à former une petite flaque par terre. Sur son commandement, je lèche le liquide à même le sol.J’enlève ensuite mon bandeau, enfile mes vêtements à la hâte, prends mon enveloppe et quitte l’homme, assis sur le carrelage de son grand appartement maintenant silencieux.Ouf, je suis quand même contente de sortir et je serais presque contente de rappeler Alain voire s’il n’a pas un truc un peu plus soft à me proposer.fin