Les martiniquais l’ont plus grosse

Les martiniquais l’ont plus grosse
Je n’avais jamais jusqu’à ce jour attaché une grande importance aux dimensions du sexe masculin.

Mon mari pourvu d’un pénis de taille moyenne, parvient tant bien que mal à me faire jouir, mais se sert souvent d’un gode de bon calibre pour me finir. Jusqu’à ce jour où….. Ce soir là, nous étions invités à une soirée dansante, avec un couple ami; soirée animée par un orchestre formé de jeunes musiciens antillais.

Nous étions placé non loin du podium sur lequel se tenait l’orchestre. Vers une heure du matin, mon mari fatigué et peu intéressé par la danse, s’éclipsa discrètement, me confiant à nos amis.Au cours des danses suivantes, je restai souvent seule à la table. Ce que voyant, les musiciens du groupe vinrent m’inviter à danser.

L’un d’eux, Michael, s’aperçut de mon trouble et me serra encore plus fort contre lui. Il me proposa de venir à la fin de la soirée prendre un verre chez lui. Je finis par accepter, mue par une soudaine curiosité. A quatre heures du matin, l’orchestre s’arrêta de jouer, je pris congé de nos amis et fis mine de rentrer chez moi. je montai dans ma voiture et suivis Michael qui m’attendais, garé non loin de là.

Il partageait avec un copain, lui aussi musicien, un studio confortable où il me fit pénétrer. Il m’offrit gentiment un verre, puis entrepris de me dévêtir, ne me laissant qu’un string. Il m’ allongea sur son lit et commença à me caresser les seins, le ventre, puis, ayant écarté le string, il introduisit un puis deux et bientôt trois doigts dans ma chatte déjà plus qu’humide. Lorsqu’il me jugea “en condition” il quitta sa chemise, son jean, et son slip, libérant son sexe qui jaillit tel un diable hors de sa boite…

Je n’aurais jamais imaginé qu’une telle queue puisse exister : longue, épaisse, légèrement aplatie, parcourue des veines sinueuses, gorgées de sang, monstrueuse. Michael dût lire sur mon visage la panique qui me saisit, car il me sourit et me caressa la joue gentiment. Puis me prenant par les genoux, il m’écarta les jambes au maximum, les remontant sur mes epaules et, d’une poussée lente mais continue, il fit pénétrer son énorme queue dans ma chatte, m’ouvrant comme jamais je ne l’avais été, repoussant mes lèvres, au risque de me déchirer, m’arrachant un cri de douleur. Bien vite, je sentis son gland buter contre mon utérus et le refouler au fur et a mesure de sa progression. A ma grande surprise, son pubis fut bientôt contre mon pubis, preuve que mon sexe avait totalement absorbé le sien. Il se mit alors à me pistonner, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement et profondément, et bientôt a l’inconfort de la pénétration succéda une chaleur bienfaisante.

Il me besogna longuement, et m’amena jusqu’à un orgasme violent qui me laissa au bord de l’évanouissement.

Lorsque je repris conscience, Michael se retirait; sa queue avait a peine diminuer de volume et mon sexe béant et brûlant dégorgeait sa semence mêlée a ma jouissance. J’allais me rhabiller lorsque le copain de Michael rentra, paraissant avoir un peu bu. Ayant d’un coup d’?il saisi la situation, il se déshabilla rapidement, et sans autre forme de procès, me prit à son tour. Moins favorisé que Michael, il avait cependant une bitte de bonne taille et m’amena rapidement à un nouvel orgasme. Puis sans me laisser le temps de me ressaisir, il me retourna sur le ventre et me sodomisa brutalement J’aime que mon mari me mette sa queue là, mais pas le calibre du copain de Michael !

Il faisait déjà jour lorsque je garai ma voiture devant chez moi. Mon mari, éveillé, se jeta sur moi, et devant mes lèvres tuméfies, me força à lui faire le récit de ma nuit.

Excité, il me sodomisa, me faisant grincer de douleur.

Puis je sombrais dans un sommeil profond et prolongé.

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