Sexe dans un autocar
Dans un autocar un jour d’orage
Cet après-midi de juillet il fait beau mais l’atmosphère est lourde.
Je m’habille, outre le string et le soutien-gorge avec des bonnets sans coque car j’aime bien que mes tétons ressortent, d’une jupe en tissu léger, d’un maillot moulant et de nu-pieds.
Je me rends chez mon amie Martine en traversant une partie de la ville en bus, puis comme elle habite à l’extrémité de la ville je dois faire le reste du trajet à pieds.
Pendant cette dernière partie du parcours un orage éclate et rapidement je suis trempée des pieds à la tête, mes vêtements collent à ma peau.
Déjà que je ne suis pas rassurée par les éclairs et le grondement du tonnerre avec la pluie qui me cingle je frissonne, j’ai la chair de poule et les tétons de mes seins sont érigés et bien visibles à travers le maillot.
Plus très loin de chez Martine je décide de continuer ma route, elle me prêtera bien quelques habits puisque nous avons sensiblement les même mensurations.
Je passe le long de la zone industrielle, des autocars sont garés sur le parking d’une usine, ils amènent les ouvriers qui commencent à 13 heures 30 et attendent ceux qui débauchent à 17 heures.
Souvent des conducteurs discutent en groupe et me draguent ou lancent des blagues quand je passe. Je souris mais continue mon chemin.
La porte d’un car s’ouvre et une voix me hèle:
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C’est Cédric un homme brun, grand, pas mal de sa personne.
Désorientée par ce qui m’arrive je me dirige sans hésiter vers le véhicule et monte dedans.
Cédric ferme la porte, met le chauffage en marche. Il retire un sac du porte bagages, en sort deux serviettes qu’il me tend.
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Dans l’état ou je suis je ne réfléchis plus, arrivée à l’arrière du car sans hésiter je retire mon maillot et ma jupe puis je commence à m’essuyer.
Je n’ai pas entendu Cédric s’approcher derrière moi, il prend mes vêtements et les dispose à côté d’une bouche de chauffage puis il commence à me frictionner à l’aide d’une serviette les épaules puis le dos.
Je reste muette et le laisse faire. Conforté par mon attitude il s’attaque à d’autres parties de mon corps comme les fesses et le ventre.
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Tout en disant cela il le dégrafe et l’enlève puis il me frictionne la poitrine. Je ne dis toujours rien mais des envies envahissent mon ventre.
Je ne suis pas plus bavarde quand sa serviette atteint de nouveau mes fesses et qu’il fait descendre mon string, je lève les jambes pour qu’il le retire.
Après avoir posé mes sous-vêtements près d’une bouche de chauffage il essuie avec application mes fesses, mes cuisses et enfin mon sexe enhardi par le fait que je ne proteste toujours pas.
Je ne suis plus en état de réfléchir car des envies de sexe ont pris le dessus.
Il me couche sur le ventre sur la banquette et me frictionne longuement le corps et les fesses avec ses mains.
Il me demande de me retourner, je m’allonge sur le dos sans discuter.
Il frictionne puis caresse mes seins et agace les tétons qui sont toujours érigés, je frissonne.
Une main caresse mon ventre puis descend sur mon sexe. Machinalement j’écarte les cuisses.
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Cédric déboutonne son pantalon, baisse le zip. Il retire le pantalon et son slip.
Un beau pénis aux belles dimensions se dresse fièrement, je le prends dans une main et le caresse.
Sa bouche est sur la mienne, nos langues se cherchent et se mêlent dans un long baiser.
Une main caresse mes seins et torture les tétons et l’autre alternativement doigte ma chatte et mastube mon clitoris pendant que je lèche sa queue partout après avoir insisté sur le gland, j’embrasse ses testicules et les prends dans ma bouche comme-ci j’allais les avaler.
J’engloutis sa verge jusqu’à ce que mes lèvres touchent son pubis tout en faisant bouger ma langue, ma bouche fait des aller-retour successivement lents puis rapides sur son membre. Il apprécie.
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Enervé il accélère la masturbation de mon clitoris sans se préoccuper du plaisir qui monte rapidement en moi ni du fait que je mouille de plus en plus. Il insiste dans ses caresses, je n’en peux plus, mon corps se tend et prise de spasmes je jouis pendant que des jets de cyprine sortent par saccades de mon vagin.
J’accélère la fellation, rapidement je sens sa queue augmenter de volume et tressauter dans ma bouche, ses ongles s’incrustent dans la peau de mes cuisses auxquelles ses doigts se sont cramponnées, des jets de sperme frappent contre le fond de ma gorge. J’avale sa semence et continue à sucer.
Il se retire et vient s’allonger sur moi entre mes jambes. Son pénis cherche l’entrée de ma grotte gluante de mouillure et s’y enfonce sans peine venant buter au fond.
Il me défonce à grands coups de reins pendant que j’accompagne ses mouvements. Il embrasse et lèche mes seins puis mordille les tétons avec ses dents.
Le plaisir remonte vite dans mon ventre et j’essaye de le contrôler, peine perdue car j’ai un orgasme qui secoue mon corps bien avant qu’il n’éjacule dans mon intimité en râlant.
Nous nous essuyons.
L’orage ne s’arrête pas, d’un commun accord nous reprenons nos ébats.
Je masturbe sa verge tout en caressant ses cuisses et ses testicules pendant qu’il martyrise mes tétons et masturbe mon clitoris.
Son pénis reprend du volume, je lui fais une fellation vigoureuse avec des mouvements rapides.
Quand il se sens assez excité, il me demande de me mettre à genoux sur la banquette et positionné debout derrière moi enfonce sa queue dans ma chatte et me prend en levrette à grands coups de reins. Je triture ses testicules pendant qu’il caresse mes seins et joue sans arrêter avec mon clitoris.
Le plaisir est là et je mouille beaucoup, ses bourses tapent contre mes fesses.
Notre accouplement dure un moment, il soutient mon corps quand je jouis et il se soulage dans mon ventre juste avant qu’un autre orgasme ne survienne.
Il s’allonge sur la banquette. A genoux entre ses jambes sans me soucier de la mouillure et du sperme qui maculent sa queue je lui fais une longue fellation bien qu’il n’aie pas vraiment débandé.
Je me positionne à genoux au dessus de lui, mes jambes de chaque côté de son corps et je m’empale sur sa verge.
Je remue longtemps, il accompagne mes mouvements. Le plaisir que je ressens est toujours aussi intense et l’orgasme arrive avec ses spasmes et la cyprine qui coule de mon vagin, je m’écroule sur lui.
Il change de position et je me retrouve sous lui.
Il défonce ma chatte à grands coups de reins, je remue en même temps que lui. Je mouille beaucoup et les clapotis accompagnent nos mouvements, ses bourses tapent contre mes fesses.
Il prend son temps et met longtemps avant d’éjaculer dans ma chatte et j’ai deux jouissances successives avant de sentir son sperme couler dans mon intimité.
Nous nous essuyons.
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Il pleut toujours, Cédric me dit:
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Il se rhabille et avant de sortir il demande à me revoir ce que j’accepte sans faire de manières.
Je reste nue seule, assise sur la banquette arrière.
La porte du car s’ouvre, un homme pas très grand et rondouillard entre et se dirige vers moi.
Les yeux lui sortent de la tête quand il voit ma nudité et qu’il scrute mon corps.
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André s’approche de moi.
Je dégrafe sa ceinture, je déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds suivi par son slip.
Je caresse sa queue de taille moyenne puis je la lèche partout avant de l’engloutir et de lui faire une fellation avec des aller-retour rapides pendant qu’il caresse mes seins et torture les tétons à me les arracher.
Rapidement il gémit fortement, son pénis gonfle dans ma bouche et tressaute en envoyant des jets de sperme au fond de ma gorge, j’avale puis je me couche sur le dos.
Il se met entre mes jambes et s’allonge sur moi sa queue contre mon intimité.
D’une poussée il fait coulisser son membre dans mon ventre.
Nous remuons ensemble, je mouille mais n’éprouve pas de plaisir comme avec Cédric et je pense à autre chose pendant qu’il est en moi car je ne veux pas me laisser aller avec lui.
Je suis contente quand son corps se raidit et qu’il éjacule dans ma chatte.
Il se relève et nous nous essuyons.
A ma grande satisfaction il me dit qu’il n’a plus beaucoup de temps et qu’il doit me ramener rapidement.
Je rassemble mes vêtements toujours mouillés et me rhabille, mon corps frissonne à cause de l’humidité.
Une voiture s’est arrêtée à côté de la porte du car, Cédric en descend et André prend sa place.
Après avoir embrassé Cédric je me précipite à l’extérieur du car pour m’asseoir à l’avant côté droit de l’auto.
Pendant le trajet André parle beaucoup.
Il veut me revoir, je le laisse espérer sans prendre de rendez-vous car il ne m’intéresse pas.
Arrivés devant chez moi je lui dis au revoir sans l’embrasser avant de sortir de l’auto.