Bon anniversaire mon enfant (Vu sur le net)

Bon anniversaire mon enfant (Vu sur le net)
Il était 10h30 quand sa mère l’appela pour se lever. Il ne le remarqua pas directement mais, en se levant, il s’aperçut que sa mère ne l’avait pas réveillé à 9H30, comme tous les week-ends. Il descendu au rez-de-chaussée, passant dans la salle de bain, se lava, s’habilla et se rendu dans la cuisine.
‘jour ‘man, lui dit-il.
Bonjour Alex, bon anniversaire mon grand.
Ha oui, j’avais oublié, merci maman, dit, c’est pour ça que tu m’as laissé dormir plus tard?
C’est exact, tu vas sûrement avoir une longue journée avec ton anniversaire, alors, une heure en plus, ça va peut-être te faire du bien.
Oui, sûrement.
Il a commencé à déjeuner, mangeant les pains au chocolat que Martine (sa mère) avait été chercher ce matin. Ne se souciant que de son manger, il ne remarqua pas que sa mère était montée.
Soudain, un tintement retenti et le fit revenir à la réalité. C’était le facteur qui sonnait. Le facteur avait un colis et devait faire signé la feuille de réception par Martine. Alex l’appela mais elle lui dit de signer pour elle et de lui apporter en haut ensuite. Alex signa donc la feuille et déposa le paquet sur la rampe de l’escalier et s’en alla continuer à déjeuner.
Alors Alex, tu me l’apportes ce paquet! S’écria Martine.
Alex répondit par:
Ha oui, j’avais oublié que je devais te l’apporter.
Il s’essuya la bouche et se leva. Il prit le paquet et monta les escaliers. En haut, il prit le couloir à sa gauche et, en tournant à gauche, il ouvrit la porte de la chambre de sa mère. S’il avait su quelques secondes avant d’ouvrir cette porte se qu’il allait y voir, il ne l’aurais peut-être pas fait. Mais soit, il l’a fait et les conséquences arrivèrent bientôt.
Dès qu’il ouvrit la porte, il vit sa mère en petite culotte et sans soutien. Il s’arrêta net devant sa mère, sans voix. C’était la première fois qu’il la voyait comme ça. Mais il faut un peu relativisé les choses. Sa mère lui tournait le dos mais son image se reflétait dans les miroirs qui se trouvaient dans toute la pièce. Son premier regard s’arrêta sur les fesses devant lui et c’est après qu’il regarda sur la gauche dans le miroir et vu les beaux et gros seins de sa mère.
Alors c’est quoi ce paquet Alex?, demanda sa mère.
Heu, je sais pas, je ne l’ai pas encore ouvert,
Et bien, ouvre-le alors! Et ne me regarde pas!
«Trop tard» se dit-il.
Tout en défaisant le paquet, il regardait sa mère se trémousser devant le miroir, ne sachant quelle robe elle allait mettre aujourd’hui. Alex voyait ces deux grosses boules aux bout brun et pointant se balancer de droite à gauche. Mais le regard sur sa mère lui fit l’effet que sur n’importe quel garçon. Il se mit à bander et à bien bander même. Il essaya de ne pas regarder cette silhouette devant lui mais il ne pouvait pas. Quant il ne regardait pas ces seins, c’était les fesses ou les jambes qu’elle avait encore bien galbés et si belles.
Il ne pouvait pas y résister et son érection s’en était décuplée.
Alors Alex, c’est quoi?
Sur ce, il regarda et s’aperçut que c’était une boite contenant le nouvel appareil que sa mère avait acheté à La Boutique.
C’est ton nouvel épilateur maman.
Martine se retourna et avec ses bras, essaya de cacher sa poitrine trop opulente.
Aller, descend et continue ton petit-déjeuner, je redescends dès que j’aurai essayé ce nouvel appareil.
Mais Alex continuait toujours à bander ferme et c’est au prix de beaucoup d’efforts qu’il réussit à sortir de la chambre de sa mère sans qu’elle puisse le voir bander.
Dès qu’il eu refermé la porte, il entendit sa mère défaire la boite. Étant en sécurité, il descendit prendre son petit déjeuner mais toujours la queue en l’air. Soudain, il eu une pensée qu’il n’avait eu que très rarement.
Si je veux arrêter de bander lorsque maman descend, je n’ai qu’une chose à faire, me branler.
Au lieu d’aller déjeuner, il descendit dans la cave et s’en alla dans la seconde salle de bain. Il fit couler de l’eau chaude pour que la pièce soit bien humide, abaissa son short et se branla en repensant au corps de sa mère. Il éjacula presque tout de suite, à peine deux minutes et encore, c’est beaucoup. Il prit un mouchoir et refit sa toilette, ainsi que le nettoyage de se qu’il venait de souiller. Tout en remontant, il bandait encore mais rien de comparable à ce qu’il avait eu quelques minutes avant.
En remontant et passant le couloir, il s’étonna de ne pas entendre le bruit du nouvel appareil de sa mère.
D’habitude, ce genre d’appareil fait du bruit, pas celui-là, peut-être est-ce pour ça que maman l’a acheté, se dit-il.
Il rentra dans la cuisine et termina son petit-déjeuner.
Il ne le su que plus tard mais moi je vais vous le raconter maintenant. En fait, sa mère utilisait bien l’appareil mais pas pour le même usage. Martine avait bien remarqué que son fils la regardait et l’avait fait exprès de se trémousser devant lui, pour l’exciter. Voyant la bosse lorsqu’Alex sortit de sa chambre, elle se dit qu’elle avait réussi son coup. Mais elle avait oublié un détail et, comme on dit, se sont toujours les petits détails qui font le plus d’effets. Elle n’avait pas prévu qu’en excitant son fils, elle s’exciterait elle-même aussi.
Lorsqu’elle fut sûre qu’Alex n’était plus en haut, elle plaça sa main sur son sexe et senti que l’endroit était mouillé.
«Zut alors, j’excite mon fils et c’est moi qui suis excitée, marrant non», s’est-elle dit.
En prenant son nouvel appareil en main, elle ne put s’empêcher de lécher le manche et comme il était assez gros et long, une idée lui passa par la tête. Elle se releva et enleva sa culotte. Elle ne put s’empêcher de regarder si l’endroit où son sexe se trouve était mouillé.
«Ho mon dieu, je mouille comme une adolescente.»
Et ne pouvant plus résister à l’appel, elle se coucha sur le lit, ouvrit les jambes le plus qu’elle pouvait et, tout en utilisant ses doigts ainsi que l’appareil, Martine se masturbait en même temps que son fils le faisait deux étages plus bas.
Au contraire de la jouissance silencieuse de son fils, Martine jouit particulièrement fort. Le cri arriva aux oreilles d’Alex qui terminait son petit déjeuner. Il se leva et couru au bas de l’escalier et demanda à sa mère si tout allait bien. Martine lui dit qu’elle venait de se couper légèrement avec l’appareil mais que ce n’était rien. Alex s’en retourna dans la cuisine pour y remettre la table en ordre. Quant à Martine, encore un peu sous le choc de l’émotion, elle se fit une histoire en tête et recommença à se caresser. L’orgasme lui vint a peine cinq minutes plus tard, mais cette fois-ci, elle se mordit les lèvres pour ne plus jouir si fort mais des sons sorti quand même. Mais Alex regardait la télévision et ne les entendit pas.
Après s’être remise de ses émotions, Martine regarda son pubis bien garni de poils et se dit:
«C’est vraiment dommage que personne d’autre que moi ne puisse les voir!»
Elle se leva et se regarda dans la glace.
«Et bien, je ne suis pas encore trop veille pour faire bander un ado de quinze ans.»
Sur ce, elle s’habilla.
Elle terminait de s’habiller lorsque son regard se déplaça vers l’épilateur. Rien qu’a l’idée de ce qu’elle venait de faire, elle se sentait de nouveau mouiller. Mais elle ne pouvait plus le faire, plus le temps de le refaire. Puis, elle sortit de sa chambre et se demandait comment elle allait réagir devant son fils. Elle se demandait s’il s’était masturber en pensant à elle. Tout en descendant les escaliers, sa jupe se coinça dans un des barreaux et Martine eu une idée.
«Si je continuais à exciter Alex, et puis, ça serait mon cadeau personnel pour son anniversaire. Allez, je remonte mettre ma plus sexy jupette que j’ai», se dit-elle.
Elle remonta les escaliers en vitesse et surtout sans bruit, sans qu’Alex ne la voie se changer. Elle arriva dans sa chambre, ferma la porte à clé et se déshabilla entièrement. Elle enleva même ses sous-vêtements. Elle ouvrit la porte de sa garde-robe. Elle regarda d’un coup d’œil furtif, puis, jupe par jupe. Elle jeta son dévolu sur une minijupe rose, en soie, très volatile et lui arrivant à peine à mi-jambe. Quelques petites taches de couleurs bleues en forme de 8 parsemaient cette jupe. Comme chemisier, un blanc, assez transparent. Elle choisit aussi, pour très bien aller avec son chemisier, un soutien-gorge de couleur vif, rouge sang, pour bien se voir.
Alors qu’elle levait sa jambe gauche pour passer sa culotte de la même couleur que le soutien, une autre idée lui vint en tête:
«Et si je ne mettais pas de culotte? Soit, c’est décidé, je ne mets pas de culotte et pas de bas collants non plus»
Et ensuite, elle se maquilla. Dix minutes plus tard, elle était fin prête pour tester Alex. Elle descendit les escaliers et plus elle se rapprochait du rez-de-chaussée, plus son cœur battait la chamade. En plus, comme sa jupette est assez volatile, à chaque pas vers le bas, le vêtement se soulevait de quelques centimètres, se qui lui faisait avoir des frissons car le souffle lui touchait son sexe nu sous la jupe.
En plus, a cause de ce souffle, elle sentait aussi que de sa liqueur intime s’était installé déjà un peu sur son sexe. Lorsqu’elle ouvrit la porte, elle se dirigea directement dans la cuisine, sans risquer de croiser le regard d’Alex.
«Ouf, je suis en bas, mais il n’a pas encore remarqué, c’est rien, ça encore mieux comme ça.»
En fait, Alex avait bien remarqué l’habillement de sa mère. Dès qu’elle avait ouvert la porte, il changea sa vue vers la télévision mais juste avant qu’elle s’en aille dans la cuisine, il s’aperçut de la très légèreté vestimentaire de sa mère (en tout cas de se qu’il pu en voir). Comme Martine était dans la cuisine et préparait le dîner, il s’en alla à la toilette et se re masturbait. Il jouit encore plus vite que tout à l’heure. Il se re-nettoya et remonta au rez-de-chaussée.
Dès qu’il fut en haut, il entendit sa mère faire à manger. Il s’avança dans la cuisine et s’assit. Elle lui tournait le dos, bougeant de droite à gauche, de gauche à droite. Tout ceci pour simplement faire bouger sa minijupe et faire bien voir à son fils qu’elle était nue dessous. Mais elle ne bougea pas assez, alors, elle se retourna vers la table où s’était installé Alex. Elle prit un couteau et le laissa tomber à terre, maladroitement (?).
Ho zut, ramasse le stp Alex!, lui dit-elle.
Tandis qu’il s’abaissait pour le ramasser, Martine s’était retournée vers son plan de travail. Alex ramassa le couteau et ses yeux se fixèrent sur les chevilles de sa mère. Son regard remonta doucement, très doucement, visionnant toute les parties visibles de l’anatomie de Martine. Il passa des chevilles aux mollets, le haut du mollet, le bas de la cuisse droite, la mi-cuisse, le ¾ de cuisse mais arrivé là, la jupette ne lui permettait pas de voir.
Zut, se dit-il en se relevant et remit le couteau sur la table.
Ce fut, à quelques centièmes de secondes près, la même idée que Martine pensa. A force d’essayer d’exciter Alex, Martine s’excitait aussi, et cet exercice de petit voyeur venait de lui porter un coup fatal.
Maman, t’a quelque chose qui te coule entre les jambes, s’exclama Alex.
Ha oui, c’est certainement de l’eau que je viens de faire coulé.
Mais, tout deux avaient bien compris que l’eau était bel et bien de la liqueur intime féminine. A la suite de cette remarque, Martine prit un mouchoir et s’essuya, du plus haut qu’elle pouvait sans relevé sa jupette, la coulée qui se terminait un peu avant les chevilles.
Pour se frotter justement le bas des jambes, Martine devait se penchée vers l’avant.
«C’est le moment ou jamais», se dit-elle.
Elle tourna le dos à son fils, prit le mouchoir dans sa main et commença doucement à se frotter la mi-cuisse, le haut des mollets et, se pencha le plus qu’elle pouvait pour nettoyées ses chevilles, maintenant trempé
Depuis qu’il lui avait fait la remarque, Alex s’était mis à bander avec une vigueur énorme. Il sentait son sexe gonflé dans son short et la bosse apparu bien nettement. Ça, c’était avant que sa mère se courbe pour s’essuyer car lorsqu’il vu, à la première vue, les fesses bien dodue, ronde, mi-blanche de sa mère, il n’en cru pas ses yeux. Mais lors du seconde passage, il remarqua cette fois-ci le bel ovale horizontal qui se présentait devant lui.
Il vu pour la première fois le sexe de sa mère, un peu de poil brun mais cette forme de demi abricot, gonflé de sang, mouillé à souhait et continuant toujours à coulé, il cru qu’il allait éjaculer sur place. Son sexe était gonflé à bloc, son gland poussait du plus fort qu’il pouvait sur le tissu qui l’entourait. Il savait que s’il faisait un mouvement vers cet endroit, il éjaculerait presque immédiatement. De son côté, Martine fut très satisfaite de sa cabriole car, regardant par derrière, elle vu son fils bander énormément.
Ne se sentant plus une once de morale, Martine, toujours la tête penchée vers le bas, oscilla de la croupe et sa jupette se posa sur son dos, libérant de toute ambiguïté, les questions de son fils. De ce fait, Alex se leva et sorti son pieu de l’emprise de son short.
Martine, qui avait les bras vers le bas, entreprit de parfaire la connaissance du sexe féminin à son fils. Sentant toujours de la mouille lui coulé le long des jambes, la main droite se posa sur sa cheville droite et remonta doucement jusqu’à la mi-cuisse intérieur. Lorsqu’elle arriva en haut, sa main était dégoulinante de mouille. Elle en avait entre les doigts, des gouttes s’accumulaient le long des doigts, descendaient dans la paume et descendait le long de son bras.
Se relevant à moitié, Martine défit le bouton de sa jupette et lorsque Martine fut totalement droite, la jupette tomba à ses pieds.
Tu n’avais pas mis de culotte maman?
Bon anniversaire mon chéri, lui lança Martine sur un ton plus que sexy.
Quoi? S’exclama Alex.
Martine commença à déboutonner son chemisier, boutons par boutons, l’enleva très érotiquement et le lança à la figure de son fils. Alex le prit et le déposa sur le dos de la chaise, sur laquelle il était encore assit il y a quelques secondes.
Il remarqua la trace de main mouillé sur le chemisier de sa mère, mouillé de mouille. Ensuite, Martine se retourna et se déhancha à la manière d’une strip-teaseuse et délicatement, défit son soutien.
Avec une extrême habileté, elle jeta le soutien sur la tête d’Alex. Mais au lieu de le poser sur le chemisier, Alex le prit dans ses mains et le huma durant dix secondes, sentant le doux parfum corporel de sa mère. Puis, il le plaça sur le chemisier. Martine se retourna et posa ses mains sur sa poitrine, comme pour la cacher.
Alors mon garçon, qu’en penses-tu, du corps de ta mère? Lui demanda-t-elle.
Je ne sais pas quoi dire, je n’ai pas de mot, lui répond-il.
Sans vraiment s’en rendre compte, Alex se branlait doucement.
En tout cas, ça te met en forme, de me voir ainsi.
Il lui répondit:
Et surtout que tu mouilles comme une fontaine, regarde tes pieds, salope de mère.
Un peu choquée par cette fin de phrase, mais se reprenant de suite, elle lui dit:
Oui Alex, je suis une salope de mère, qui se montre nue et excite son fils lors de son anniversaire.
Terminant sa phrase, Martine se dirigea vers son fils, s’approcha très près de lui. Il recula de quelques pas mais plus il reculait, plus elle venait vers lui. D’un coup, elle lâcha ses seins à l’air posa ses mains dans le coup d’Alex et l’embrassa à pleine bouche, avec la langue.
Alex sentait dans sa bouche, la langue furtive de sa mère. Il lui rendit la pareille, farfouillant de sa langue la bouche qui lui était offerte. Alors que les mains de Martine restaient dans le coup de son fils, celles d’Alex se posèrent sur les hanches de sa concubine d’un jour. Il sentait sur son torse les deux masses de chairs globuleux et pointant de sa mère. D’ailleurs, a peine avait-il posé ses mains sur les hanches de sa mère que la main droite remonta pour saisir à pleine main le sein droit. Il s’amusait avec le téton, le faisant rouler entre son pouce et son index, le pinçant très doucement. Toujours dans le contact, il sentait bien que son pieu se trouvait entre les cuisses de sa mère, il sentait le pubis de sa mère en contact avec le sien. Il sentait que si sa mère continuait à onduler du ventre comme elle le fait, il éjaculerait dans cette position.
La main gauche s’enleva des hanches de Martine et se dirigea vers la fesse gauche et l’empoigna pour le triturer comme ça en est la coutume. Martine bougea ses pieds et senti quelque chose de gluant dessous. Elle arrêta d’embrasser Alex et regarda.
La première chose qu’elle remarqua, c’était que le sexe de son fils se trouvait tout près de son intimité, entrant carrément entre ses jambes, sans la pénétré. Puis, elle regarda ses pieds et vu une flaque. Pas d’eau mais me mouille.
Martine se recula d’Alex et lui dit:
J’ai le feu en moi, viens me l’éteindre.
Tu veux que je te fasse l’amour maman?
Pas tout de suite mon chéri, il faut d’abord passer par les préliminaires, puis faire l’acte proprement dit.
Tu préfères que l’on fasse ça où, l’interrogea Alex.
Sur la table de la cuisine, dans le canapé, dans mon lit, dans le tien, dehors?
Martine rougit un moment et dit:
On fera les préliminaires dans ton lit et l’amour dans le mien, ça te convient!
D’accord maman
Alex se rapprocha de sa mère et l’embrassa avec une telle douceur que Martine ne pensa plus que c’était son fils mais repensait aux douces années follement torrides qu’elle avait passé durant sa jeunesse avec le père d’Alex. Cette fois-ci, elle écarta un peu les cuisses et senti bien le sexe de son fils lui frotter le pubis ainsi que l’entrée de ses lèvres vaginales, sans toute fois y entrer.
Ce baiser dura environ cinq minutes. Alex, durant ce temps, avait refait la découverte palpable de ce corps féminin, saisissant en pleine main la poitrine de sa mère, ensuite, ses deux belles et fermes fesses. Mais lorsqu’il passa ses doigts au pubis maternel, Martine eut une contraction et Alex n’alla pas plus loin. Mais son sexe coulissait entre les jambes de sa mère, comme le mouvement charnel mais sans pénétration. Martine mouillait comme une adolescente. Lorsque leur baiser torride fut terminé, ils se prirent la main et s’en allèrent en haut, dans la chambre d’Alex.
Alex se trouvait derrière sa mère durant la montée de l’escalier. Il pouvait voir le jus de Martine lui coulé entre les fesses ainsi que le long des jambes. Il aperçu même un peu de l’abricot maternel mais, ce ne fut qu’un très court instant. Ils arrivèrent enfin dans la chambre d’Alex.
Vas-y, couche-toi sur le dos mon enfant, dit Martine.
Alex se coucha donc sur le dos.
Alex avait remonté son short lors de la montée et son sexe faisait une belle bosse, d’au moins quinze centimètres. Passant sa main furtivement entre ses cuisses, Martine ne fut pas surprise d’en trouver ses lèvres ouvertes, comme une fleur prête à être fanée.
Elle se mit à genoux, devant le lit et, félinement, rampa pour y venir, de sa bouche, toucher la plante des pieds de son fils. Alex avait fermé les yeux et respirait assez fort. Martine s’approcha du gros orteil de son fils et le goba. Elle le faisait glisser entre ses lèvres, comme si elle faisait une fellation à l’orteil. Puis, elle passa tous les orteils en revue, en passant par l’autre pied. Alex râlait de plaisir, disant de temps à autre:
Tu es une salope de mère, je vais te baiser ma mère.
Mais Martine ne l’entendait pas, temps elle s’occupait de donner du plaisir à son fils. L’érection déforma d’ailleurs le short. La hauteur dépassait maintenant facilement les 20 cm. Plus elle excitait son fils, plus elle s’excitait elle-même.
Écoute mon grand, on ne fera pas l’amour maintenant, on le fera plus tard car tu es si excité que tu n’arriveras pas à me faire jouir de la bonne manière. Je vais te faire une très bonne fellation, tu éjaculeras dans ma bouche, je te boirai et je me masturberai devant toi. Que penserais-tu de me faire l’amour ce soir, à la manière très romantique et pourtant si érotique!
Je ferai tout ce que tu voudras maman d’amour.
Martine lui souri du plus beau sourire qu’elle n’eut fait. Elle porta ses mains sur le sexe encore bâillonné d’Alex. Elle lui faisait une sorte de masturbation extra vestimentaire. Alex débuta à gémir, lançant délicatement des «Han», de plaisir. Martine défit lentement le cordon qui tenait le short serré et d’un coup, sous la force de l’érection, le sexe d’Alex en sorti, droit comme un piquet. Elle s’approcha doucement de cette barre d’acier. Elle soufflait dessus, comme une brise nous touche lorsque l’on se trouve à la mer.
Alex gémissait maintenant sans retenue.
Allez maman, suce-moi, que je jouisse, j’en ai tellement envie, j’ai envie de toi, de ta bouche, je sens la chaleur de ton haleine sur mon gland, han, vient me terminer, je t’en supplie.
Martine ne l’écoutait pas. Elle fit sortir de sa bouche un peu de salive et en fit glisser une gouttelette sur le bout du gland rouge pourpre de son fils. La gouttelette glissa doucement le long de ce sexe au garde à vous. Martine sorti finalement sa langue et du bout, toucha le frein du gland. Alex frémit et se crispa du premier coup.
«Je n’éjaculerai pas maintenant, je dois me concentrer, je dois attendre que maman me prenne entièrement dans sa bouche», se raisonna-t-il.
Soudain, il senti un doux et chaud couloir coulissant sur son sexe. Avec un peu de difficultés, Martine dit:
Alors, mon fils, comment tu trouves la fellation que te fait ta mère?
N’osant pas directement regarder, sentant simplement les lèvres sur son sexe, Alex lui répondit:
Suce-moi maman, fais-moi jouir dans ta bouche et avale-moi!
Aussitôt dit, aussitôt fait. Martine prit l’entièreté du sexe de son fils en bouche, et non plus seulement le gland, et le fit coulisser entre ses lèvres.
«Que suis-je en train de faire? Je fais une pipe à mon fils, je suis une salope de mère. Mais j’aime aussi ça, qu’y a-t-il a se faire plaisir, si c’est mutuel?» Se dit-elle.
Durant cette fellation, Martine se caressait la vulve ainsi que le clitoris.
Alex sentait son sperme lui monter dans le sexe et s’écria:
Attention maman, je vais te spermer dans la bouche, n’avale pas directement et éloigne-toi un peu pour que je voie le jet sorti de moi pour rentrer en toi.
En terminant sa phrase, Alex senti que sa mère le pipait plus rapidement que tout de suite. Soudain, il ouvrit quand même les yeux. L’orgasme arrivait en lui. Il sentait le sperme monté et, du meilleur vouloir qu’il aurait voulu, il n’arriva pas a garder les yeux ouvert.
Martine eut juste le temps de reculer de quelques millimètres et senti les premières giclées de sperme lui rentrer dans la bouche. Les trois premières lui fouettèrent le fond de la gorge. Les suivantes, s’écoulèrent normalement et se placèrent sur sa langue et sur les parois buccales internes. A force de remplir la bouche de sa mère, le sperme d’Alex déborda et Martine ne put tout le garder en bouche. Du sperme s’écoula le long des coins des lèvres.
Alex transcendait de plaisir. Des spasmes lui parcouraient le corps, son ventre se gonflait et se dégonflait au même rythme que sa respiration. Il ne pu s’empêcher de jouir assez bruyamment et terminant son plaisir par un – Han, dégressif d’audition.
Il reprit doucement sa respiration, inspirant par le nez, expirant par la bouche.
Tu m’as bien fais jouir maman, je t’ai spermé dans la bouche et tu as gardé mon sperme, sans l’avaler, tu es une sacré bonne salope tu sais! Dit Alex à sa mère en rouvrant les yeux.
Martine lui sourit et ouvrit un peu la bouche pour lui dire:
Si tu continue à m’insulter, tu vas toi-même avaler ton sperme!
Mais en lui disant ça, Martine fit couler encore un peu de sperme sur le coin de ses lèvres. Alex se mit à quatre pattes devant sa mère, le sexe débandé et mou. Il avait la poitrine assez volumineuse de sa mère à porter de main mais, le spectacle de voir sa mère avaler son sperme qu’il venait de – Produire, lui faisait plus flipper que la poitrine opulente devant lui.
Allez maman, avale maintenant, lui dit-il.
Avec un air de vicieuse, Martine regarda son fils dans les yeux, referma la bouche et avala, en deux gorgées, le sperme de son fils. Alex n’en cru pas ses yeux mais lorsqu’il vu, par deux fois, la pomme d’Adam de sa mère bougée, du fait du passage du sperme par la trachée, il ne pu qu’y croire.
Lorsque la bouche de sa mère fut vide, Martine dit:
Tu goûtes presque le même sperme que ton escroc de père. Ce que je trouve bien aussi, c’est que malgré les années que je n’ai plus bu du sperme, je trouve ça encore bon et je ne suis pas dégoûtée comme je l’étais au début.
En prononçant cette phrase, Martine s’était levée et partie dans sa chambre. Alex s’était mit en tailleur sur le haut de son lit et attendit le retour de sa mère.
Tu en mets du temps, qu’est-ce que tu fous? Lui demanda Alex.
Tu vas le voir bientôt mon chéri mais laisse-moi deux secondes.
OK, viens ici maintenant.
Il sorti de sa chambre et se dirigea vers celle de sa mère. Il rentra dans la chambre et vu sa mère avec l’épilateur de ce matin en main.
Aller, viens ici, je vais te montrer quelques choses que tu n’as jamais vu de ta vie et surtout que plus personne d’autre te montrera.
Ha oui, et que vas-tu me montrer et me faire, ma pute à moi.
Encore une insulte et tu vas voir ce que je vais te donner en cadeau, OK, alors suffit.
OK maman, mais avoue que t’es une sacré salope quand même.
Ça c’est vrai, je suis une salope mais pas plus. Maintenant, regarde-moi et regarde bien.
Elle se coucha sur le lit, les jambes grandes ouvertes. Elle pencha sa tête en arrière et ferma les yeux.
Regarde mon fils, regarde ta mère qui va se donner du plaisir devant toi.
De sa main droite, Martine se caressa doucement le téton du son sein droit. Elle le tortillait, le tirait doucement. Au bout d’un moment, Alex bandait si fort et si dur qu’il se mit doucement à s’astiquer son manche. De sa main gauche, Martine s’attaqua à sa vulve rouge et gonflée de désir.
Alex, regarde-moi, je vais me masturber devant toi, je vais jouir devant toi, toi, mon fils adoré.
Martine ouvrit les jambes et avec deux doigts, commença à se caresser le clitoris. Déjà excitée par la situation d’avant, Martine mouilla dru directement. Alex n’en croyait pas ses yeux, voyant devant lui sa mère se donnant du plaisir. Il commençait à re bander dur. Martine gémissait sans retenue et passait de son clitoris à se caresser sa vulve, rentrant trois à quatre doigts dans sa chatte, en ressortant dégoulinante de cyprin, mettant ses doigts en bouche pour bien les goûter.
Le désir était trop fort. Alex approcha doucement ses doigts du sexe de sa mère. Dès les premiers centimètres touchés, Martine accepta cette touchette de son fils. Alex rentra alors directement et entier, son majeur dans la vallée mouillée de sa mère. Martine se tortillait de plaisir. Très doucement, Alex sentait une idée germée dans son esprit. Sa mère lui était quasiment offerte. Délicatement, Alex sortit son majeur de sexe de sa mère et par de fines délicatesses, son majeur se trouvait à l’entrée de la grotte interdite.
Martine se rendit compte du geste de son fils.
Que fais-tu Alex, lui demanda-t-elle.
Alex répondit:
Continue à te caresser, à te donner du plaisir, je vais essayer de t’en donner un peu plus.
Martine reposa sa tête en arrière et s’abandonna à son fils. Alex força doucement l’entrée du cul de sa mère. Du fait de la lubrification de son doigt, Alex y rentra facilement, et y rentra jusqu’au bout de son doigt. Près de dix centimètres dans le cul de sa mère. Martine gémissait à pleine voix depuis l’intrusion anale de son fils. Alex bandait de plus en plus, son sexe lui faisait mal à force.

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