Ma vie sexuelle – Première fois
Ma première fois.
J’avais 18 ans. C’était une nuit d’été, l’air était chaud et je trainais sur internet depuis deux bonnes heures. Il devait être environ 23H00. Mon père dormais dans la chambre d’à côté et ma mère étant en vacances chez ma sœur. Mes écouteurs sur les oreilles, je téléchargeais divers vidéos pornos tout en discutant sur le tchat gay de « voilà ». Je parlais avec un homme depuis 45 minutes. Un certain Chris, 38 ans, vivant à une dizaine de kilomètres de chez moi.
Je fantasmais sur le faite de sucer un homme depuis des années. Je crois qu’à l’âge de quatorze ans, ces pensées me hantaient déjà. Je me doigtais en imaginant une queue forer l’entrée de mon petit cul vierge. J’avais aussi tenté divers objets comme des bananes ou bien autre objets longs. Mais une queue bien dure me faisait tellement bander que j’en devenais fou.
Chris me proposait de le rencontrer cette nuit. Il me demanda si j’étais partant pour un plan en nature. Ne voulant pas me faire passer pour quelqu’un d’incompétent, je lui dis que j’avais déjà rencontré des hommes et que j’étais en manque. Chose fausse.
J’acceptai de le rencontrer. Il m’assura qu’il serait à notre point de rendez-vous dans une vingtaine de minutes. J’avais peur, très peur. J’imaginais sa queue face à moi et mon cœur se mit à s’accélérer comme jamais. Pour me chauffer un peu, je regardai quelques vidéos de femmes en train de sucer ou bien de recevoir des éjac’ faciale. Ma bite se mit à grossir immédiatement et je m’habillai en vitesse avant de partir discrètement de la maison. Notre point de rendez-vous était à cinq minutes à pieds de chez moi. Quand j’arrivai, une voiture était déjà là et on me fit des appels de phares. Et mon cœur s’accéléra de nouveau.
Je rentrai dans sa voiture et il me salua. Il vit aussitôt que j’étais stressé.
– Stressé ?
– Oui un peu, répondai-je.
– Faut pas. Tu connais un bon coin tranquille ?
– Oui oui.
Je lui indiquai la route d’un coin perdu dans les bois, à l’abri des regards. Nous arrivâmes 5 minutes plus tard. Je sortai de la voiture et m’appuyai contre le capot de celle-ci. Chris s’avança et se plaça devant moi. Il me dit :
– Ca va aller ?
– Oui oui, je suis un peu timide…
En faite, j’étais stressé comme jamais. Je ne savais pas par où commencer. Je décidai donc d’y aller directement. Je plaquai une main sur son entre-jambe et caressa lentement ses couilles. Je senti ses boules à travers son jean. Il s’approcha de moi et posa ses mains sur mes fesses, puis remonta l’une de ses mains et la glissa dans mon pantalon pour venir caresser directement mon cul. Puis, il me prit par les épaules et appuya dessus pour me faire comprendre que je devais passer à genoux. Ce que je fis.
Je me trouvai face à son entre-jambe. Sa main vint ouvrit sa braguette puis il baissa son pantalon et sa queue sorti devant mes yeux. Elle était encore molle mais déjà bien large. J’approchai mon visage et la saisi dans ma main. Je la branlai doucement puis lécha le gland avant de la mettre entièrement dans ma bouche. Mes lèvres (assez pulpeuses) recouvraient cette queue qui grossissait sur ma langue.
Chris appuya sur ma tête
– Hummmm… tu avais faim toi.
Je ne répondis pas mais sa façon de parler m’excita d’avantage.
Sa queue était bien dure à présent. Elle devait faire 15 cm mais était assez large.
Chris s’allongea sur une serviette au sol et me demanda d’enlever mon pantalon. J’étais maintenant sans pantalon ni caleçon, les fesses à l’air face à un mec deux fois plus âgé que moi. J’étais terriblement excité.
– Viens te mettre ici et suce moi.
Il me demanda de me placer à quatre pattes, les fesses vers son visage et de le sucer en même-temps qu’il caressait mon cul. Je sentais ses mains pincer mes fesses, glisser entre elles et me caresser parfois les couilles.
– Tu as un putain de cul ! Tu dois faire bander un tas de mecs !
Je fais du sport depuis tout jeune et mon cul a toujours été bombé (encore plus maintenant, merci le fitness). Mes fesses sont sans doute la partie que j’aime le plus chez moi.
– Je peux te mettre un doigt ?
Je sortis sa queue de ma bouche et lui répondit :
– Oui bien sûr, je suis là pour ça. Tout en lui souriant, je repris sa queue dans ma bouche.
Ses doigts vinrent se poser sur mon anus et l’un d’entre eux entra dedans. Il l’enfonça directement et le sorti avant de venir l’enfoncer de nouveau. J’avais l’habitude de me doigter mais là, la sensation était divine. J’attendais seulement qu’il en mette un deuxième, chose qu’il fit quelques secondes plus tard.
Alors qu’il enfonça profondément deux doigts dans mon petit cul, son autre main vint se poser sur ma tête et il appuya dessus de sorte à ce que sa queue aille le plus loin possible dans ma bouche. Je sentais ma salive envahir ma bouche, j’allais vomir quand il me lâcha. J’eu à peine le temps de souffler qu’il me poussa sur la serviette et se mit debout. Il sorti une capote de la poche de son jean et l’enfila sur sa queue puis vint me mettre à quatre pattes. Il écarta mes fesses et plaça son gros gland sur mon anus. Je le sentis entrer tout doucement en moi. J’avais un peu mal mais je préférais me taire et attendre que la douleur passe.
Ses mains écartaient mes fesses à fond et il donne un coup de bassin. Je sentis sa queue glisser entièrement dans mon cul. La douleur fut vive et par reflexe, je m’allongeai au sol, espérant faire sortir sa bite en même temps. Mais il s’écroula sur mon dos et me sodomisa brutalement. Je lui dis :
– Stop ! Arrête, ça fait mal là !
Il me répondit :
– T’inquiète pas, ça va passer, détend toi.
Et il donna un coup de bassin bien plus fort qu’auparavant. Sa queue élargissait mon petit cul qui était encore vierge cinq minutes avant ça.
Il plaça une main sur ma bouche et continua les vas et viens en moi. La douleur s’évapora doucement et la plaisir gagna de l’intensité. Je pris sa main sur ma bouche, saisis un de ses doigts et le suça en même temps.
– Hummm petite salope…
Je sortis son doigt de ma bouche et répondis :
– Baise moi. Je suis ta pute, défonce moi comme une chienne.
Et je bombais mon cul pendant que sa grosse queue s’enfonçait de plus fort en moi.
– Je vais bientôt jouir salope !
Il sortit de mon cul et se mit debout, enleva la capote. Je me tenais à genoux devant sa queue et j’ouvris la bouche. Un jet de sperme chaud vint se déposer sur ma langue puis d’autres jets vinrent recouvrir mon visage.
– Tiens petite pute !
Je tirais la langue. Le sperme coulait doucement sur moi. Je pris sa queue dans ma bouche et la nettoya avec mes lèvres. Je n’osais pas avaler. Je recrachais doucement son jus sur mes doigts et l’étala sur mes fesses.
– Tu es une vraie salope… et avec l’un des meilleurs culs que j’ai baisé !
On discuta un peu puis il me ramena. Quand je rentrai chez moi, je sautais sur mon lit et j’enfonçai trois doigts dans mon cul encore dilaté. Je giclai en quelques secondes tout mon sperme sur mon bas ventre… je me sentais plus salope que jamais, et j’adorai ça.