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Nous sortions du lycée avec mes copines et nous avions décidé d’aller traîner dans la galerie commerciale. Nous étions toutes les quatre. Nous nous sommes arrêtées pour acheter un ice-cream et nous étions en train de le sucer quand nous avons éclaté de rire parce que c’était très excitant de voir la façon dont nous sucions notre ice-cream.
Félicia faisait comme si elle suçait une bite. Claudia donnait de grands coups de langue. Quant à moi, je l’avais enfoncé entièrement dans ma bouche et je collais ma langue dessus. Un vieux monsieur qui passait avec son épouse nous a regardées. Sa femme lui a dit de regarder ailleurs. J’ai sorti mon ice-cream et je lui ai tiré la langue.
J’ai vu qu’il se dirigeait vers les toilettes, au bout de ce couloir sombre et pendant que sa femme regardait les vitrines, j’ai suivi son mari. Un néon clignotait. Il est entré dans les toilettes. A droite, c’était les femmes, à gauche les hommes. Le vieux monsieur s’est retourné et il m’a vue et il a sorti un gros billet de sa poche qu’il m’a agité sous le nez.
Il n’a pas eu besoin de m’en dire plus. Je l’ai suivi dans une cabine et il a fermé le verrou puis il a ouvert sa braguette. Il agitait toujours le billet quand je me suis assise sur le siège. C’était la bonne position et j’ai pris sa bite dans la bouche. C’était la deuxième fois que je faisais ça. La première fois, j’avais besoin d’argent pour prendre le car et rentrer chez moi et je l’avais fait dans les toilettes de la gare routière.
Ce petit vieux était plein de vigueur et il était monté comme un âne. Sa bite devait bien faire vingt centimètres de long en érection et elle arrivait jusqu’au fond de ma gorge. Il a posé sa main sur ma tête et il m’a caressé les joues. J’ai sucé pendant un bon moment puis il a voulu toucher mes seins. Je me suis levée et j’ai soulevé mon pull. J’avais retiré mon soutien-gorge avant de partir du lycée parce que j’ai toujours détesté ça et je préfère toujours faire seins nus.

Le monsieur me touchait les seins. Il était doux et agréable avec moi. Il tirait sur mes mamelons et il les faisait rouler dans ses doigts. Il a posé ses lèvres sur mon oreille et il m’a dit que c’est bien que j’aie des gros seins puis il a voulu que je reprenne mon ouvrage et je me suis rassise pour sucer à nouveau sa bite et quelques secondes plus tard, il a éjaculé au fond de ma bouche.
C’était la première fois que ça m’arrivait et il a posé ses doigts sur ma bouche pour me forcer à avaler le sperme. Il a ajouté qu’il a toujours préféré les putains de mon genre. J’ai avalé le sperme et je me suis rincé la bouche en sortant de la cabine puis il m’a donné un autre billet, mais avant de retourner dans le couloir, il m’a demandé si j’ai déjà fait l’amour avec une femme. Je ne l’avais jamais fait.
Il a ajouté qu’il me donnera beaucoup d’argent si je viens chez lui faire l’amour à sa femme puis il m’a donné une carte de visite. Il n’y avait qu’un prénom et un numéro de téléphone. J’ai promis de réfléchir et il est parti. J’avais ce goût de sperme dans la bouche. J’ai rejoint mes amies qui étaient restées dans la galerie et je leur ai dit que si je suis restée longtemps c’est que j’ai la colique et ça les a fait rire.
Nous avons à nouveau croisé le couple un peu plus loin dans la galerie. Ils avaient fait des achats et ils portaient plusieurs sacs. Une fois chez moi, j’ai caché la carte de visite dans un livre et je l’ai oubliée. Quelques mois plus tard, je suis allée à l’université pour poursuivre mes études. En faisant ma valise, j’ai pris plusieurs livres que j’aimais et quand je me suis installée dans ce studio comme étudiante, j’ai rangé mes affaires.
Le livre était sur une étagère avec les autres livres et je l’ai fait tomber par inadvertance et la carte de visite s’est retrouvée sur le sol et c’est comme ça que je m’en suis rappelé. Si mes parents me payaient la location du studio, je devais payer les charges et surtout me nourrir et j’ai cherché un travail mais à moins de faire la barmaid, je ne trouvais rien.
J’ai appelé le couple et ils m’ont donné rendez-vous chez eux. C’était dans les beaux-quartiers et pas très loin de la fac. Ils m’ont dit que justement leur ancienne bonne venait de les quitter pour se marier. Ils m’ont parlé du salaire et de ce que je devais faire officiellement puis ils m’ont dit ce que je ferais officieusement, c’est-à-dire venir vivre avec eux, vivre nue et servir tous leurs caprices.
En échange de ça, j’avais le gite et le couvert et ils m’ont emmenée dans la chambre que j’allais occuper. Sur une étagère, il y avait tout un échantillon de jouets sexuels. La femme qui n’avait encore rien dit, m’a dit que je ne dormirais pas là, mais avec elle dans sa chambre et que je n’en sortirai que lorsque son mari aurait besoin de moi.
Je suis allé chercher mes affaires et je me suis installée. Le premier week-end, je n’ai eu rien à faire. J’étais nue et quand je passasi devant le couple, ils me touchaient et me faisaient des caresses mais le mari a fini par me prendre devant sa femme. Heureusement, je prenais la pilule parce que j’étais fécondable et il m’a pris deux fois de suite.
La femme est venue à mon secours et elle m’a caressée pendant toute la saillie pour suppléer son mari. Après, je l’ai suivie dans sa chambre et elle m’a toilettée avec sa langue et elle m’a fait jouir aussi. Ma nouvelle vie a commencé. Le matin, je faisais le ménage et l’après-midi j’allais à la fac. Dès que je rentrais, le couple s’occupait de moi. J’ai vite pris le pli et j’ai vite aimé ça. De temps en temps, j’avais quartier libre mais le sexe était ma principale occupation. Il m’arrivait aussi de faire mes devoirs et d’apprendre mes leçons alors que le mari me prenait en levrette et la femme me caressait la poitrine.
Quand je suis retourné voir mes parents, je leur ai dit que tout se passait bien. Ma mère était inquiète de savoir si j’arrivais à m’en tirer question d’argent. Quant à mon père, il regardait un match à la télé. J’avais une boîte dans ma chambre et toutes les semaines, je pouvais vérifier que les billets de banque s’y entassaient. Un jour, le couple m’a interdit d’avoir un amant.
Je n’en avais pas besoin et ils m’ont proposé de m’offrir un tatouage pour mon anniversaire. Ce n’était pas vraiment le genre dans ma famille mais j’aurais volontiers accepté d’avoir un piercing mais ils ne voulaient pas. C’était un tatouage ou rien. En fait un tatouage et des vêtements. Ils m’avaient déjà offert de beaux dessous que je n’avais mis qu’une seule fois. La femme avait un tatouage sur le bras droit, une licorne. Le mari avait un tatouage sur le bras gauche, une fille.
Ils m’ont montré un catalogue et j’en ai choisi un qui va de mon épaule jusqu’au coude puis j’en ai eu un qui a couvert tout mon avant bras. Après, j’en ai eu un sur la hanche et j’ai commencé à trouver ça excitant. J’avais beau avoir mis un pull à manches longues, le tatouage débordait sur le dessus de ma main et ma mère s’en est aperçu et la première chose qu’elle m’a demandé c’est si je veux faire la putain.
J’ai plaidé que c’est beau. Elle a voulu savoir si j’en ai d’autres et j’ai dû lui montrer et elle les a regardés attentivement tout en me disant que si mon père voit ça, il me tuera. Mes poils commençaient à repousser sur mon pubis où j’avais fait graver les prénoms de mes employeurs, Vlad et Natasha.
Ma mère m’a demandé si je fais souvent l’amour. Comment aurais-je pu lui cacher parce que mes petites lèvres pendaient. A vrai dire, j’avais quitté la maison avec une vulve de jeune fille et maintenant, j’avais une vulve de putain bien exercée et j’ai tiré sur mes petites lèvres pour montrer à ma mère les ailes de mon papillon.
C’était vraiment excitant.
Quand je suis rentré chez le couple, je leur ai tout raconté. Le mari a dit qu’il est temps, maintenant, qu’il m’encule et il m’a enculée pendant que je faisais un cuninlingus à sa femme qui n’a pas tardé à me jouir sur le visage. Je n’avais pas imaginé que la sodomie me plairait autant. Ça m’avait fait mal au début mais maintenant, j’aimais ça et dorénavant, j’ai eu droit à la bite dans tous mes trous et ma langue dans la chatte de la femme.
Je ne sais pas si c’est à cause de ça que j’ai réussi ma première année. J’ai eu une très bonne note.
En quatre ans, j’ai eu mes diplômes. Le couple n’a jamais cessé de m’encourager. Je suis même partie en vacances avec eux. Après, ils m’ont prévenue que j’allais être remplacée parce que je ne pouvais pas rester chez eux et ils m’ont même proposé de choisir avec eux celle qui allait me succéder mais j’ai refusé.

J’ai trouvé un emploi dans ma branche et j’ai même rencontré un homme qui est devenu mon amant et je me suis mariée avec lui parce que j’étais enceinte. Nous avons vécu cinq ans ensemble. Ce n’était pas la même chose qu’avec le couple parce qu’avec mon marie, c’était plutôt la saillie. Je ne saurais dire si j’étais heureuse. Après la naissance de ma fille, j’ai été à nouveau enceinte et ça a été un garçon. Les années suivantes, j’ai eu des jumeaux. Mon mari avait exigé que je cesse de travailler. De toute façon, avec mon gros ventre et mes seins gorgés de lait… J’aurai aimé qu’il soit plus attentionné, qu’il me fasse des caresses, qu’il soit plus amoureux et même qu’il tète mon lait mais je n’arrivais pas à lui en parler.
Avec quatre enfants, difficile de divorcer et pourtant, c’est ce que j’ai fait. La première commençait à peine à marcher, le second était en poussette et j’allaitais les deux derniers. Comme mon mari gagnait bien sa vie, j’ai eu droit à une pension. C’est lui qui a quitté l’appartement où nous vivions. J’ai employé une aide pour les enfants mais j’avais besoin de faire l’amour et j’allais d’un amant à un autre jusqu’à ce que je sois à nouveau enceinte.
Pour rien au monde je ne me serai faite avorter. Mon amant était aussi tatoué que moi. Il fréquentait des gens de son genre, tout aussi tatouée et je me suis retrouvée à faire l’amour avec eux. J’étais enceinte et ça n’avait plus d’importance mais on m’a retiré mes enfants et je me suis retrouvée seule, ce que je suis toujours aujourd’hui.

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