Jessica, ma meilleur amie partie 7
Suite de mes aventures avec Jessica, ma meilleure amie après une longue absence.
Avec la mère de Jessica finissant de lécher le gland, je réalisai davantage dans quel merdier je m’étais mis. Je venais de baiser la mère de ma meilleure amie ! Et encore baiser était un euphémisme : je l’avais enculée à fond sur le lit conjugal. Bon d’accord, ça avait été extra et c’était la première femme mûre que je me tapais. Mais comment les choses pouvaient revenir à la normale après ça. Et si Jessica l’apprenait ?
Je demandai à Laure d’arrêter de s’acharner sur ma queue flasque.
– Laure, s’il vous plaît, je crois qu’on a vraiment fait une erreur, déclarai-je d’une voix contrite par la culpabilité.
Elle se releva. Bon Dieu qu’elle était belle avec son corps luisant d’eau de douche. Elle souriait comme une mère sourit à un enfant qui lui avoue une grosse bêtise sans conséquence.
– Ne t’en fais pas, Ju. Ce sera notre petit secret. Je te remercie en tout cas du bien-être que tu m’as donné. Tu n’as pas idée du bien que ça fait de se sentir une femme désirable, plutôt qu’une malade.
Elle m’embrassa sur les lèvres. Un tendre smack appuyé d’une femelle comblée de plaisir lors d’un coup sans lendemain. Je l’espérais alors.
Je me pressai ensuite de m’essuyer, de m’habiller et de rentrer chez moi.
Sur le trajet, je ruminais et m’en voulais de ma faiblesse. Cette relation amicale avec Jessica était ma bouée de sauvetage à ce moment de ma vie. J’avais besoin de mon amie et ses parents pour mon équilibre émotionnel. Et là je foutais tout en l’air pour du cul avec Jess et maintenant sa mère !
Je vécus les jours suivants comme un zombie. Je reçus quelques SMS de Jessica auxquels je répondis de manière évasive. Elle me demandait et donnait des nouvelles. J’eus un moment de stress quand elle me demanda si sa mère n’avait pas été trop envahissante lundi matin.
Je répondis que non, on avait passé une matinée sympa et ordinaire. Elle me répondit qu’en tout cas, Laure ne disait que du bien de moi et qu’elle n’avait jamais été aussi guillerette.
Le jeudi matin suivant, Jessica m’envoya un message :
« Salut Ju ! Ça te dit une journée vidéo chez toi ? Je ramène la console et je passe prendre un DVD en venant. »
« Super ! Tu viens à quelle heure ? »
« Je comptais venir tout de suite et on mangeait ensemble. Le Mc Do est pour moi, ça te va ? »
« Génial ! Je t’attends ! »
« Je te préviens, j’ai plusieurs surprises pour toi.
30 min plus tard, la miss sonnait à l’interphone, chargée de son sac à dos et fast food. Elle était habillée d’un manteau long et était maquillée avec beaucoup de classe sous ses lunettes de vue, comme à chaque fois que je la voyais (parfois elle mettait des lentilles de contact). Elle portait des bottes hautes en cuir noir.
On se fit la bise et je l’invitais à se mettre à l’aise.
– Je peux retirer mon manteau où ?
– Donne-le-moi. Je vais mettre dans la penderie.
Avec un grand sourire, elle ôta son manteau et me le tendit. Je fus tétanisé.
Dessous, elle portait une guêpière noire et rouge ultra sexy, avec des balcons soutenant ses gros seins nus dont les tétons dardaient déjà beaucoup. Elle ne portait pas de culotte, sa fente dodue était comme un coquillage qui demandait à être ouvert d’une langue habile. Ses jambes étaient gainées de bas autofixants noirs, avec une dentelle habillant ses cuisses. Ses fesses rebondies, blanches comme de l’albâtre, étaient une invitation à la caresse, voire à la fessée.
– Première surprise ! annonça-t-elle avec un air coquin qui aurait défroqué un prêtre. Ça te plaît ?
– Je… hum… je suis sans voix, dis-je honnêtement.
– Je te propose qu’on mange tranquillement avant qu’on passe à la deuxième surprise.
Je commençais à être sérieusement à l’étroit dans mon pantalon.
L’avantage du fast-food, c’est qu’il porte bien son nom. Le repas, frugal, fut vite englouti. Jessica passa le repas à me regarder, dans les yeux, provocante, les cuisses bien écartées afin que je puisse contempler sa chatte glabre entrouverte. A la fin du repas, je ne sus si ce fut volontaire ou pas, mais elle fit tomber une goutte de sauce pommes frites sur l’un de ses mamelons. Pour m’exciter encore davantage, elle souleva son sein et le lécha pour récupérer la trace blanche. Son autre main s’égara sur son clito gonflé et sa fente visiblement trempée, si je pouvais me fier au « floc floc » audible quand elle glissa deux doigts dans son vagin.
– Tu ne peux pas savoir combien j’ai eu envie de toi toute cette semaine, me dit-elle d’une voix rauque en se masturbant. Et maintenant, mes règles sont passées et j’ai trop envie que tu me baises comme une chienne.
Je lui caressai les seins en la regardant s’affairer à se faire du bien, une gaule d’enfer déformant mon pantalon. Elle s’avança pour me rouler une pelle passionnée. Ivre de désir, je ne posai pas de questions et ma langue s’enroulait agréablement avec la sienne.
Elle me proposa de passer dans ma chambre dans la pièce d’à côté. Elle prit son sac à dos et m’annonça :
– Deuxième surprise. J’ai pris ma console. On a le choix entre jouer ou regarder un DVD porno que j’ai loué tout à l’heure. Personnellement, j’ai bien envie de jouer à un petit jeu de plateforme avec toi. Je te propose un défi : chacun son tour, on essaie d’aller le plus loin possible sans perdre de vie, pendant que l’autre fait tout son possible pour perturber l’autre.
Je ris et relevai le défi.
– Qui commence ? demandai-je.
– Toi. Mais avant, à poil !
Je me mis nu, ma queue raide s’éjectant de mon slip comme un diable à ressort, sous le regard avide de mon amie. Je branchai la console, m’allongeai sur le lit et lançai le jeu. Jess commença doucement, en me caressant l’intérieur des cuisses, au début avec les mains puis avec ses ongles. Je frissonnai mais restai concentré sur le jeu. Vraiment pas évident quand Jessica commença à me lécher les couilles. La torture continua quand elle prolongea ses lapements sur la hampe veinée de ma queue. Je me mordais la lèvre inférieure, et faisait un effort démesurée pour ne pas être captivée par les yeux verts de mon amie au moment où elle prit mon gland violacé à bouche. Le personnage du jeu vidéo commençait à beaucoup hésiter à sauter devant certains obstacles, quand elle laissa de la salive sur le bout de ma queue, avant de me pomper sans les mains à un rythme langoureux. Ses mains étaient posées sur mes cuisses, et mon cylindre coulissait profondément entre ses lèvres pulpeuses, de plus en plus vite. Je sentais que je n’allais pas pouvoir résister très longtemps. Soit je me lâchai et ouvrai les vannes dans sa gorge, soit je crashai mon personnage pour m’avouer vaincu. Lara Croft se fracassa dans une chute vertigineuse. Bien que Jessica ait entendu ma défaite, elle ne s’arrêta pas. Au contraire, elle me branlait maintenant la queue en suçant mon gland comme une folle, son autre main flattait mes couilles.
Je gémissais et la suppliais d’arrêter, n‘en pouvant plus
– Vas-y, donne-moi tout, ordonna-t-elle en me branlant et en venant me lécher les lèvres. Je veux boire ton sperme. On a toute l’après-midi pour que tu t’occupes de moi.
Elle reprit sa pipe effrénée, bien résolue à me faire cracher. Je sentis un orgasme monstrueux monter du fond de mes couilles. Je me tendis comme un arc en criant, lâchant giclée après giclée dans la bouche de mon amie, qui gémissait de plaisir, la bouche pleine. Ma bite se couvrait de sauce blanche, s’échappant de la bouche de mon amante, mais ce n’était pas de la sauce pommes frites cette fois. Jessica recueillait mon jus de la langue pour mieux l’avaler comme si c’était un nectar précieux. Elle resta encore un moment à me sucer langoureusement, et période réfractaire oblige, je dus la repousser quand ses succions devinrent désagréables. Je mis beaucoup de temps à me remettre de cet orgasme.
Jessica vint se blottir contre moi, en me caressant le torse.
– C’était bon ? demanda-t-elle.
– Extra ! Tu ne perds rien pour attendre !
– J’y compte bien, répliqua-t-elle. Et puis la 3ème surprise t’attend.
– Ah ? Et je peux savoir ce que c’est ?
– Tu veux vraiment savoir ? demanda-t-elle.
– Tu sais très bien que je suis un vrai gosse quand on me fait des surprises. Je veux toujours savoir.
– Ok. Je viens déjà de te faire jouir avec ma bouche. En passant, j’adoré. Il te reste plus qu’à jouir dans mon cul. Et enfin dans ma chatte.
Je demeurai circonspect. Jessica ne prenait pas de contraception à cause de ses problèmes de santé. On prenait un risque déjà énorme en baisant comme des lapins sans capote. Et là, elle me demandait de jouir en elle ?
Elle reprit la parole.
– Tu sais que j’ai vu mon cardiologue lundi.
Oui, et j’avais baisé sa mère analement pendant ce temps-là (voir épisode précédent).
– Je lui ai demandé s’il existait une pilule qui ne poserait pas de souci pour ma future opération. Il m’a recommandé une pilule micro dosée toute récente sur le marché. Je me la suis fait prescrire dans la foulée par mon gynéco. Ce qui veut dire que je suis protégée. Tu seras le premier mec qui aura le privilège d’honorer mon utérus de sa semence.
– Sérieux ?
– Et bien, tu sais déjà que je n’ai pas eu des tonnes de mecs qui m’ont baisée. T’es le deuxième en fait. Et t’es le premier avec qui je suis allée aussi loin dans le sexe.
– Je… je suis flatté, dis-je sincèrement
– Ju… je… j’ai beaucoup pensé à ce que tu m’as dit le week-end dernier. Tu sais… Le truc sur le fait que nous ne devions pas avoir de sentiment l’un pour l’autre… que nous étions juste amis. Je sais qu’une relation amoureuse avec moi ou avec n’importe qui d’autre te fait flipper. Je t’ai dit que ce qui existe entre nous depuis peu de temps n’était que du sexe. C’était vrai. Au début du moins. Mais au risque de te perdre, je ne peux plus cacher mes sentiments, car ça me rend malheureuse.
Jessica se redressa et se mit à califourchon sur moi. Je sentais l’humidité et la chaleur de son sexe sur mon sexe flasque. Il réagit aussitôt en prenant du volume. Elle plongeait son regard intensément dans le mien et approcha ses lèvres des miennes pour un baiser passionné. Tout en m’embrassant, elle frottait sa vulve contre mon mât à présent complètement raide. Je pris ses fesses à pleines mains pour les malaxer.
– Ce qui existe entre nous est très fort, reprit-elle avec le regard vitreux d’une fille ivre de désir. Je ne me suis jamais sentie autant à l’aise avec un mec. Ju, je suis amoureuse de toi depuis le premier jour.
Comme un missile téléguidé, ma bite trouva l’entrée de son vagin et elle s’assit brutalement dessus, en poussant un gémissement. Elle m’embrassa à nouveau pour étouffer ses cris de plaisir et nos bassins s’entrechoquait frénétiquement. Elle enleva son corset, libérant ses gros seins de leur carcan de dentelle et se positionna accroupie sur moi. Ma queue coulissait voluptueusement au plus profond d’elle. Je sentais sa mouille me dégouliner sur mes couilles jusqu’à ma raie des fesses. Ne tenant plus, elle gémissait de plus en plus fort et se mit à se branler le clito à toute vitesse. Son orgasme fut fulgurant et elle m’aspergea avec une quantité impressionnante de cyprine en sortant ma bite de sa chatte. Ivre de plaisir, je pris ses fesses et me contorsionna pour venir boire son nectar à sa source. Après tout, elle avait bien avalé goulument mon sperme. Je lui bouffai littéralement le minou, la bouche collé à son sexe, enfonçant ma langue au fond de son vagin puis lui léchant frénétiquement le clito. Elle hurlait sans discontinuer en se pinçant les tétons. Heureusement que ma voisine de l’étage supérieure n’était pas là…
Trempé de sueur et sécrétion, je la retournai comme un pantin sur le dos. Les yeux encore révulsés, elle écarta aussi ses cuisses au maximum et se masturbait en attendant que je vienne la posséder. Je bandais comme un âne. Je tapotai mon gland sur sa chatte grande ouverte pour qu’elle sente la lourdeur et la raideur de ma queue.
Jamais je n’avais désiré autant quelqu’un. Etait-ce de l’amour ? Une folie sexuelle accentuée par la voracité de ma meilleure amie ? Le fait qu’elle m’ait avoué ses sentiments pour moi perturbait-il mon libre arbitre en justifiant mon envie de la défoncer comme jamais j’avais défoncé une fille ?
Le regard vitreux, elle écartait les lèvres de sa chatte et me dit :
– Viens me prendre comme une grosse chienne. Je veux ta queue au fond de moi.
– J’ai trop envie de toi, répondis-je. Je vais te prendre comme une pute. Je t’aime.
Mon gland se fraya son passage à travers sa vulve bouillante.