amour noir
Bonjour ; je me nomme babette, j’ai 42 ans, je suis mariée depuis de nombreuses années mais nous sommes tombés dans la routine. Je suis secrétaire dans une entreprise basée a soissons. Je suis belle si l’on en croit les regards des hommes sur moi, dans la rue ou sur mon lieu de travail.
Depuis quelques jours, je suis attirée par un de mes collègues de boulot, fraîchement embauché. Et son premier attrait est sa peau d’ébène. Oui, il est black et je me rends compte que cet homme me rend folle. À chaque fois que je le vois, je sens ma culotte se mouiller et j’oublie totalement mon mari et ma famille. Je n’ai qu’une idée : coller mon corps blanc contre son musculeux corps noir et me faire prendre sauvagement dans le bureau. Tous les jours je l’aperçois et je ne peux m’empêcher de ressentir cela, avec de plus en plus d’envie chaque jour.
Le fantasme que je nourrissais pour les hommes noir durant mon adolescence remonte immédiatement à la surface. Le soir, lorsque je fais l’amour avec mon mari, je ferme les yeux et pense que c’est l’objet de mes fantasmes qui m’honore. Petit à petit je deviens une femme qui désire être l’objet sexuel de se black et le fait qu’il soit plus jeune m’excite encore plus.
Je m’habille de plus en plus sexy, provoquant l’étonnement de mon époux, et de mes enfants. J’ai ressorti mes leggings en cuir, abandonné après ma deuxième grossesse, et mes cuissardes. J’ai acheté de la lingerie sexy et des sextoys imitant des sexes africains, mais ce que je veux, c’est lui. Il hante tous mes rêves, et je suis absente, pendant les repas de famille, pensant à son corps noir et si sexy.
Durant la période de bilan, nous devons rester tard au bureau pour boucler toutes les formalités comptables. Je me retrouve tard au bureau en ce jeudi soir. Fatiguée par le rythme effréné de cette période, je décide d’aller me chercher un bon café. Au détour d’un couloir, je m’aperçois que l’objet de mes fantasmes est là aussi, seul dans son bureau, travaillant d’arrache-pied. C’est ma chance, ni une, ni deux, je pénètre dans son bureau, après avoir déboutonné mon chemisier.
Nous échangeons quelques mots et je remarque son regard plongeant dans mon décolleté. Je ne le laisse pas indifférent, et j’en suis heureuse. Je le drague intensément et je remarque à présent une érection dans son pantalon.
Sans un mot, je saisis ma chance, je me positionne à ses genoux et déboutonne sa braguette. Il ferme les yeux, tandis que je sors son énorme sexe noir de son caleçon. Je suis sidérée de sa taille, qui dépasse allégrement celle du sexe de mon mari. Je ne peux résister, je passe ma langue autour de son sexe circoncis, tout en caressant ses couilles. Je le suce comme je sucerais une gourmandise au chocolat je suis conquise, plusieurs fois je fais des gorges profondes sur son mat. Il baffe même mon visage avec son sexe puis baise ma bouche, et le contraste entre nos deux peaux me rend folle, mais j’en veux plus.
Je me relève, j’enlève mon leggings et ouvre totalement mon chemisier, me positionne en levrette, sur la pointe des pieds, sur le bord de son bureau. Il accepte l’offrande de cette femme blanche de vingt ans son aînée et commence à me pénétrer. Je sens son sexe me remplir comme jamais je ne l’ai été.
Je le sens au fond de ma caverne, ma respiration devient de plus en plus saccadée, je sens le plaisir monter en moi pendant qu’il pétrit mes seins avec ses énormes mains noires.
Puis il entame les va-et-vient en moi, claquant son bassin sur ma croupe qui lui appartient ce soir. Puis il accélère le rythme encore et encore, je jouis intensément, je hurle mon bonheur dans les locaux de mon entreprise sans retenue. Je suis au septième ciel, ce jeune homme de 21 ans me baise comme un dieu, jamais je n’ai ressenti ce plaisir. Je lui appartiens, je le regarde dans les yeux tout au long de nos ébats. À ce moment précis, seul son plaisir compte, je veux qu’il me trouve bonne à baiser, qu’il soit accro à moi, qu’il veuille faire de moi sa femme blanche pour satisfaire ses instincts primaires.
Il m’allonge sur son bureau, sur le dos, et empoigne mes chevilles et me baise à couilles rabattues. À chaque fois qu’il sort son sexe de de ma chatte, je ressens un grand vide, qu’il comble immédiatement en revenant dans ma caverne, entièrement mouillée de désir. C’est sauvage, intense, sensuel, le contraste est saisissant, moi qui suis brune et très pâle de peau alors que lui est noir très foncé.
Je ne me retiens plus du tout et me moque de savoir si l’on peut nous surprendre ou m’entendre jouir.
Puis il se redresse et me prend debout. Je suis à sa merci, il me baise sans aucun ménagement, ses couilles claquent sur mon cul, je suis trempée de sueur, mes seins sont durs comme du béton et je suis au paradis. C’est une évidence l’homme noir est plus compétent que l’homme blanc quand il s’agit de satisfaire une femme. Je l’embrasse à pleine bouche, nos langues dansant au rythme de ses coups de boutoir donnés à mon corps qui n’a connu qu’un homme en plus de vingt ans.
Puis, au bout de trente minutes, il décharge sa sève en moi, chaude et abondante et je me rends compte que, dans la chaleur du moment, aveuglée par mon désir pour cet homme noir, nous n’avons pas mis de préservatif. Mais c’est trop bon et cette pensée est chassée par le bonheur de cette partie de jambes en l’air extraordinaire. Je nettoie son sexe et les dernières gouttes de semence chaude qui y sont encore. Je me délecte de son jus si épais et plein de goût, tout en le masturbant tendrement, ma main caressant les veines passant sur sa verge noire.
Je reprends mes esprits et lui dis que je veux que l’on se revoie, en dehors du boulot, ce qu’il accepte.
J’ai désormais un amant, pour la première fois de ma vie, et peut-être un bébé noir dans mon ventre.
Et c’est à peine en regagnant mon bureau que je réalise que je suis mariée et que j’ai des enfants mais le jeu en vaut la chandelle, et le danger est une grande source d’excitation, la preuve j’ai entièrement mouillé ma chaise.
Vers 22 heures, je rentre chez moi, embrassant mes enfants et rejoignant mon mari, sans prendre de douche, encore ensemencée par mon amant. Je suis tellement excitée que j’ai dû dormir avec un sextoy enfoncé dans mon vagin.
Cette soirée est l’acte fondateur du reste de ma vie, car à partir de ce moment précis, je suis devenue une pute ne s’offrant plus qu’à des hommes noirs. Je n’ai plus jamais été la même et je ne le regrette pas. Je n’ai jamais autant aimé ma vie que depuis cette formidable partie de baise qui m’a convertie à l’amour interracial.
Babette.