Vive la marche à pied

Vive la marche à pied
C’était le début de l’automne, les journées devenaient plus courtes, le fond de l’air était frais mais un chaud soleil agrémentait encore ce bel après-midi. On avait décidé, mon épouse et moi d’aller faire de la marche à pied dans un immense parc dont peut s’honorer la ville où nous habitons. On fait un premier tour de parc et on remarque un couple qui marche comme nous mais en sens inverse. Ils ont l’air très liés et se tiennent par la main. La femme, contrairement à ce qui se fait quand on pratique ce genre d’exercice, la marche, a une jupe qui lui monte assez haut sur ses cuisses rondes.

On fait un deuxième tour et nous les croisons à nouveau. Cette fois, on se sourit, histoire de dire : « On est des vrais sportifs, on continue ». Au troisième tour, on les croise encore. Et les uns et les autres, on est un peu fatigués car le tour complet du parc ne fait pas loin d’un bon kilomètre. On se regarde et on se dit : « Alors, vous continuez ? ». La femme me répond : « Oui, mais on pensait faire une petite halte, on a repéré des bancs où il semble faire bon s’arrêter » et on les voit se diriger vers un endroit calme où deux bancs se font face. On les laisse et on continue à marcher. Au quatrième tour, un peu de repos n’est pas de reste et on se dit qu’on va aller vers les bancs où on a vu se rendre l’autre couple. Ils y sont encore et on les voit de dos. Ils sont très près l’un de l’autre.

« On ne vous dérange pas ? », je lance à la cantonade. De fait, le temps que nous arrivions à les voir, je me rends compte qu’ils étaient entrain de s’embrasser, que la femme avait les jambes écartées et que le mari avait une main sur ses seins. Oups, trop tard pour partir sur la pointe des pieds et dire « On s’excuse ». A ma question, le mari me répond :  « Non, vous ne nous dérangez pas du tout, venez donc vous asseoir », ce que l’on fait sur le banc qui leur fait face.

On se présente, ils font de même, la femme se prénomme Annie et le mari Bruno. Ils ont remis un semblant d’ordre dans leur tenue mais je vois Annie bien embêtée avec un bout de tissus qui dépasse d’une poche de sa jupe. Vu la couleur, un beau rose fuchsia, je comprends que c’est son slip qu’elle a enlevé avant qu’on arrive. On commence à discuter et on se trouve des tas de points communs : c’est la première fois qu’ils se trouvent à nouveau ensemble, leurs enfants étant partis faire leurs études dans d’autres villes, ils adorent les voyages et le soleil et ils sont préoccupés par les grands problèmes de ce monde.

Le temps tourne et au moment de se séparer, Bruno nous dit : « Venez donc boire un pot à la maison, ce n’est pas bien loin et je pourrai vous montrer mon jardin et tout ce que j’y plante ». avec une pointe de fierté. La fin de l’après-midi est là mais on dispose bien d’une paire d’heures pour profiter de cette fin de journée de début de l’automne. Nous nous rendons donc chez nos nouveaux amis. On prend un verre pour nous désaltérer et les discussions s’engagent : sur les plantes pour ma femme et Bruno, sur les grands sujets de notre monde pour Annie et moi. On est tellement absorbés qu’on se rend à peine compte que nos conjoints sont sortis pour profiter du jardin.

A un certain moment, on s’arrête de parler, on se regarde, on se sourit et Annie me dit (entre temps on se tutoie) : « Tu sais que Bruno est un sacré dragueur ! Je ne sais pas si c’est très prudent qu’il soit avec ta femme ». Je fais part de mon étonnement et je lui dis que je fais toute confiance à ma femme. Elle me dit : « Vas quand voir dans la cabane au fond du jardin, ne te fais pas remarquer ». Ce qui fut dis fut fait et me voilà entrain d’épier derrière la fenêtre maculée de terre et de toiles d’araignées. Ce que je vois ne prête pas à confusion : ma femme est à genoux, la bite de Bruno dans sa bouche et lui, il lui palpe les seins.

Au lieu de me fâcher, je sens ma bite se tendre et je passe ma main sur la bosse qu’elle fait sous ma braguette. Je me dis que je ne vais pas tarder à me ratt****r avec Annie que je sais à poil sous sa jupe. Je reviens, elle a un petit sourire en coin et me lance : « Alors, j’avais raison ! ». Je lève les yeux au ciel et je lui réponds : « Oui, hélas ! Ma femme est entrain de lui faire une pipe ! ». Elle : « Et alors, qu’est ce que ça t’a fait ? », moi : « Ça m’a fait bander, pardi ! », elle : « Fais voir ! ». Là, je sors ma bite qui bande au maximum après le petit dialogue que l’on vient d’avoir. Annie est assise sur le canapé, les jambes largement écartées, sa chatte est offerte à ma vue, je me place entre se jambes, debout. Elle prend ma bite en main, la soupèse, me palpe les couilles et me dit : « Elle est belle, ta bite ! » et elle enfourne mon gland dans sa bouche. Sa langue se met à tourner tout autour, elle insiste sur le méat en même temps que de ses mains douces, elle me branle doucement. Cette pipe est un vrai délice.

De mon côté, une de mes mains est sur ses seins tandis qu’une autre est sur sa chatte, déjà humide de mouille avant qu’un de mes doigts, puis deux s’insinuent à l’intérieur de son con. Après quelques va et vient avec mes doigts, je me baisse et je me place entre ses cuisses pour déguster la liqueur qui s’échappe de sa belle connasse. J’avais raison et le liquide que j’avale est délicieux, onctueux, odorant, blanchâtre. Ma langue se déplace vers son clitoris, déjà décalotté et rouge, signe que Bruno était bien entrain de la branler sur le banc du parc où nous étions. Je m’en empare, je l’aspire, je veux l’avaler. Annie est aux anges, sa tête est rejetée en arrière et se gémissements sont loin d’être silencieux.

C’est le moment que choisissent Bruno et ma femme pour entrer dans le séjour de la maison où nous étions et il dit à ma femme : « Tu vois, j’avais raison quand je te disais qu’ils ne devaient pas s’ennuyer ! ». Ma femme fait quand même de grand yeux en me voyant entre les cuisses d’Annie. Elle ne manque pas d’air, elle qui, il y a un instant faisait une pipe à Bruno. Je me relève, Annie rabat sa jupe sur ses cuisses et essaye de remettre dans son corsage un sein qu’elle avait sorti de son soutien-gorge pour le malaxer pendant que je la léchais et on se regarde. Bruno prend l’initiative de dire : « Et si on continuait en haut, dans notre chambre ! ». Sans attendre nos réponses, il se dirige vers les escaliers. Ma femme le suit tout de suite, Annie leur emboîte le pas et moi, je fais de même.

On se retrouve dans une chambre où le lit est immense, il pourra nous prendre tous les quatre dessus, me dis-je. Bruno enlace ma femme en lui mettant tout de suite la main au cul. Elle semble subjuguée par lui et répond à sa caresse en lui mettant la main sur la bite. Elle se met nue rapidement. Bruno s’allonge sur le lit et la voilà qui recommence à lui pomper le dard, bizarrement, celui-ci tarde à réagir et ma femme déploie les trésors de sa langue experte pour le faire redémarrer. Comme elle a le cul surélevé, j’ai une vue parfaite sur sa chatte épilée et je constate qu’elle est ouverte et bien pleine de mouille et de… sperme. Je comprends mieux du coup pourquoi Bruno tarde à être ranimé : il vient de baiser ma femme et il lui a mis une sacrée dose de jute dans sa chatte.

Cette pensée que ma femme a tiré un coup rapide avec Bruno me fait bander davantage et j’enlève rapidement mon pantalon, mon slip et ma chemise pour me retrouver à poil. Annie est nue elle aussi et s’est placée sur le lit à côté de son mari, les cuisses largement écartées. Je me précipite à nouveau sur sa connasse pour reprendre ce que je faisais quand nous avions été interrompus dans le séjour. Ma langue s’insinue entre ses grandes lèvres qui sont toutes rouges, je lui aspire à nouveau le clito et je continue vers sa rondelle que je détends en la léchant, en y introduisant ma langue et y mettant un doigt explorateur.

Annie apprécie et pousse des gémissements de plaisir. Ma femme a maintenant une bite bien ferme dans la bouche, Bruno ayant retrouvé sa vigueur. Par contre, je n’avais pas vu que pendant que ma tête était entre les cuisses d’Annie ma femme avait fait mouvement et sa chatte se trouvait à portée de la bouche de Bruno et qu’il était entrain de la lécher, et du même coup il léchait son sperme.

La rondelle d’Annie donnant des signes d’élasticité suffisante, un deuxième doigt de ma main a rejoint le premier et je fais des va et vient tout en continuant à lui donner du plaisir au niveau de son con avec ma langue. Elle gémit de plus en plus et je comprends que la dame apprécie mon doigtage de son cul. Je lui demande de se mettre en levrette et voyant qu’elle est prête, je lui plante ma bite dans son con et je commence à la limer, lentement d’abord puis plus rapidement.

Ma femme s’est mise aussi en levrette et je vois Bruno faire ce que je faisais à Annie, il lui lèche la rondelle et je vois qu’il y a mis les doigts aussi. Visiblement, il se prépare à l’enculer pendant que moi, je profite de la chatte de sa femme. C’est un vrai délice, elle est ni trop large ni trop étroite et comme elle a mouillé abondamment, elle est chaude et accueillante, je me régale. De mes mains, je profite pour lui chatouiller le clito et pour malaxer ses seins qui pendent sous elle.

Bruno est entré dans le cul de ma femme et je l’ai entendue râler un peu mais très vite, ce sont des gémissements de jouissance qui sortent de sa gorge. Je vois qu’elle bouge son bassin pour venir au devant de la bite de Bruno et je me dis qu’à ce rythme, comme il a déjà joui une première fois cet après-midi dans le con de ma femme, il ne va pas tenir très longtemps. Et c’est ce qui se passe, il sort sa bite, la tient à la main, se branle de deux ou trois coups de poignée et il déverse son jus de couilles sur les fesses de ma femme, pendant qu’elle, elle s’est mis trois doigts dans la chatte pour accentuer sa jouissance du cul.

Moi, je suis encore à bourrer Annie et je sens qu’elle n’est pas insensible à ce qui vient de se passer à côté de nous, visiblement cela active sa jouissance et je sens que les parois de sa chatte se resserrent sur ma bite et la massent carrément. Je sors ma bite et je me finis sur les fesses blanches d’Annie qui reçoit une dose copieuse de mon sperme, les jets blanchâtres arrivant jusqu’au milieu de son dos.

On se regarde, on se sourit, comblés par tant de jouissance. On s’habille et il fait déjà nuit quand nous nous quittons après une bise chaste sur la joue comme si rien ne s’était passé entre nous. En rentrant chez nous, je dis à ma femme : « Comme ça, vous aviez déjà baisé, Bruno et toi dans la cabane de jardin ? ». Elle me répond avec un large sourire : « Eh oui !!! j’en avais envie !!! Toi tu as préféré parlé, chacun son truc, moi c’est la baise »….

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