UNE BONNE GROSSE SALOPE

UNE BONNE GROSSE SALOPE
L’histoire que je vais vous raconter n’a rien d’extraordinaire, elle remonte à il y a 3 ans, j’ai rencontré Adeline (le prénom est changé bien sûr) sur notre lieu de travail, j’y étais technicien de maintenance et elle technico-commerciale donc pas toujours présente sur le site.
La cinquantaine, brune aux cheveux courts, 1m65 pour 85 bons kilos je pense mais un regard malicieux et surtout, en tous cas pour moi à l’époque, un argument indiscutable, une paire de nichons énormes (115E), du très lourd.
Nous discutions de tout et de rien. Je me débrouillais toujours pour la croiser quand je savais qu’elle était sur le site de notre entreprise, et dans les conversations je lançais régulierement des petits tests pour voir la réaction. Adeline n’avait pas l’air fermée. Aprés quelques semaines de conversations au détour d’un café ou en se croisant dans les couloirs j’apprends qu’elle vit en couple mais elle à su me préciser que les jours où elle ne travaille pas elle est seule et que je peux passer prendre un café.

Je saute biensur aussitôt sur l’occasion et lui répond :
– Ok pour un café, et je rajoute « et plus si affinités » en rigolant…
– Alors ce ne sera pas qu’un café dans ce cas! rajoute-t-elle aussitôt.

Voilà qui est clair, Adeline n’est pas une farouche loin de là, mais bon reste à savoir si elle est bonne au lit.

3 semaines plus tard j’arrive à trouver un créneau correspondant à un de ses jours de repos et je réussi donc à me faire inviter au café (et plus si affinités…) par un après-midi plutôt gris.

En arrivant, Adeline me fait la bise et ses deux bisous sont quasiment sur mes lèvres.
Elle a une jupe à volant et un chemisier qui craque littéralement sous ses seins volumineux.

Comme convenu le café est vite servi mais j’ai du mal à ôter mes yeux de ses seins:
– Ils te plaisent ? me dit-elle, car elle n’a pas pu louper mon regard.
– Oui beaucoup !

Adeline se lève et vient s’asseoir directement sur mes genoux.
A peine s’est-elle assise qu’elle me dit :
– oulala oui je sens bien qu’ils te plaisent ! En s’asseyant elle a senti ma grosse bite gonflée à bloc.

Nous nous roulons une pelle et je commence à peloter ses énormes seins. Je sens ses tétons durcir, ils ont l’air énormes.
Adeline se lève et m’entraine dans la chambre, dans une semi pénombre.
Elle me dit qu’elle est plus à l’aise sans lumiere car elle a honte de son corps depuis qu’elle a pris du poids.

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous retrouvons nus comme des vers. il est clair que n’ai pas miss monde en face de moi, mais je m’en fou, ça je le savais, en revanche qu’elle paire de mamelles !!!!!!

Je constate que sa chatte rasée laisse apparaître une petite touffe de poils bien maîtrisés au-dessus de sa fente.
Je vais vite être fixé sur les qualités d’amante d’Adeline, à peine déshabillée, elle s’agenouille devant moi et se met à me pomper la bite comme une folle. Déjà c’est une super suceuse, le top !!

Nous passons sur le lit pour un bon 69, pendant lequel je laisse promener mes doigts vers et sur son petit trou, pas de réaction négative, je mouille donc mon majeur de salive et l’enfonce doucement dans sa rosette. Pas de résistance, je dirai même au contraire.

Changement de position, elle se positionne en levrette, mais au lieu de la prendre, je lui lèche bien sa moule baveuse et remontant jusqu’à sa pastille que je sens de plus en plus accueillante.
Je la lèche bien, la mouille bien puis en posant mon doigt dessus je lui dis :
– C’est interdit par là ?
– Non pas du tout, avec moi rien n’est interdit mon chéri.

Je continue de lécher un peu, puis n’en pouvant plus, je m’enfonce dans sa chatte humide. Un régal, elle bouge bien son gros cul la salope.
– Je pensais que tu allais aller direct dans l’autre me dit-elle.
– T’inquiète je vais y aller…

Après avoir pilonné sa chatte, je me retire et présente ma queue bien dure sur sa rondelle, je commence à pousser, et elle en fait autant de son côté et c’est sans difficulté que ma bite disparaît dans ce petit trou comme aspirée.
Et là je commence par des va et vient lents et profonds, Adeline miaule bien et semble apprécier. J’augmente la cadence et l’amplitude, Adeline apprécie toujours autant, le rythme s’accélère et c’est maintenant à une sévère sodomie qu’à droit cette grosse chienne, mais c’est finalement ce qu’elle aime!
Au moment de gicler je me retire et lui arrose le cul de mon foutre. Elle se retourne et me pompe la bite à nouveau.

Depuis j’ai vu régulièrement Adeline pendant 7 mois environ, je l’ai démonté par tous les trous avec toujours autant de plaisir.
Adeline avait ce que j’aime chez une maîtresse, pas forcément belle, mais qui aime la bite, car c’est pour ça qu’on prend une maîtresse.

Puis Adeline a été licenciée et elle a changé de secteur géographique pour son nouvel emploi. Mais je ne l’ai pas perdu de vue, je l’ai revue il y a un an car je passais des vacances dans sa région et elle m’a hébergé, comme un locataire lambda, sans avouer à son mari ce que nous avions déjà vécu ensembles…ce fut de trés bonne vacances…ce sera donc mon prochain récit, mais seulement si vous me dites que cette histoire vous a plus !

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