La fille de mon meilleur ami

La fille de mon meilleur ami
Je connais mon meilleur ami depuis le collège. On a fait nos études ensemble, on a fait nos bêtises ensemble, on a même couché avec la même fille (mais pas ensemble). Ensuite, on a continué chacun de notre côté et il a trouvé la femme de sa vie avec qui il s’est marié. J’ai même été témoin à son mariage et, lorsqu’il a eu une fille, j’ai été désigné pour être son parrain. Malgré la distance entre nous désormais, nous restons en contact et il nous arrive de nous prévoir des vacances ensemble (avec sa femme et sa fille bien entendu).
Au début de l’année, mon ami m’appelle pour me dire que ma filleule avait réussi ses examens et qu’elle avait décidé de suivre ses études dans une fac loin de chez ses parents mais proche de chez moi (25 minutes en tram environ). Je lui propose donc de l’héberger plutôt que de louer une chambre sur le campus et mon ami me répond qu’il voulait justement me le demander. Ma filleule, que j’appellerais ici Anne pour garder son anonymat, devait arriver dans quelques semaines pour faire son inscription à la fac. Je commence donc à préparer sa venue et je lui aménage une chambre à la place de mon bureau. Elle arrive le jour prévu et, ne l’ayant pas vu depuis quelques années, je suis surpris de ses changements depuis notre dernière rencontre. Elle a pas mal grandi et fait désormais presque ma taille, sa silhouette s’est grandement affinée aussi car elle était un peu boulotte auparavant. Sa taille et sa silhouette mettent bien en valeur ses fesses et sa poitrine qui, sans être énormes, ont des formes très agréables à regarder. De plus, ses yeux verts et ses cheveux châtains clairs lui vont bien. Je reste estomaqué pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’Anne me fasse sortir de mes songes pour la laisser entrer. Pour fêter son arrivée, je l’invite au restaurant puis nous passons la soirée à discuter et à regarder des films.
Plusieurs semaines se sont passées depuis l’arrivée d’Anne chez moi. Elle passe le plus clair de son temps à réviser ses cours et ne sort de sa chambre que pour manger et prendre une douche. Lors des repas, on discute un peu, généralement de ce qu’elle a fait dans la journée à la fac. Un soir, je la vois rentrer de cours un peu soucieuse et elle va directement dans sa chambre pour réviser. Au repas, je la retrouve encore soucieuse et je lui demande ce qui ne va pas. Elle me répond qu’elle a eu une discussion avec ses copines de la fac qui a commencé à dévier sur le sexe et qu’elle a découvert qu’elle était la seule du groupe à être encore vierge. Je m’étonne de sa révélation en moi-même car, avec un physique comme le sien, elle aurait pu depuis longtemps coucher avec n’importe quel mec de la fac. Elle m’explique alors qu’elle a envie que sa première relation sexuelle soit parfaite et qu’elle préfère attendre d’être prête. Je lui dis alors qu’elle a raison de penser ainsi et qu’elle ne doit pas se sentir obligée d’avoir des relations sexuelles avec un homme. Je rajoute que si elle a besoin de conseils dans ce domaine, je serais toujours prêt à lui répondre.
Elle me remercie en me faisant un baiser sur le front puis nous débarrassons la table pour aller se caler sur le canapé devant un film. Comme c’est un vendredi, nous nous permettons tous les deux de boire continuer la soirée en buvant quelques verres d’alcool. La discussion reprend alors sur le sexe et Anne n’hésite pas à me poser plein de questions sur ce sujet, surement décomplexée par l’alcool. Cela a pour effet malgré moi de me chauffer et je sens mon sexe se gonfler dans mon pantalon. Je lui réponds du mieux que je peux puis elle me demande ce que cela fait d’embrasser sur la bouche. Je lui dis alors l’effet que cela me produit à chaque fois que j’embrasse une femme pour la première fois. Je n’ai alors pas eu le temps de comprendre ce qui se passait qu’Anne s’était penchée vers moi et m’a embrassé sur la bouche. C’était juste un petit smack mais cela m’avait surpris. Elle s’est ensuite rassise et, voyant que je n’avais pas de réaction immédiate, me dis qu’elle était désolée pour ce baiser. Comprenant ce qu’elle cherchait, je lui ai alors répondu que ce n’était rien mais que j’allais lui montrer comment on embrasse vraiment quelqu’un. Joignant les actes à la parole, je me suis penché à mon tour vers elle et je l’ai embrassée à pleine bouche, cherchant à rentrer ma langue entre ses lèvres. Ces dernières me laissèrent le passage rapidement et nos langues se sont alors entremêlées. Je sentais son inexpérience qui s’est évaporé lorsqu’elle a compris comment faire.
Une fois ce baiser terminé, je l’ai complimenté sur son rapide apprentissage et elle m’a répondu que c’était facile avec un bon professeur. Elle m’a ensuite demandé si nous pouvions recommencer et j’ai acquiescé de la tête. Elle s’est rapprochée de moi pour que nos corps soient collés l’un à l’autre et nous nous sommes embrassés à nouveau. Nous avions nos corps qui étaient tournés un peu l’un vers l’autre et mes mains se sont posées sur le bas de ses joues. Timidement, elle posa son bras gauche sur le dossier du canapé et sa main gauche dans mes cheveux. Sa main droite, elle, était allée sur ma jambe droite, la plus proche d’elle. Sentant soudain une envie de continuer plus loin, Ma main gauche descendit dans son cou, puis sur son épaule pour finir sur le haut de son buste, juste au –dessus de son sein droit. De sa main droite, elle caressa ma cuisse jusqu’à arriver à la limite de mon entrejambe. Prenant cela pour un encouragement à aller plus loin, j’ai descendu ma main sur son sein que j’ai stimulé à travers ses vêtements. J’ai senti sous la paume de ma main son téton gonfler et durcir jusqu’à la faire gémir de plaisir. Je lui ai alors malaxé le sein avec plus de vigueur puis, avec l’aide de mon autre main, je lui ai soulevé le t-shirt jusqu’à lui enlever complètement. Voir son soutien-gorge bleu clair sur elle et sentir le contact de la peau de ses seins dans mes mains m’a fait comme un coup d’électricité dans le bas de mon ventre et m’a fait dresser ma verge jusqu’à en avoir mal tant elle était serrée dans mon pantalon.
Une fois son t-shirt enlevé, je lui ai malaxé les seins tout en l’embrassant dans le cou. Je sentais son cœur battre la chamade de plus en plus vite et je l’entendais respirer de plus en plus fort, ce qui était les signes de son excitation. J’ai fait glisser les bretelles de son soutien-gorge jusqu’au niveau de ses coudes puis j’ai passé mes mains derrière son dos pour lui dégrafer son vêtement. En même temps, j’ai continué de l’embrasser tout en descendant mes lèvres jusqu’à son sein gauche, à la limite de la peau et du tissu. Je sentais son désir monter progressivement et, au moment où son soutien-gorge fut détaché et tomba de sa poitrine, Anne eut comme un soupir de soulagement, comme si elle n’attendait que ça. De mon côté, je pus enfin admirer ses seins nus. Ils étaient certes gros comme je l’avais dit au début, mais ils tombaient en forme de poire avec au bout des aréoles roses foncées et pas trop petites ni trop grandes. Elle avait des tétons qui pointaient à leur maximum et qui étaient devenus si sensibles que le moindre contact lui provoquait une vague de plaisir dans tout le haut du corps. Pendant que ma main gauche s’occupait de son sein droit, je lui gobais le téton du sein gauche et je m’amusais à lui titiller avec la langue puis, au bout de quelques minutes, je changeais de sein et ainsi de suite pendant un bon moment. De son côté, Anne entrepris de défaire ma chemise et de me l’enlever pour que je me retrouve moi aussi torse nu. Elle m’a ensuite repoussé doucement pour pouvoir à son tour m’embrasser dans le cou puis sur le torse. Ses lèvres chaudes et humides me faisaient frémir à chacun de ses baisers déposés sur moi. Elle est ensuite descendue du canapé pour se positionner devant mes jambes et, pendant qu’elle m’embrassait le torse puis le ventre, elle entreprit de défaire mon pantalon et de me le baisser jusqu’aux chevilles. Mon caleçon ne tarda pas à suivre la même direction, ce qui me permit de me libérer de son étreinte. Elle finit de m’enlever mes derniers vêtements et je me suis alors retrouvé nu devant elle. Je la voyais qui fixait avec insistance mon sexe droit sur mon ventre et je lui ai demandé alors si c’était la première fois qu’elle voyait un pénis en érection. Elle me répondit qu’elle en avait déjà vu plusieurs fois sur internet sur des images pornos, par des webcams mais c’était la première fois qu’elle en avait un en vrai devant elle. Elle m’a dit aussi qu’elle avait déjà un film porno sur Internet avec des copines du lycée mais que ce n’était pas pareil qu’avec moi. Je me suis levé, lui ai tendu la main et je l’ai conduit jusque dans ma chambre.
Elle était debout devant moi, sa poitrine à nu et ses tétons qui pointaient vers moi. J’ai eu soudain l’envie de la prendre dans mes bras et de l’embrasser à pleine bouche. Je sentais son corps chaud contre moi et mes mains lui caressaient le dos depuis ses épaules jusqu’à la chute de ses reins, là où se trouvait son jean. Ne tenant plus, j’ai entrepris de lui enlever ce dernier et Anne s’est retrouvée face à moi avec juste sa culotte de la même couleur que son soutien-gorge. Je me suis mis à genoux devant elle et j’ai aperçu à travers le tissu qu’elle n’avait aucun poil pubien. Elle m’expliquera plus tard qu’elle n’a jamais eu de poil qui ait poussé sur elle durant sa puberté, que ce soit sous les aisselles, sur les jambes ou sur le pubis. J’ai également aperçu sur sa culotte une trace d’humidité. J’ai approché mon visage et j’ai commencé à l’embrasser à travers le tissu et plus spécialement là où se trouvait cette tâche de cyprine. Enfin, son dernier vêtement fut retiré. J’admirais quelques secondes sa petite fente, luisante d’humidité, puis je l’ai amenée jusqu’à mon lit pour l’allonger et profiter pleinement de son corps. Je me suis positionné entre ses jambes et j’ai entrepris de lui embrasser l’intérieur de ses cuisses, me rapprochant progressivement de son entrejambe qui s’ouvrait à moi au fur et à mesure de mon avancée. Lorsque j’ai posé mes lèvres sur ses parties intimes, j’ai senti que ses dernières défenses tombaient et qu’elle se laissait pleinement envahir par le plaisir jusqu’à atteindre un puissant orgasme, la faisant relâcher un flot de cyprine.
Lorsqu’elle put enfin reprendre ses esprits, Anne me demanda de me mettre debout à côté du lit pendant qu’elle serait assise au bord de ce dernier. Elle avait la tête à la hauteur de ma verge et regardait celle-ci avec insistance et curiosité. Comme je la savais complètement novice, je lui ai pris la main et je l’ai posée sur mon sexe, et en suivant mes conseils, elle commença la première masturbation d’un pénis de sa vie. Ensuite, je lui ai dit d’approcher sa bouche. Elle était stressée et, pour la détendre un peu, je l’ai guidé progressivement. Elle a d’abord posé se lèvres sur mon gland, comme pour donner un baiser, puis a recommencé plusieurs fois en restant un peu plus longtemps à chaque fois en contact jusqu’à ouvrir légèrement la bouche et faire entrer un peu le gland de mon sexe. Au fur et à mesure, mon sexe est rentré progressivement dans sa bouche et, une fois le gland complètement dans sa bouche, elle a commencé à me sucer tout en léchant la partie de mon sexe qui se trouvait dans sa bouche. Anne apprenait vraiment vite et savait comment faire pour sucer un pénis. A un moment, elle voulut essayer une gorge profonde mais ne parvint qu’à la moitié de ma verge avant de s’étouffer. Elle recommença et y arriva tant bien que mal mais ne resta pas plus d’une seconde ainsi avant de ressortir complètement mon sexe de sa bouche. Elle me dit qu’elle voulait arrêter de me sucer car elle avait mal à la mâchoire. Je l’ai donc allongé à nouveau sur le dos et je me suis allongé à côté d’elle.
Tout en lui caressant le ventre et le pubis, je lui demandais comment elle se sentait après cette première expérience sexuelle. Anne me répondit qu’elle trouvait cela agréable malgré quelques désagréments dus à son inexpérience dans ce domaine. Je lui ai alors demandé si elle souhaitait continuer plus loin dans son initiation. Elle me répondit par l’affirmative bien qu’elle avait encore quelques appréhensions sur son dépucelage. Je luis dis alors que je n’allais pas lui mentir et que la première fois lui fera très certainement mal dans son intimité vaginale. Je l’ai ensuite rassuré en lui disant que ce n’était pas la première fois que je me retrouvais avec une fille vierge et que dans la majorité des cas cela c’est relativement bien passé. Elle fut convaincue et ma laissa faire. J’ai donc continué de la caresser au niveau de son entrejambe. Anne m’a facilité le passage en écartant les jambes. J’ai commencé à lui titiller le clitoris qui était toujours aussi sensible et cela la fit gémir de nouveau. J’ai ensuite entrepris de rapprocher mon index de son vagin. Arrivé à l’entrée de ce dernier, je l’ai entendu prendre une bonne inspiration. J’ai donc commencé à y insérer mon doigt jusqu’à atteindre son hymen et j’ai caressé tout autour de ce dernier afin de stimuler sa libido et lui donner envie que j’aille plus loin en elle. J’ai donc continué ainsi jusqu’à ce que la demande d’une pénétration vienne d’elle.
Je me suis alors positionné à nouveau entre ses jambes mais cette fois ce fut mon sexe encore en érection qui se trouvait à l’entrée de sa fente. Je lui ai installé un oreiller sous les fesses afin de la relever un peu pour faciliter ce qui allait suivre. J’ai commencé par frotter mon gland puis le reste de mon sexe sur le sien afin de lubrifier au mieux mon pénis. Une fois que cela fut suffisant, j’ai présenté mon sexe à l’entrée de son intimité. Je suis rentré jusqu’à sentir rapidement son hymen qui vivait ses derniers instants. Je me suis alors arrêté ainsi et je me suis mis à lui caresser les seins, et plus particulièrement les tétons afin qu’elle se laisse aller et qu’elle prenne du plaisir. Je ressentais qu’elle ne pouvait attendre plus longtemps et j’ai donc forcé l’entrée de son vagin. L’hymen d’Anne céda presque immédiatement et je me suis retrouvé au fond de son intimité du premier coup. Je suis resté ainsi en elle le temps que la douleur se passe et qu’elle se soit habituée à ma présence en elle. Lorsque la douleur fut passée, je me suis retiré complètement d’elle et, chose normale, nous avions un peu de sang sur nos sexes, dû au déchirement de sa virginité.
Nous sommes alors allés dans la salle de bains pour nous nettoyer puis je lui ai proposé de recommencer juste après en lui promettant qu’à partir de maintenant elle aura beaucoup moins mal et qu’elle prendra bien plus de plaisir. Elle accepta et nous nous remîmes au lit, tous deux allongés l’un à côté de l’autre. J’ai commencé par me pencher sur elle pour l’embrasser à pleine bouche pendant que ma main gauche lui caressait le sein droit. Le téton de ce dernier ne tarda pas à redevenir dur suivi de près par son homologue sur le sein gauche dès que j’ai commencé à le lécher. Anne recommença à gémir sous l’excitation provoquée par mes caresses. Ma main droite ne tarda pas à descendre jusqu’à son entrejambe qui s’ouvrit pour me donner l’accès à son intimité. De son côté, sa main gauche prit mon sexe déjà dur en main et commença des va et viens lents et doux. Rapidement, ma main titilla son clitoris, ce qui me gratifia d’un gémissement de sa part. Je lui ai alors proposé de venir sur moi pour un 69 et, dès que mes lèvres touchèrent son clitoris, elle fonça sur mon sexe et le goba d’un coup. Plus je lui léchai son petit bouton, plus elle me pompait le pénis furieusement. Je sentais la cyprine couler le long de sa fente abondamment et je me régalais à laper son jus intime. Je dû toutefois lui demander de ralentir la cadence car je me sentais venir. Elle se releva, étant presque assise sur mon visage et ma langue passa alors de son clitoris à sa fente. Je m’amusais à rentrer autant que je le pouvais ma langue dans son intimité, ce qui la fit crier comme une furie jusqu’à avoir un puissant orgasme et s’écrouler sur moi. Lorsqu’Anne est revenue à elle, je l’avais allongée sur le dos et j’étais à ses côtés pour lui caresser le corps. Elle m’a alors demandé ce qui s’était passé et je lui ai expliqué qu’elle a eu un orgasme tellement fort qu’elle en avait perdu connaissance. Je lui ai demandé si elle voulait continuer ou remettre la suite à plus tard et elle choisit la seconde option mais seulement si elle pouvait dormir avec moi. J’ai accepté ses conditions et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain s’est ensuite passé comme si de rien n’était. Anne est restée dans sa chambre pour réviser et n’en sortait que pour manger le midi où nous n’avons presque pas discuté tellement nous étions gênés par les évènements de la veille. Lors du repas du soir, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai abordé le sujet de vendredi. Elle s’est alors excusée de ne pas avoir su se contrôler et de m’avoir incité à lui faire l’amour. Je lui ai répondu que nous sommes deux adultes responsables, que j’étais consentant et que si quelqu’un doit s’excuser pour avoir profité de l’occasion, c’était moi. La discussion a continué ainsi où chacun disait que c’était de sa faute si la situation avait dérapé ainsi et non celle de l’autre. A la fin, nous nous sommes mis d’accord pour dire que nous avions tous les deux notre part de responsabilité et nous nous sommes promis de ne plus recommencer.
Les jours et les semaines se sont passés sans que rien de la sorte ne se passe. Elle continuait de rester dans sa chambre pour réviser, ce qui réduisait drastiquement les chances de dé****r à nouveau. Un vendredi soir, Anne est revenue avec l’une de ses copines de la fac. Elle s’appelait Julie et avait le même âge que ma filleule. Elle était un peu plus grande qu’Anne et un peu plus large aussi au niveau des épaules et des hanches. J’ai également pu observer qu’elle avait une poitrine plus petite mais des fesses plus grosses, sans que cela ne soit difforme. Elle avait des cheveux bruns coupés courts, des yeux marron et une peau un peu plus halée que celle d’Anne. Cette dernière me demanda si cela me dérangeait si elle pouvait venir pour qu’elles puissent toutes les deux réviser. Je lui ai répondu que non à la seule condition qu’elle reste pour le diner. Les deux filles acceptèrent puis partirent dans la chambre pour réviser. Je ne les ai pas entendu de la soirée et, lorsque je les ai appelées pour venir manger je n’ai pas eu de réponse. J’insiste une seconde fois et je n’ai toujours pas eu de réponse. Je décide donc d’aller directement dans la chambre pour les faire venir et, en ouvrant la porte de sa chambre, je retrouve Anne et Julie en train de s’embrasser à pleine bouche. Anne avait ses bras autour du cou de Julie et cette dernière en profitait pour lui peloter les seins à travers son haut. Je suis resté sur le pas de la porte à les regarder, pensant que cela suffirait à les faire arrêter mais bien au contraire elles continuèrent et Julie commençait à relever le haut d’Anne. Cette dernière, certainement galvanisée par cet effeuillage, descendit ses mains depuis le cou de Julie jusque sur ses fesses pour ensuite la rapprocher le plus possible d’elle. De mon côté, je sentais que je commençais à avoir une érection et je me surpris même à me caresser le sexe à travers mon pantalon.
Reprenant mes esprits, je me suis approché d’elles et je leur ai mis une main sur l’épaule de chacune. Cela eut l’effet d’un électrochoc sur toutes les deux et je leur dit que, bien que je veuille ne pas casser l’ambiance, le repas était prêt. Anne m’a alors mis sa main sur mon sexe à travers mon pantalon et, un sourire aux lèvres, me déclara que le spectacle ne semblait pas me déplaire. J’ai donc admis une certaine excitation par rapport à ce qui venait de se passer. Anne proposa alors à Julie de mettre elle aussi sa main sur mon sexe et de sentir à son tour à quel point je bandais. Elle s’exécuta et fit la remarque qu’effectivement j’étais bien dur puis elle passa sa langue sur ses lèvres en me regardant droit dans les yeux. Nous nous sommes donc mis à table et nous avons discuté tous les trois. La discussion s’est évidemment orientée uniquement sur le sexe et Anne m’annonça que Julie était vierge. Je lui ai répondu que je croyais que toutes ses copines avaient déjà eu des rapports sexuels, selon ses dires. Elle me répondit que ces filles-là n’étaient plus ses copines à cause d’une dispute et que Julie était la seule copine de fac qu’elle avait. Au cours de la discussion, Julie m’informa qu’Anne lui avait parlé de son initiation avec moi et que cela l’avait beaucoup excitée tout à l’heure lorsqu’elle lui en parlé. Elles se sont ensuite embrassées et, l’excitation aidant, elles avaient commencées à se caresser jusqu’à ce que je les interrompe. Nous débarrassons la table et Anne me demande si Julie peut rester jusqu’au lendemain soir. Comme elle avait une chambre d’étudiant à côté de la fac, Julie préférait ne pas faire le trajet de nuit et en plus elles pourraient réviser le lendemain. J’ai accepté tout en sachant ce qui allait se passer et je les ai alors invitées à aller dans le salon pour continuer notre discussion. Elles ont accepté ma proposition et nous avons donc continué à discuter autour du sexe. N’ayant qu’un canapé trois places, nous étions tous assis les uns à côté des autres. Les deux filles m’ont demandé de me mettre entre elles tandis que Julie se trouvait à ma droite et Anne à ma gauche. Durant la conversation, je sentais leurs mains sur chacune de mes jambes. Anne commença la première à me la caresser doucement, suivie rapidement par Julie. Comprenant rapidement leur petit jeu, j’ai passé mes bras derrière elles et je les ai laissées faire. Anne m’a ensuite embrassé à pleine bouche et j’ai senti dans son baiser le désir monter en elle, comme lors de notre fois précédente. Après plusieurs baisers tous aussi ardents les uns comme les autres, je me suis tourné vers Julie pour goûter à ses lèvres. Au départ, elle fut timide et mit plus de temps que sa copine à venir m’embrasser mais quand elle toucha ma bouche avec la sienne, sa timidité fut vite remplacée par sa fougue. Pendant que j’étais en train d’embrasser Julie, Anne est venue dans mon cou pour me donner des baisers qui me donnèrent des frissons jusque dans mon pénis qui ne tarda pas à durcir. Anne entreprit alors de défaire mon pantalon et de sortir mon sexe pour mieux le caresser.
Julie avait vu ce que m’avait fait Anne et décida avec cette dernière de m’enlever complètement mon pantalon, puis mon caleçon. Vint enfin le tour de mon haut et je me suis donc retrouvé entièrement nu devant deux jeunes femmes en chaleur. Les deux jeunes femmes en question se mirent alors à me masturber de concert, Julie faisant des mouvements de va et viens sur ma hampe pendant qu’Anne me caressait les testicules. Je sentais le plaisir monter rapidement en moi, trop rapidement à mon goût même, et je leur ai demandé d’arrêter car si elles continuaient je n’allais pas tarder à jouir. Aussitôt, Julie cessa de me masturber mais Anne au contraire la remplaça et me prit même en bouche pour recevoir mon jus. A l’instant où j’ai senti ses lèvres toucher mon gland, j’ai atteint le paroxysme du plaisir et j’ai joui dans sa bouche. Anne garda l’intégralité de mon sperme dans sa bouche puis passa par-dessus moi pour aller embrasser Julie et partager le liquide avec elle. Pour ma part, sentant mon désir remonter pour ses jeunes femmes s’embrassant avec mon jus en bouche, j’ai relevé le haut d’Anne jusqu’aux épaules puis j’ai dégrafé son soutien-gorge. Julie ne perdait pas une miette du spectacle qui lui était offert et j’ai décidé de caresser le dos d’Anne, puis de descendre sur ses côtes jusqu’à atteindre ses seins encore dans les bonnets du soutien-gorge. Je suis passé outre ce vêtement et j’ai attrapé à pleines mains les deux globes d’Anne pour les malaxer. Cette dernière s’est mise à gémir et j’ai senti ses tétons pointer entre mes doigts. De son côté, elle releva le haut de Julie jusqu’aux épaules, comme elle, et elle caressa également les seins de cette dernière à travers un soutien-gorge noir avec de la dentelle sur les bords. Pour l’aider dans sa tâche, j’ai passé ma main droite derrière Julie et j’ai dégrafé le soutien-gorge de cette dernière. Anne en a alors profité pour relever le soutien-gorge de Julie et dévoiler ainsi ses seins.
Autant les seins d’Anne étaient gros avec petites aréoles brunes, autant ceux de Julie étaient petits avec des aréoles plus grandes et à peine plus roses que sa peau. Pendant qu’Anne malaxait les seins de Julie, j’ai aidé cette dernière à retirer son haut et son soutien-gorge qui gênaient plus qu’autre chose. J’ai également pu faire la même chose à Anne qui s’est ensuite mise à genoux entre mes jambes. Elle s’est ensuite mise à me sucer le sexe qui était redevenu très dur et, pendant ce temps, j’embrassais Julie. Ma main gauche lui caressait un sein et lui en titillait le téton tandis que ma main droite lui caressait les fesses par-dessus son jean pour ensuite passer en dessous. Ma main gauche descendit alors jusqu’à son jean et je lui ai ouvert ce dernier, me facilitant ainsi l’accès à son intimité aussi bien par devant que par derrière. Je découvris également que sa culotte s’avéra être un string noir avec de la dentelle, assorti à son soutien-gorge. Pendant ce temps, Anne avait décidé de me masturber avec ses seins, faisant ainsi une cravate de notaire. Cela lui permettait de mieux profiter de la vue que Julie et moi offrions.
Voulant continuer cette séance de manière plus confortable, j’ai proposé aux deux filles de m’accompagner dans ma chambre, ce qu’elles acceptèrent sans se faire prier. Sur le trajet, je voyais Julie qui peinait à marcher avec son jean qui lui tombait sur les chevilles. Je lui ai proposé de le lui enlever avant de continuer tout en me mettant à genoux devant elle. Son jean fut rapidement ôté, ainsi que son string et je vis son intimité surplombé d’un petit duvet en forme de triangle sur lequel j’ai déposé un baiser. En me relevant, je me suis frotté à elle calant mon sexe bien dur entre ses jambes. La sensation du contact de nos deux sexes lui procura un frisson qui lui arracha un petit cri de bonheur et de satisfaction. Elle m’embrassa à pleine bouche, croisant ses bras derrière ma tête. Je l’ai ensuite portée en la soulevant par les fesses et elle a enroulé ses jambes autour de ma taille. C’est donc ainsi que nous avons rejoint Anne dans ma chambre. Cette dernière avait fini de se déshabiller toute seule et elle nous attendait déjà sur le lit, allongée sur le dos et commençait déjà à se caresser le sein gauche et la vulve. J’ai posé délicatement Julie juste à côté d’elle puis j’ai entrepris de descendre mes baisers tout le long en passant par ses seins. Lorsque je me suis attardé sur ces derniers, plus spécialement sur ses tétons, Julie s’est mise à gémir de plaisir sous les coups de langue que je lui procurais. Une fois que j’ai abandonné ses seins pour me diriger vers son entrejambe, Anne a alors saisi l’opportunité et s’est mise à lui lécher les tétons déjà durs. Arrivé sur son pubis, j’ai commencé à lui tirer légèrement sa petite toison avec ma bouche puis je l’ai embrassé sur tout l’intérieur de ses cuisses, du genou jusqu’à l’aine. Une fois à cette dernière, je lui ai déposé plusieurs baisers tout autour de son intimité, en faisant bien attention de ne pas toucher celle-ci afin de faire monter son envie. Ce petit manège cessa lorsqu’elle posa une main dans mes cheveux pour me diriger vers son sexe. J’ai alors commencé à le lui embrasser puis j’ai ouvert délicatement ses lèvres inférieures pour offrir à ma langue son clitoris. Au simple contact de ces deux derniers, Julie gémit à plein poumon tellement le plaisir montait en elle. Tout d’un coup, elle eut son premier orgasme (elle me le confiera plus tard) qui, à ma grande surprise, lui fit jaillir des flots de cyprine sur tout mon visage. Julie venait alors de se découvrir femme fontaine.
A ce moment, je voulais voir jusqu’où je pouvais aller avec elle et je descendis ma langue jusqu’à l’entrée de son anus. La réaction ne se fit pas attendre et elle gémit de nouveau et je pus même insérer un doigt dans son fondement, puis un deuxième. J’étais tellement excité que je ne pouvais plus attendre et je me suis relevé pour rapprocher mon sexe du sien. Julie me demanda alors de commencer à la pénétrer non pas dans son vagin mais par voie anale. Après avoir mis un préservatif que m’a apporté Anne, j’ai présenté mon pénis à l’entrée de son anus, je l’ai positionné et, tout en le maintenant en place, j’ai poussé doucement pour le faire rentrer. Lorsque je voyais que cela lui faisait mal, je m’arrêtais le temps qu’elle ne ressente plus la douleur. Une fois entré jusqu’à la garde, je suis resté ainsi pour que Julie puisse s’habituer à ma présence en elle, ensuite j’ai commencé à effectuer quelques mouvements de va et viens, d’abord doucement puis de plus en plus vite jusqu’à ce que la douleur qu’elle ressentait au début soit changée en vagues de plaisir et de désir. Je me suis retiré d’elle lorsque j’ai senti que son anus se resserrait sur mon sexe à m’en faire mal. Anne s’est ensuite mise entre les jambes de Julie, entre Julie et moi, écartant se propres jambes pour écarter encore plus celles de sa copine de fac. Elle s’est ensuite allongée sur Julie et l’embrassait à pleine bouche tout en lui malaxant les seins. J’avais alors une vue imprenable sur ses deux sexes féminins ouverts et leurs anus. J’ai enlevé le préservatif et j’ai alors présenté ma verge à l’entrée du vagin d’Anne, attendant son feu vert pour y entrer. J’ai alors entendu un oui tellement expressif que le doute ne m’était plus permis, Anne voulait que la prenne à cet instant. J’ai commencé à entrer mon sexe jusqu’à atteindre le fond de son utérus puis je lui ai fait l’amour en levrette, d’abord doucement car c’était sa seconde fois seulement puis de plus en plus vite et de plus en plus fort pour la faire crier littéralement de plaisir. Dans cette position, à chaque coup de butoir, mes testicules tapaient sur le vagin de Julie qui gémissait sous le traitement qu’elle subissait.
Ressentant que je n’allais pas tarder à venir à ce rythme, je me retiré d’Anne et j’ai présenté mon pénis à l’entrée du sexe de Julie. Celle-ci fut moins enjouée qu’Anne mais me dit que j pouvais y aller et la dépuceler. Les premiers centimètres furent faciles à entrer car elle mouillait énormément puis je suis arrivé à son hymen qui céda rapidement devant mon membre. Julie poussa un léger cri de douleur mais ressentit presque aussitôt du plaisir lui parcourir tout le corps. Tout comme pour sa copine, j’ai commencé doucement les mouvements de va et viens puis j’ai accéléré au fur et à mesure jusqu’à sentir mon plaisir monter jusqu’au point de non-retour. Je suis alors sorti de Julie et dans un râle de plaisir, j’ai joui sur les fesses d’Anne puis sur leurs sexes à toutes les deux. Anne fut toutefois déçue de ne pas avoir essayé à son tour la sodomie et je lui ai répondu que ce n’est que partie remise. Par la suite, nous sommes tous les trois allés prendre une douche car nous avions transpiré beaucoup et mon sperme coulait le long de leurs jambes. Nous sommes ensuite partis nous coucher tous les trois dans mon lit, chacune des deux filles sur l’une de mes épaules. Le lendemain matin, je fus réveillé par les deux filles qui étaient en train de jouer avec mon sexe qui vraisemblablement était réveillé bien avant moi. Anne était en train de me masturber le membre tandis que Julie me suçait le bout du gland tout en faisant tourner sa langue autour de celui-ci. L’effet fut quasiment immédiat et j’ai joui sur le visage de Julie. Anne s’est ensuite rapprochée de cette dernière et lui a léché tout le sperme qu’elle avait sur le visage. Nous avons ensuite fait l’amour tout le weekend, ce qui leur avait fait réviser leurs cours d’éducation sexuelle, et Anne a été sodomisé par mes soins pour la première fois.
Jusqu’à la fin de l’année scolaire qui était déjà bien entamée à ce moment, nous nous sommes retrouvés tous les trois chez moi lorsque nous le pouvions, des fois sans Julie qui rejoignait ses parents, des fois sans Anne qui rejoignait les siens. J’avais toutefois mis comme condition que leurs devoirs soient faits et que cela ne fasse pas baisser leurs notes. Une fois ces conditions remplies, nous faisions l’amour tout au long de la journée jusqu’à tard dans la nuit. Anne et Julie ont même découvert le plaisir saphique et sont devenues toutes les deux bisexuelles. Pour la rentrée suivante, Anne avait enfin du temps pour se trouver un job à côté de ses études, tout comme Julie et elles ont alors décidé d’emménager ensemble comme colocataires. Le père d’Anne était venu une fois me demander si sa fille n’était pas devenue lesbienne et, après avoir insisté pour tout savoir, je lui ai tout dit à propos des relations que j’entretenais avec Anne et Julie. Il fut d’abord furieux puis après y avoir réfléchi longtemps fut plus détendu sur cette idée car il me connaissait depuis longtemps et savait comment je traitais les femmes et me dit que sa fille aurait pu tomber sur bien pire. Je lui ai promis qu’en tant que parrain je ne la laisserais pas faire n’importe quoi non plus.

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