quelques un de mes plaisirs nudistes (suite)

quelques un de mes plaisirs nudistes (suite)
Quelques courts récits de mes plaisirs en nature

L’endroit au bord du lac où je fais du naturisme est majoritairement fréquenté par des mecs… d’où ma surprise, un matin de l’été passé, d’être tiré de ma torpeur par une voix féminine. J’étais étendu à plat ventre face au lac, dans les herbes, et ne l’avais pas entendu venir… en fait elle avait dû venir par l’arrière, sans longer la rive que j’avais sous les yeux. Elle, c’était une femme d’un certain âge mais assez joliment conservée. Aussi nue que moi, elle me demande si elle peut se mettre dans la « clairière » où je suis, dans laquelle les hautes herbes ont finalement été couchées et piétinées et permettent le bain de soleil sans trop de contact avec les pollens. Bien évidemment je dis oui, la surface est amplement suffisante pour deux serviettes de bain.

Elle étend la sienne au sol, à une distance de moi que j’ai trouvée pleine de respect. Je guigne du coin de l’œil, profitant de l’écran qu’offrent mes lunettes de soleil. Elle doit avoir entre 55 et 60 ans, très bronzée, partout, ce qui indique qu’elle est, comme moi, une vraie nudiste.

Elle se couche à plat ventre, comme moi, et scrute la rive et le large. Quelques homme défilent, la plupart complètement nus, à la recherche soit d’une place dans les herbes, soit d’un complice de jeux sexuels. Certains sont déjà assez excités, ainsi que l’atteste l’érection de leur bite

« Vous êtes aussi pédé » me demande ma voisine sans crier gare… Je me tourne vers elle et lui souris : je lui explique que je suis vraiment bi, que j’aime avoir des jeux sexuels avec des hommes mais que j’apprécie aussi beaucoup le sexe avec les femmes. Ok, me dit-elle, ça me va. « Parce que hier, ils étaient tous en train de se sucer, et ça finissait par devenir lassant. Je n’ai rien contre les homos, j’aime aussi le sexe avec des filles mais, là ça faisait un peu trop ». Je me suis marré en imaginant la scène, lui ai souri à nouveau, en lui disant qu’ici, il fallait quand même s’attendre à une majorité d’hommes venus chercher des hommes.

Nous enchaînons sur d’autres thèmes banals, je me mets sur le côté pour lui faire face, nous parlons de tout et de rien, elle est marrante, vachement jeune et libérée pour son âge. Elle n’est pas mal foutue, étonnamment ronde et ferme et je sens ma bite s’allonger et grossir un peu… agréable.

Cela ne lui a pas échappé non plus. Vous avez une jolie queue, me dit-elle, si elle continue à grossir vous allez me faire mouiller. Je lui réponds que je suis un homme et que c’est indépendant de ma volonté. Vous allez donc m’amener à me masturber, me réplique-t-elle… et, ni une ni deux, elle écarte ses cuisses face au soleil et commence à se caresser la chatte. Ma bite s’enthousiasme immédiatement et je l’aide dans son durcissement en me caressant les couilles. Ma voisine ne perd pas une miette de mon spectacle, et moi pas une du sien. Elle se redresse alors sur sa serviette, se met à quatre pattes en tournant son cul vers moi et continue à se caresser la fente.

La vision est hyper sexe, ses hanches et ses cuisses sont larges, son cul est rond et plein avec juste ce qu’il faut de mollesse et peu de replis ou de cellulite, elle est bronzée ce qui rend sa raie du cul encore plus sombre et mystérieuse…

Je regarde encore un moment ses doigts s’activer sur son clito et se glisser dans sa chatte puis j’avance le visage vers ses fesses et les écarte doucement avec mes mains, ma bouche et mon nez se glissent entre les globes charnus… elle a transpiré, sa raie du cul est moite, chaude, fortement mais magiquement parfumée… Ma bite est devenue d’un coup énorme, je la renifle par derrière comme le ferait n’importe quel mâle avant de monter une femelle… Je plonge mon visage dans sa raie à la recherche de sa rondelle que je lèche et aspire goulument. Manifestement elle aime car elle soupire fort et se cambre pour m’offrir encore plus d’accès à son trou … je sens que ma bite ne va pas durer éternellement. Je m’interromps, reprends mon souffle et mes esprits tout en regardant cette croupe offerte sans complexes.

Quand je sens que je me suis calmé et que je vais pouvoir maîtriser les éventuelles montées de sperme, je décide de la monter en glissant ma bite en long entre ses fesses et mes mains vont chercher ses seins qui balancent lourdement. Sa raie est brûlante de soleil et enserre ma queue dans cet étui trempé de sueur et de désir… mes couilles sont à quelques millimètres des doigts qui branlent sa chatte et donneraient beaucoup pour être maltraitées. Je lui glisse dans un râle de me branler les couilles, ce qu’elle fait immédiatement en les empoignant avec une vulgarité géniale…putain, elles sont pleines, me dit-elle… bien observé, madame est une connaisseuse.

Tu tiens le coup ou tu veux gicler tout de suite, me demande-t-elle.
Je tiens le coup, t’inquiète
T’as des capotes ? oui, lui dis-je.
Mets en une et prends-moi
La chatte ou le cul ?, réponds-je
Le trou que tu veux…

Je m’écarte quelques instants pour prendre une capote dans mon petit sac et la glisser sur mon dard, puis je me remets derrière elle et appuie doucement mon gland entre ses fesses, au plus sombre de sa raie, c’est son cul que je veux….

J’appuie doucement, très doucement, je suis énorme et ne veux pas faire mal. J’ignore si son cul est habitué…. Pendant une longue minute mon gland reste presque sans bouger sur sa fleur…. Puis je pousse tout doucement, la fleur s’ouvre doucement, mon gland est aux anges, heureusement que je suis circoncis, sinon l’excitation serait trop forte pour un gland trop sensible… une autre minute et le gland est absorbé, son bord bien épais et gonflé est happé par son cul.

Putain t’es gros, qu’elle me dit…
Je te fais mal ?
Non pas du tout, tu es génialement doux, jamais été aussi bon….je vais peut-être jouir… vas-y continue

Après le gland vient la section la plus large de ma queue (et de presque toutes les queues…). Je redouble d’attention et de prudence, j’avance tout doucement bien que sa raie soit toute glissante de sueur. Les mouvements de ses hanches et de ses mains, et son souffle accéléré m’indiquent qu’elle va vraisemblablement avoir un orgasme….ses mouvements s’accélèrent et soudain, elle s’affale à plat ventre, sous moi, se dégageant de ma bite et jouissant bruyamment…. Je suis au-dessus de son cul offert et ouvert, la bite dressée et prête à exploser…et elle jouit en plusieurs spasmes sur sa serviette

Je m’étends doucement sur son dos, la bite toujours tendue dans sa capote…. Remets-la moi, dit elle….dans le cul ? oui, mais je veux faire quelque chose d’abord, répond-elle. Tu peux t’enlever une minute, me demande-t-elle…. Je m’écarte et la vois fouiller dans son sac et en ressortir un gode en silicone…

Puis elle se remet à quatre pattes, m’offre à nouveau sa croupe et ses fesses et se glisse le gode dans la chatte. Viens, monte-moi…Malgré la vulgarité fantastique de l’ordre, je n’obtempère pas tout de suite et plonge mon visage entre les deux globes généreux et bronzés de ses fesses. Il me semble que sa raie est encore plus humide, le mélange des parfums est juste magique.

Je pousse à nouveau mon gland doucement sur son œillet, qui s’ouvre facilement… il entre aisément sans pousser ni forcer jusqu’au renflement de ma queue… je m’arrête et prends le temps de pousser tout doucement tandis qu’elle fourrage son gode sans ménagement au fond de sa chatte. J’ai un peu de peine à contrôler ma progression pour ne pas lui faire mal, car ses mouvements de hanches sont parfois violents et me déséquilibre…le spectacle de ma bite à mi-chemin dans son cul est juste grandiose…. Ne pas regarder sinon je gicle…

Je passe progressivement la section la plus épaisse de ma bite et je sens qu’enfin, les derniers sept ou huit centimètres entrent délicieusement…. Je suis dans son cul, complètement, j’empoigne ses nichons et les malaxe, je suis en sueur, mes couilles n’en finissent plus d’être dures

Je marque un arrêt mais elle continue les mouvements du gode dans sa chatte et je devine à ses déhanchements qu’elle va de nouveau jouir. Je m’agrippe à ses hanches et ses cuisses et je reste bien au fond tandis qu’elle commence à ruer et à monter vers son deuxième orgasme, qui vient avec une vitesse époustouflante…elle doit être un peu femme-fontaine car je sens des gouttes et de petits jets m’effleurer les cuisses.

Dans un râle rauque elle me supplie de la monter comme un cheval, sans ménagement… je ne me fais pas prier et il ne me faut pas plus de trois ou quatre coups de piston pour que je vide ma queue en un nombre interminable de jets.

Je serais resté avec plaisir sur son dos, dans son cul au soleil…mais je devais me retirer avec la capote avant que je sois trop mou….
Je ressors donc doucement ma queue encore droite et gonflée… au bout de la capote pend de façon vulgaire et provocante le foutre abondant qu’elle m’a fait gicler.

Etonnamment, peu de mecs nous ont matés… et cet épisode fut le premier que quelques accouplements intéressants. Vous raconterai les autres prochainement

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