Quand Margot devient chienne 21
Et la fête continue.
Ce jour là encore, Perle et son mentor était au restaurant. Pas le même que l’autre jour mais un peu dans le même style. Elle se dit que « BHV » devait apprécier ce genre de décor. Et finalement, elle aussi. C’était cossu, chaleureux et tranquille, on n’entendait pas les conversations des autres clients, à peine le bruit des fourchettes dans les assiettes. En entrant, « BHV » s’est directement dirigé vers le fond de la salle, Perle dans son sillage. Un serveur qui semblait l’attendre ouvrit une porte et ils pénétrèrent dans un salon privé. À leur arrivée, trois hommes et une femme se levèrent pour les saluer. « BHV » présenta Perle un peu comme sa dernière acquisition, elle en fut vexée. Mais très vite il fit l’éloge de ses qualités ce qui lui fit bomber machinalement le torse, mettant ainsi sa poitrine en avant. Chacun la complimenta sur sa beauté et sur les talents que lui prêtait son Maître.
Perle observait chacun des convives à la dérobée, mais il lui semblait bien qu’elle ne connaissait personne. Après l’apéritif où quelques banalités d’usages sur le temps, la politique et les embouteillages furent égrenées, trois serveurs apportèrent des assiettes sous cloches devant chacun. Comme dans un ballet bien réglé, ils prirent les cloches deux à deux et soulevèrent de concert, laissant échapper les effluves épicées d’une assiettées de gambas.
Tous avaient faim aussi le début de la dégustation fut silencieux. Puis, peu à peu la conversation reprit. Maintenant c’était plus sérieux. On abordait sembla-t-il à Perle, le marché de l’art. On parlait tableaux, galeries, expositions, Tokyo, Londres, Milan. Tout un tas de choses auxquelles elle ne comprenait quasiment rien. « BHV » parlait de billet d’avion, de séjour, de décalage horaire. Mais si il part je devient quoi moi ? Se demanda-t-elle. Ou alors il va m’emmener. Oui c’est ça, je vais aller avec lui dans ces galeries d’art, ces expositions à travers le monde. Il va me faire découvrir d’autres horizons, d’autres gens. Je vais me faire sauter par des chinois, des japonais, des indiens, des colombiens. Il sera fier de moi.
– Perle !
– …
– Peeerle !!
– Hein ? Oh oui, pardon. Que …
– Et bien où étais-tu ? Je t’ai appelée quatre fois avant que tu ne daignes revenir parmi nous. À quoi penses-tu ?
– Oh, rien, rien du tout. C’est votre conversation, toutes ces villes à travers le monde, je rêvais c’est tout. Excusez-moi Maître.
– Bon ce n’est rien, je te comprends d’ailleurs. Mais maintenant ces messieurs et peut-être aussi cette dame ?
– Euh, oui je veux bien. Répondit l’intéressée.
– Et donc cette dame, souhaitent avoir un petit aperçu de tes talents.
– Ah bon ? Comment ça ?
– Oh c’est très simple, tu passes immédiatement sous la table et tu satisfaits chacun de ces messieurs et madame. Peut-être d’ailleurs en commençant par elle, galanterie oblige…
– Que je …
– Oui c’est ça, allez exécution, ne m’oblige pas répéter.
– Mais …
– Perle !!! Et arranges toi pour que les habits de ses messieurs et dame ne soient pas tachés, ils doivent retourner au bureau après déjeuner.
Alors elle se coula sous la table et commença sa besogne. Comme convenu elle s’approcha des jambes de la femme. Cette dernière avait remonté sa jupe et s’était avancée sur le devant de sa chaise. Perle posa ses mains sur les genoux et caressa les cuisses en remontant jusqu’où la chair est à nue. Elle entendit des gémissements signe que ses mains étaient efficaces. Elle revint aux genoux et fit une pression vers l’extérieur pour les écarter. Elle avança son visage entre les cuisses et leur fit quelques baisers appuyés. Elle passa ensuite ses mains derrière les fesses de la femme et l’obligea à s’avancer d’avantage. Enfin à portée de langue, la coquine voyageait elle aussi sans culotte, elle enfouit son nez dans la fine toison d’où perlait déjà une chaude humidité. Perle réussit à passer ses bras sous les genoux de la femme et les posa sur ses épaules. Ainsi positionnée, la chatte était plus accessible et s’ouvrait légèrement. Perle lui mit quelques grands coups de langue de bas en haut qui la firent encore frémir. Puis elle tira sur les grandes lèvres et commença à titiller le petit bouton qui sortait de sa cachette. Il devint rapidement gros et un flot de cyprine arrosa Perle qu’elle s’efforça d’avaler entièrement. La femme venait de jouir.
Elle s’attaqua, si on peut dire, à l’homme qui se trouvait à la droite de la femme. Il avait déjà sorti sa bite de sa braguette et se branlait en attendant son tour. En faisant un rapide tour d’horizon elle constata qu’il en était de même pour les deux autres. Elle se saisit donc de la première bite et continua de la branler. Celle-ci n’était pas bien grosse au regard de ce qu’elle avait pris l’habitude de chevaucher. Elle s’appliqua néanmoins à lui donner du plaisir et avala en totalité le foutre au demeurant peu abondant de son premier candidat.
Elle passa au second sans attendre et constata que celui la était déjà près de l’apoplexie tant sa bite était violacée. De fait elle n’eut pas beaucoup à sucer qu’il se déversait déjà dans sa gorge. Et pas une goutte à coté. On a sa fierté …
Le troisième avait un braquemard de belle taille. Elle se cogna d’ailleurs la tête sous la table en voulant le prendre en bouche. Elle dû la tirer vers elle pour pouvoir l’emboucher plus aisément. Là, par contre elle dû s’employer un bon moment avant de le faire cracher son venin. L’intéressé avait réussi à passer ses mains sous la table et tenait la tête de Perle afin de l’obliger à faire des gorges profondes qui avaient le don de lui donner la nausée, surtout lorsqu’elle était forcée. A son rythme, ça allait, elle maîtrisait sa respiration. Finalement elle réussit à se dégager et fit jouir le troisième et dernier.
Le bruit des zips qu’on remonte fut le signal pour elle de revenir à la surface. Elle n’osait regarder personne. Honteuse. Mais « BHV » la félicita et tout le monde loua ses talents. Même la femme fit son éloge et assura que personne ne l’avait si bien léchée depuis longtemps et la remercia de l’avoir fait jouir si fort. Chacun se leva ensuite afin d’ajuster ses vêtements. Tous saluèrent et remercièrent « BHV » en le félicitant encore pour sa soumise hors paire.
Restés tous les deux dans le petit salon, le silence devint rapidement pesant. Perle n’osait rien dire et attendait la suite des évènements. « BHV » semblait réfléchir puis se leva à son tour et fit signe à Perle de le suivre.
Ils quittèrent le restaurant toujours en silence. La voiture n ‘était pas loin, en les apercevant à la porte le « croque-mort » démarra et vint se poster devant eux. Ils s’y engouffrèrent et ce n’est qu’une fois installés que « BHV » se décida.
– Perle.
– Oui ?
– Ne m’interrompt pas je te prie.
– Pardon Maître
– Je suis très déçu …
– Mais qu’est-ce …
– Je t’ai demandé de ne pas m’interrompre !… Je reprends. Je suis très déçu. Tu sembles ne pas vouloir m’obéir comme je le souhaite. C’est très désagréable pour moi, surtout devant mes amis. Je te demande certaine chose et tu hésites. Je sens même que parfois tu es sur le point de refuser. Je ne peux tolérer une telle attitude. J’avais confiance en toi. Je t’ai toujours bien traitée me semble-t-il. J’ai toujours veillé sur toi. Et toi pour me remercier tu me ridiculises devant mes amis. De plus, lorsque je te dis d’aller sucer quelqu’un, ce n’est pas pour te faire enculer comme l’autre jour dans les toilettes sans mon autorisation. Je ne peux pas continuer ainsi, aussi je ne vois que deux solutions. Ou bien tu rentres chez toi et tout s’arrête ou bien …
– Non Maître !!! Ne me laissez pas je vous en supplie ! Punissez-moi ! Faites ce que vous voulez de moi mais ne m’abandonnez pas. Dites-moi ce que vous voulez je le ferai. N’importe quoi, j’obéirai c’est promis. Je ferai la pute pour vous si vous voulez. Vous me voulez salope je le serai. Dites-moi Maître, dites-moi.
– Effectivement, il y a cette solution. Je peux te punir. Puisque c’est ce que tu sembles vouloir je vais y réfléchir.
– Oh oui Maître punissez-moi ! Dites-moi !
– Je t’ai dis que j’allais y réfléchir, alors ça suffit.
« BHV » laissa passer quelques jours. Il ne la fit pas venir chez lui, ni ne l’appela. Il la laissait mijoter. Elle devait être tourmentée se disait-il à se demander ce qu’il allait bien pouvoir lui trouver comme punition. C’était une bonne chose. On pouvait même considérer que cela faisait partie de la sanction. En même temps il se demandait ce qu’il allait bien pouvoir trouver comme punition. La faire baiser ou enculer lui donnerait plus de plaisir que de peine, même de façon intense. Et puis même pour la punir il ne voulait pas l’emmener n’importe où ni avec n’importe qui, alors ? Que faire ? A priori il ne lui restait plus qu’une seule option : « la douleur physique ». Oui, c’est ça. Je vais la faire un peu souffrir. Pas trop fort tout de même. Mais il faut qu’elle y goûte. C’est même une très bonne idée de punition. Comme elle n’aime pas ça, ce sera encore plus dur pour elle. Je ne serai pas trop méchant mais il faut qu’elle le croit. D’abord pour ma crédibilité et puis on ne sait jamais, elle peut y prendre goût. Allez, c’est décidé, on y va pour les douleurs physiques.
Après ces réflexions, « BHV » attrapa le téléphone et m’appela.
– Bonjour mon cher Laurent, comment allez-vous ?
– Bonjour Bernard, fort bien et vous même ?
– Très bien aussi je vous remercie.
– Qu’est-ce qui vous amène, rein de grave j’espère ? Il est si rare que vous m’appeliez.
– Non, non, rien de grave rassurez-vous. Margot ne vous a rien dit ?
– Euh, non. Comment ça ? A quel propos ?
– Par rapport à elle.
– Non, pas que je sache.
– J’ai décidé de la punir.
– Ah bon, pourquoi ?
– Elle ne m’a pas obéi comme je le souhaitais.
– Ah ? Et ?
– Et bien je l’ai menacée de ne plus m’occuper d’elle et elle m’a supplié de la punir mais de la garder.
– Ah bon. Très bien. Et que viens-je faire là dedans ?
– Et bien je voulais vous prévenir d’une part et d’autre part vous demander votre avis aussi.
– Mon avis !??
– Oui votre avis car j’ai pris une décision mais je voudrais quand même votre approbation.
– Ah ? Et que dois-je approuver ?
– Et bien je me suis dis qu’une punition tournant autour du sexe pur ne serait pas vraiment une punition pour elle vu comme elle aime ça.
– Oui je me doute, alors ?
– Alors j’ai pensé avoir recours à la douleur.
– La douleur !!!?? Comme vous y allez !
– Ne vous emballez pas. Je ne lui ferai rien de très dur rassurez-vous. Je ne suis pas fou non plus. Mais je me dois de marquer le coup de manière assez nette. Je pensais à quelque chose d’assez soft. Quelque chose qui ne laisse pas de marque vous voyez ?
– Ah je préfère ça. Nous étions bien d’accord, pas de v******e.
– Non, non, pas de souci de ce côté. D’ailleurs si vous le voulez vous pourrez être présent. Même caché.
– Euh, je ne sais pas. Je vais voir, peut-être. Enfin je ne crois pas avoir envie de la voir souffrir, même si c’est juste un peu. Je vous dirai ça plus tard. Au fait, vous avez prévu ça quand ?
– Ce week-end.
– Très bien.
A suivre….