Le chemin de l’école partie 11

Le chemin de l’école partie 11
Après la pause de midi, je trouve un petit paquet sur mon bureau.

– Sandrine, tu sais ce que c’est ?
– Oui, Thomas m’a demandé de te le donner.

Je l’ouvre : ci trouvent un petit mot, que je décide de lire à la fin, des chocolats noirs et une bougie de massage au parfum aphrodisiaque. Je sens la présence de Sandrine dans mon dos…

– Il est fou de faire ça ! T’imagine si les enseignantes apprennent qu’un papa me fait des cadeaux, surtout de ce registre là ?
– Moi je trouve ça mignon de sa part, et même excitant…

Elle caresse me bout de mes seins :
– Et si je passais chez toi ce soir ?
– Ça peut se faire ma cochonne… dis-je déposant un baiser sur ses lèvres. Maintenant faut qu’on aille bosser.

Elle rejoint ses élèves. Je déplie le petit mot écrit de la main de Thomas :

” J’espère que tu aimes le chocolat noir. C’est pour te dire que je pense à toi.

J’ai remarqué que tu as apprécié les bougies vendredi soir. J’espère que celle-là te plaira. Et qu’on aura l’occasion de l’allumer ensemble. Ça c’est pour te dire que j’ai terriblement envie de toi.

Thomas ”

Même ses mots me font de l’effet.

A seize heures, je me dirige vers la sortie, mon paquet sous le bras. Je le voit au bout de couloir : il est venu récupérer son petit qui fait la sieste à l’école. Ce dernier court vers moi et saute dans mes bras :
– Juliiie.
– Coucou Mathieu. Tu as bien dormi ?
– Oui et en plus c’est papa qui est venu me chercher.
– Je vois ça. Tu en as de la chance.

Thomas arrive à notre hauteur.
– Bonjour Julie.
– Bonjour Monsieur.

Ça fait bizarre de l’appeler ainsi après la nuit qu’on a passé. Rien que de le voir, la chaleur monte dans mon intimité et je sens que mon string est légèrement humide de désir..

Il s’approche de moi et chuchote :
– Tu l’as ouvert ?
– Oui mais n’en parlons pas ici. Je t’écris quand je suis chez moi…

Je m’éloigne un peu :
– Au revoir Monsieur. Au revoir Mathieu.
– Au revoir Julie, répondent-ils en même temps.

Arrivée chez moi, j’écris à Thomas :

” Déjà merci.

Ensuite,tu triches ! Tu as la complicité de ma meilleure amie pour me séduire. C’est pas du jeu moi j’ai personne pour m’aider à te résister.

Tu as bien deviné, j’aime le chocolat noir. Mais ça ne marche pas pour m’amadouer 😉

Et oui j’adore les bougies. Je trouve ça romantique et sexy à la fois. Mais ça ne suffira pas pour qu’on l’essaye. Bien tenté… ”

Sa réponse ne se fait pas attendre :

” Tous les coups sont permis.

Et qui je tente rien n’a rien.

Ça te dit qu’on boive un verre ensemble ? ”

Je lui mens :

” Tu sais bien que je peux pas… ”

Il me répond : “je sais qu’il est pas là cette semaine …”

Comment il sait ça ?

Plus le temps de répondre, ça sonne à la porte. Je lui demanderai plus tard.

J’ouvre : c’est Sandrine. Elle est passée chez elle pour se changer. Elle porte un jupe en cuir, un chemisier blanc transparent ultra décolleté qui laisse voir ses seins qui pointent grâce à l’air frais. Elle a enfilé des bottes de cuir rouge à hauts talons qui montent jusqu’à ses genoux. Elle est très excitante. Je ferme la porte derrière elle et la plaque contre le mur pour l’embrasser. Je fais sauter les boutons de sa chemise et lui pince les tétons. Elle génital fort. Elle retire mon top et arrache mon soutien-gorge. Elle caresse mes seins puis suce mes tétons.

Je l’entraîne dans ma chambre et lui retire sa jupe. Elle porte une culotte en dentelle fendue. Son clitoris est déjà bien gonflé par le désir. Je décide de m’occuper de sa chatte plus tard. Pour l’instant c’est son cul qui m’intéresse. Je bascule en avant sur le lit, la tête contre le matelas, le cul bien dressé. La vision de son cul rond surplombant ses longues jambes terminées par ces bottes me fait mouiller. J’aime le corps de cette femme.

J’att**** la cravache cachée sous le matelas. je commence par effleurer ses fesses avec. Je remonte en longeant sa colonne vertébrale jusqu’à sa nuque. Je redescends à nouveau suivant la raie de ses fesses qui se devine à travers sa culotte. Je poursuis le long de sa cuisse gauche jusqu’à son genou et remonte faire rencontrer le bout de ma cravache avec son pubis découvert par la fente dans la dentelle. Je passe et repasse plusieurs fois sur son clotoris avant de lui donner une petite tape. J’entends Sandrine gémir un peu. Je recommence plusieurs fois. Chaque fois elle gémit plus fort que la précédente. Sa chatte coule tellement elle mouille. Je pose mon instrument et vient me placer à genoux sous elle et entreprends de la lécher. Elle jouit vivement sur mon visage. Je viens me placer face à sa tête pour qu’elle lèche sa mouille sur mon visage.

Quand elle a fini, elle m’allonge sur le lit et retire ma jupe et mon string. A son tour elle me broute pour me faire jouir puis elle s’allonge à côté de moi.

– J’ai croisé Thomas en partant du boulot. Il a voulu me parler du paquet alors je lui ai dit que je lui envoyais un SMS en rentrant. Il y a répondu en disant qu’il voulait qu’on aille boire un verre. Alors je lui ai dit qu’il sait très bien que je peux pas… et il a dit qu’il savait que Romain est absent pour la semaine… tu n’y serais pas pour quelque chose par hasard ?
– Un peu… il me fait de la peine à se faire rembarrer , dit-elle en souriant.
– Tu es incorrigible toi

Elle se lève et commence à ramasser ses affaires.
– Par contre il faut que je file ma belle.
Je la raccompagne à la porte et l’embrasse une dernière fois avant qu’elle ne parte

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