Sonia mon amie de toujours
Pour ces vacances, enfin ma copine de toujours Sonia viens passer plusieurs jours à la maison avec son mari que je connais à peine.
Nous sommes séparées de 500 Kilomètres, c’est beaucoup pour aller en train chez elle surtout avec 5 changements en cours de route.
Nos retrouvailles sont sensationnelles nous nous embrasons comme avant, fortement sur les joues.
Nous avons pas mal vécues depuis notre séparation.
Pourtant nous paraissons à peine nos 40 ans.
Nous partons souvent pique niquer, pour le simple plaisir de bavarder. Nos maris se sont liés d’amitié, comme nous. Tant mieux, nous aimons qu’ils soient copains.
Comme avant nous sommes dans ma chambre, assises sur le lit: nous profitons d’un départ pour une partie de pèche de nos maris: il doivent bien en avoir pour la journée.
Notre amitié existe et pourtant je lui cache que depuis plus d’un an j’aime bien “m’amuser” avec d’autres femmes: j’ai pris goût aux caresses lesbiennes que je rend facilement.
Bref je suis bisexuelle.
Je n’ose pas trop avancer sur ce terrain glissant.
Nous nous sommes toujours tout raconter
Et là le reste totalement bloquée.
Je me contente de lui dire comment je jouis avec mes amants.
Comment je me masturbe (ça elle savait déjà).
Je lui dit également que j’aime la sodomie, que j’ai un godemiché dernier cri.
Malgré mes réticences je sens que je deviens de plus en plus humide.
Elle aussi me raconte ses amours avec son homme.
Elle baise comme moi avec des amants, elle rajoute qu’elle aime bien la fellation.
Pour moi, c’est totalement perdu, même si j’ai envie d’elle.
Nous sommes toujours assises sur mon lit. Je remarque une mèche folle sur son front. Je la remets en place. Elle retient ma main, je ne sais pourquoi, à moins que………
Elle m’embrasse la paume de la main, je sens ses lèvres sur une des zones sensibles de mon corps.
Nos regards se croisent.
Nous ne parlons ni l’une ni l’autre.
Pourtant ce sont nos yeux qui parlent.
Je sens dans son regard une invitation.
Je tends ma main, je la pose sur une joue que je caresse comme celles d’un bébé.
Elle me laisse faire sans rien dire ni faire.
J’arrive à passer ma main derrière sa tête.
Je ne force pas beaucoup pour l’attirer vers ma bouche.
Je pose mes lèvres sur les siennes en un simple bisou.
Nous nous regardons longuement, sans rien dire.
Cette fois ce sont ses lèvres qui me rendent le petit baiser.
Nous sommes bien serrées: je passe un bras autour de ses épaules.
Nous sommes faces à face.
Nos lèvres reviennent: cette fois le baiser est véritable.
Nous ouvrons la bouche: nos langues se trouvent pour la première fois: elles auront l’occasion de se retrouver souvent je l’espère.
Pourtant nous restons dans des limites raisonnables.
Nous ne parlons plus: il est temps d’agir. Je ne sais pas encore qui va faire le premier pas.
Moi, je n’ose pas trop. Mais pourquoi elle ne bouge pas encore ?
Je suis excitée comme jamais.
Je sens ma cyprine couler entre mes fesses.
Elle ne fait rien: tant pis, je pose une main sur sa nuque l’attire pour un autre baiser. Mon Dieu que j’ai envie d’elle, que j’ai envie de sentir son odeur intime.
Enfin elle agit: elle prend un seins dans sa man: elle le soupèse un peu avant de l’envelopper totalement dans sa main. Elle me taquine le téton qui commence à bander.
Je ferme les yeux pour profiter de cette caresse.
Je me laisse faire toujours.
Elle me prend la taille la serre juste ce qu’il faut, comme deux jeunes amoureux.
J’ai encore plus envie d’elle et pourtant je ne fais rien pour y arriver.
Sa main abandonne mon sein pour glisser vers le bas.
Elle défait les boutons de mon corsage, y passe la main pour y trouver mon soutien gorge qu’elle arrive à défaire difficilement Je suis torse nue devant elle.
Ce n’est pas la première fois: depuis le temps que nous nous changions ensemble avant son départ et avant que j’aime les caresses des filles.
Elle prend mon téton dans sa bouche, le suce largement. Je ne vais pas faire long feu.
Elle descend pour trouve la fermeture de ma jupe.
Elle me fait lever pour l’enlever, en profite pour me débarrasser de ma culotte.
Je reste debout, nue devant elle sans honte aucune.
J’attends simplement qu’elle prenne la direction.
Je n’attends pas longtemps, elle pose sa bouche sur le haut de ma fente.
Je sens sa langue venir visiter mon entrejambe.
J’écarte les cuisses pour faciliter ses caresses. Sa langue ne va pas loin, elle trouve aussitôt mon clitoris et le lèche largement, juste comme j’aime.
Ses doigts se risquent à la découverte du reste.
Elle me met un doigts dans le vagin.
J’en gémis, elle en rajoute un autre puis un troisième.
Elle me baise directement.
Je ne peux résister à la double caresse: le vagin occupé et mon clitoris sous sa langue.
Je tremble de tout mon corps.
Enfin dans un grand soupir je jouis.
Elle reste en moi un instant avant de se déshabiller à son tour.
Elle n’a pas changé. Toujours son corps de jeune fille.
C’est à moi d’agir.
Je ne me presse pas: je viens de jouir, j’ai le temps: même si elle me demande d’aller plus vite, j’irai à mon rythme.
Je l’embrasse encore.
Je ne la laisse pas debout: je la couche sur le lit.
Cette fois elle est à moi seule.
Je profite de tout: ses oreilles, son cou, ses seins et leur tétons, son nombril et surtout de son bas ventre.
Je lui lèche le pourcourt du pubis, sans jamais chercher à entrer dans son antre.
Je réserve sa moule pour tout à l’heure.
Je caresses les cuisses, fait passer une main vers son petit trou.
Elle me laisser faire, confiante dans la suite.
La suite immédiate n’est qu’une masturbation de son anus.
J’en caresse le pourtour: elle me dit: encore.
Je continue un tout petit moment.
Je sens son anus se contracter à plusieurs reprise: elle jouit.
Cette fois j’y entre deux doigts.
Elle se laisse toujours faire.
Je sens qu’elle ne va pas tarder à avoir un orgasme.
Il tarde trop à mon goût.
Je lui fais écarter les jambes.
Cette fois c’est au tour de ma langue d’aller chercher son bouton.
Je le lèche lentement: plus vite me demande-t-elle.
J’accélère mes mouvements aussi bien de ma langue que de mes doigts dans son cul.
Elle gémit comme moi tout à l’heure.
Enfin le grand orgasme arrive.
Elle ne reste pas muette: il faut qu’elle le clame bien haut: JE JOUIIIIIIIIIIIIS.
Nous restons allongées sans rien nous faire un petit moment, je temps pour elle de m’expliquer qu’outre les baises maritales, elle a trouver comme moi un autre dérivatif avec une amie.
Je lui demande si elle veut qu’on se serve de mon gode: non elle préfère la vrai bite de son mari.
Pourtant moi, j’aime bien les deux.
Nous n’avons besoin que de nos langues et non mains pour jouir.
Nous nous remettons à baiser.
Cette fois c’est du sérieux: nous sommes tête bêche: ma bouche est à toucher son sexe comme la sienne.
Elle se couche sur le dos.
Je l’enjambe pour lui donner mon clitoris, elle me donne le sien.
Je baisse la tête pour arriver à son bouton.
Je sens sur mon abdomen sa poitrine compressée.
C’est excitant.
Mes seins doivent l’exciter aussi.
Je sens ses mains sur mes fesses: elle passe une mains entre elles.
Elle vient planter deux doigts dans mon cul.
Je lui rends la politesse.
Comme nous avons les doigts pleins de cyprine nous pouvons nous enculer presque.
Nous jouissons beaucoup.
Nous recommençons encore et encore.
Cette fois je le convainc de se servir du gode.
Je l’ai en main.
Elle écarte les jambes: je vois tout son sexe.
Je regarde surtout le gode quand je l’enfonce en elle.
Elle me regarde dans les yeux.
Elle pose une main sur son clitoris et sans honte se branle devant moi.
Elle ne sait même pas ce qui la faire jouir:ses doigts ou le gode.
Je veux la sodomiser.
Elle accepte à condition que je la suce en même temps.
Je n’hésite pas une seule seconde.
Je l’encule en premier avant de la sucer.
Je sens monter son plaisir sous ma langue.
Cette fois elle n’en peut plus.
Moi j’ai encore envie d’une petite baise.
Je me mets le gode dans mon vagin, elle me caresse l’anus: j’en jouis une dernière fois.
Nous savons que cette baise entre nous était la première nous espérons sans trop y croire qu’elle sera suivie d’autre !!!
Le soir nos maris arrivent fiers de leur pêche.
Nous sommes fières de nos baises.
Ce n’est que plus tard en allant nous coucher que mon mari me reproche de ne pas avoir fait le lit ce matin.
S’il savait à quoi il a servi !