Ma femme me trompe avec mon père – Partie 1
Je m’appelle Homer, j’ai 43 ans, marié depuis 20 ans à Coralie 40 ans, une magnifique femme, avec un petit cul ferme et une poitrine impressionnante : 95D ! Elle a quelques rondeurs, mais cela la rendent encore plus sexy.
Mon père est un jeune retraité, dynamique et divorcé de ma mère, il passe ses journées à bricoler ou regarder la télé. L’an dernier, il s’est acheté une moto, depuis il est passionné et passe des heures dessus.
Cet été, nous sommes allés le rejoindre dans sa maison de vacances dans le sud de la France à quelques kilomètres de la mer. Un jour, après le déjeuner, mon père demanda à ma femme Coralie si elle voulait faire un tour de moto ? « Tu veux aller voir la mer Coco ? » lui demande-t-il ?
« Ok, attend je vais enfiler mon maillot de bain et j’arrive. Je peux rester en jupe ? » Demanda t-elle ?
« Oui, on ne va pas très loin… ». En effet, Coralie portait une jupe ultra courte et un tee-shirt échancré qui laissaient deviner ses seins énormes.
Quelques minutes plus tard, une fois prête et équipée de son casque, ils prirent le départ.
Sans les prévenir, je décidais de les rejoindre en vélo, je savais où allait mon père, il a ses petits coins préférés…
Mon père pris une très grosse accélération en espérant impressionner Coralie. Elle poussa un petit cri aigu et ils s’éloignèrent de la maison… Comme ce n’est pas très loin, il ne me fallut pas très longtemps pour les rejoindre, je mis mon vélo contre la moto de mon père, et je décidais de passer par la forêt, pour leur faire une surprise. A l’abri des arbres, je les observais en réfléchissant à une manière de leur faire une blague.
Une fois sur la plage, ma femme retira sa jupe et son tee-shirt pour se retrouver avec un minuscule bikini et courra dans l’eau ! « Tu ne viens pas ? » demanda-t-elle à mon père, « non, je n’ai pas mon maillot, et tu sais que je ne sais pas nager. » En réalité, il préféra rester assis sur la plage, le corps de Coralie lui rappelé qu’il n’avait pas fait l’amour depuis plusieurs années, les gros seins de ma femme l’excitait beaucoup, il me l’avait avoué un jour…
Toujours caché, j’ai pu voir Coralie sortir de l’eau, elle étendit sa serviette à côté de mon père et s’allongea sur le ventre. « Tu peux me mettre de la crème ? » Demanda-t-elle en sortant le tube de son sac. Mon père s’exécuta, et commença à étaler la crème sur son dos, ses hanches… Il était maladroit, comme un adolescent qui touche une femme pour la première fois. « N’oublie pas les cuisses, ça chauffe ! ».
Il étalait la crème, évitant de remonter trop haut. Coralie poussa un petit soupir et cambra ses fesses, un signe qui semblait être comme une invitation. Mon père, toujours en massant les cuisses de ma femme, s’approchant lentement de ses fesses, jusqu’au moment où il commença à les masser franchement. « Remet de la crème » dit-elle « sinon ça ne sert à rien ». Il reprit de la crème et recommença à lui masser fermement les fesses. Elle poussa à nouveau un soupir. Caché derrière mon arbre, à ce moment-là je ne savais plus quoi faire, était-ce une bonne idée d’apparaître à ce moment-là, je ne voulais pas les mettre mal à l’aise. Je restais donc caché là, en les observant discrètement.
Soudain, en massant, un de ses doigts passa sous l’élastique du string de Coralie. Elle ne dit rien, mais se retourna d’un coup. Mon père pensa qu’il était allé trop loin, mais elle dit alors « Allez ! De l’autre côté maintenant ! ». Ne sachant quoi faire, mon père repris un peu de crème et commença à l’étaler sur les cuisses de Coralie qui attendait en fermant les yeux, un petit sourire aux lèvres, puis son ventre. « Et mes seins ! » Dit Coralie en retirant son haut de maillot d’un geste. Mon père était complètement décontenancé ! « Tu es sûre ? » dit-il. « Et pourquoi pas, personne ne nous voit, on peut faire ce qu’on veut ».
Il entreprit alors de masser la grosse poitrine de Coralie, ses seins sont tellement gros qu’ils ne tiennent pas dans une seule main, c’est toujours un plaisir énorme que de les masser. Mon père ne se faisait pas prier, il n’avait d’yeux que pour eux depuis tellement de temps, il massait doucement, puis fermement, Coralie toujours les yeux fermés, commençait à respirer plus fort et à pousser des petits soupirs de plaisirs. Et pendant qu’il continuait à la masser, le ventre, puis les seins, la main de Coralie cherchait à l’aveugle l’entrejambe de mon père… Elle passa sa main sous le short et entreprit de lui masser les couilles du bout des doigts, puis attrapa sa queue d’un seul coup. Mon sang ne fit qu’un tour, je pouvais sentir le cœur dans ma poitrine, pourquoi faisait-elle ça ? Jusqu’où va t-elle aller ?
Soudain, Coralie se releva, mon père fit un mouvement de recul et elle le poussa sur le sable, il se retrouva allongé sur le dos, sans avoir le temps de savoir ce qu’il se passait, Coralie lui déboutonna son short et le retira d’un coup avec son caleçon. Il laissa apparaître son sexe en érection « Houla, elle est bien plus grosse que celle de Homer ! Génial ! ». J’étais pétrifié, je ne pouvais plus bouger, plus respirer, c’était hallucinant.
Sans un regard vers lui, elle approcha lentement ses lèvres de son gland, le lécha doucement de bas en haut, lécha ses couilles, son scrotum, puis elle prit toute sa bite en bouche. Mon père était tellement excité qu’il ne put se retenir et éjacula dans sa bouche ! « Mon dieu, c’est pas possible ! T’es trop bonne ! » Hurla-t-il en lâchant son nectar. Je n’en revenais pas que mon père ai joui dans la bouche de ma femme, comment avait-il osé ? En tout cas maintenant je sais que le spectacle était fini et je me préparais à repartir pour rejoindre mon vélo… Me voici cocu, quel claque !
« Tais-toi, on va nous entendre… » chuchota Coralie. « On rentre maintenant ? » demanda-t-elle. « Oh non… » Dit mon père. « Laisse-moi 5 minutes et je m’occupe de toi ». Il l’allongea sur sa serviette, retira son string, et entreprit de la doigter avec ses grosses mains calleuses, témoins de toutes ses années de travail manuel. Il commença à caresser doucement sa vulve, son clito, puis il introduit doucement son majeur dans son vagin. « Mon dieu ! Tes doigts sont aussi gros que ta bite ! » dit Coralie en gémissant. Une fois son vagin bien lubrifié, il entreprit d’insérer un autre doigt, Coralie se tordait de plaisir autour de ses doigts… « Oh Ouiiii… C’est bon ne t’arrête pas !! ». Pendant que mon père la doigtait violemment, il aspirait ses énormes seins dans sa bouche, passant de l’un à l’autre en se régalant. Je n’en revenais pas, même après avoir jouit, à son âge, il avait encore assez d’énergie. Je ne savais plus quoi faire, me montrer pour leur hurler dessus, partir, ou continuer à les espionner… Je décidais de rester là, curieusement, je commençais même à ressentir une légère excitation…
Mon père avait repris des forces après cette fellation mémorable, il retira son tee-shirt découvrant ainsi son torse poilu et ordonna à Coralie « A GENOUX !! ». Elle s’exécuta, elle posa sa tête sur sa serviette, laissant apparaître son vagin grand ouvert et humide… Mon père regarda sa croupe pendant quelques secondes, il admirait la forme de ses fesses, son petit cul serré et son vagin ouvert, prêt à être pénétré…
Il hésita une seconde. « Alors !!! » Demanda Coralie en tortillant son cul pour l’inviter à approcher… Il s’agenouilla derrière elle fébrilement, il approcha doucement son gland des lèvres de Coralie, malgré ses efforts, il ne parvenait pas à introduire son énorme bite dans le vagin étroit de Coralie, il frottait son gland sur sa vulve pour faciliter l’ouverture, et d’un coup sec il tira sur les hanches de Coralie pour forcer la pénétration ! Tous les deux se mirent à crier, « putain, elle est vraiment grosse, je ne pensais pas que ça me ferai autant de bien » hurla Coralie. Mon père commença lentement ses va et vient, il avait trop peur de jouir trop vite, comme tout à l’heure.
Mais cette fois-ci, il prit plus d’assurance, il commença à la marteler, projetant ses lourdes couilles contre sa chatte à chaque mouvement. Coralie voulait hurler tellement elle prenait de plaisir, elle mordait sa serviette pour se retenir. Je n’en revenais pas qu’elle prenne autant de plaisir, entre nous le sexe était beaucoup plus sage et malheureusement, je la faisais rarement jouir…