Une surprise aux USA
Je me masturbe depuis le début de mon adolescence et je continue à le faire. Je ne suis jamais retournée dans ce bois. Un an après ces événements j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari et bien sûr je ne lui ai jamais parlé de ça et surtout pas de celui que j’aimais et qui m’a déflorée. Ça lui ferait de la peine. Ce qui m’a tout de suite plu, c’est qu’après nous êtres fréquentés deux semaines, il m’a proposé de venir habiter avec lui et qu’il m’ait dit tout de suite qu’il aimait le sexe et qu’il avait besoin de moi. Je sais bien que ce n’est pas de l’amour mais depuis qu’on est ensemble, chaque jour nous avons fait l’amour d’une façon ou d’une autre, que ce soit dans mon con, ma bouche ou mon derrière, ou entre mes seins ou bien que je le masturbe ou que je le fasse devant lui.
Mon mari avait profité d’un voyage pour sa société pour m’emmener aux Etats-Unis et j’étais seule dans cette petite ville pendant qu’il était dans l’usine quand je suis entrée dans un par cet je m’y suis assise sur un banc. Sur le banc d’en face, de l’autre côté de l’allée, il y avait deux femmes qui discutaient. Deux jolies femmes bien coiffées comme le sont toutes les Américaines et un peu plus âgées que moi. Je ne pensais à rien quand elles m’ont adressé la parole mais vu le niveau de mon anglais, je n’ai pas très bien compris ce qu’elles me demandaient et l’une d’elles s’est levée du banc et elle est venue vers moi. Avec son index, elle a montré son poignet et j’ai compris qu’elle me demandait l’heure et je lui ai montré le cadran de ma montre.
– Ah ! Thank you, m’a fait la femme ! Are you dumb, a ajouté la femme ?
J’ai écarté le mains en signe d’impuissance et la femme s’est étonnée en anglais que je ne parle pas sa langue puis elle m’a dit quelques mots en français et elle a appelé son amie Carole et la femme est venue nous rejoindre. Je me suis levée du banc. Carole m’a parlé en français et je lui ai parlé de moi, de mon mari et de mon voyage puis elle m’a expliqué qu’elles s’étaient connues à Cannes et qu’elle était venue vivre avec son amie aux Etats-Unis. Je les ai regardées et j’hésitais à comprendre ce qu’elle voulait me dire.
– We are lesbian people, a fait l’amie de Carole !
– Oui, nous sommes lesbiennes, nous nous aimons et nous vivons ensemble, a confirmé Carole.
Je les ai invitées à s’asseoir sur le banc et quand je leur ai demandé si ce n’était pas difficile à vivre, Carole m’a répondu qu’on les traitait parfois de salopes mais que ça n’avait pas d’importance Puis son amie a dit quelques mots que je n’ai pas compris à l’oreille de Carole.
– Qu’est-ce qu’elle a dit, lui ai-je demandé ?
– Elle veut que je te demande si tu veux t’amuser !
– M’amuser ?
J’étais loin de penser ce qu’elle allait m’annoncer par la suite.
– Tu lui plais et elle aimerait bien… Tu ne comprends pas, a insisté Carole ?
Je lui ai montré mon alliance et je lui ai demandé si elle n’était pas jalouse mais elle m’a répondu que ce n’était pas comme avec un homme, qu’elle ne l’était pas et qu’elle aussi, parfois, rencontrait des femmes qui lui plaisaient.
– On va souvent à des petites fêtes, a continué Carole ! Il y a toujours des maris qui amènent leur femme qui veulent s’amuser ! Elles y ont bien droit !
Je les ai suivies chez elles. J’avais trois heures avant de retrouver mon mari et je ne savais pas pourquoi j’avais envie de faire l’amour avec elles et j’ai bien vu qu’elles n’était pas jalouses parce qu’elles me poussaient tout à tour dans les bras de leur amie. Elles avaient sorti tout leur attirail et j’ai goûté à presque tous leurs instruments parce que pendant que Carole me baisait son amie m’enculait et vice et versa et j’ai pu aussi leur faire l’amour tour à tour.
Il ne restait plus beaucoup de temps avant que mon mari ne sorte de l’usine et j’ai juste eu le temps de me rhabiller pour ne pas manquer notre rendez-vous.