Dans les ténèbres : viole-moi!

Dans les ténèbres : viole-moi!

L. m’invite chez elle, un soir de printemps. L. a 22 ans, nous sommes amants depuis 1 an, elle n’a pas beaucoup d’expérience mais elle est curieuse et volontaire : aussi j’ai pour habitude d’avoir une approche de la sexualité plutôt « douce » avec elle, lui faisant découvrir cette inépuisable activité petit à petit, sans brusquerie.

Comme souvent, nous prenons une douche ensemble à mon arrivé ; c’est souvent pour nous l’occasion d’échanger de premières caresses, d’attarder les baisers.
C’est bien évidemment ce qui se passe : chacun savonne l’autre, nos langues découvrent nos bouches et les mains s’attardent à proximité de certaines zones mais sans jamais les toucher tout à fait.

Pourtant ce soir là je me sens plus gourmand, plus sauvage : mes mains enserrent sa taille, lui pétrissent les seins, les fesses ; mais elles serrent aussi son cou, maintiennent sa tête, mes doigts creusant ses joues, ma langue est plus insistante et nos baisers mouillés par la salive que nous n’avalons plus.

Malgré cette tenace et terrible envie d’en faire mon jouet, là, tout de suite, et de l’avilir totalement, je modère ma part sombre et, sorti de la douche, je la fais s’asseoir sur ses toilettes, ayant plutôt dans l’idée de l’échauffer un peu plus.

Avantage des petites salles de bain, je lève et cale sa jambe droite sur un lavabo et sa gauche contre la cabine de douche : L. est devant moi, les paupières à demi fermées, jambe levées, repliées et écartées ; son sexe, ses seins et sa bouche me sont accessibles.

Mais surtout l’intérieur de ses cuisses, son pubis et ses grandes lèvres : ce sont eux mes cibles.
Prenant mon temps, j’y passe ma langue, y fais affleurer mes doigts, mais sans jamais toucher son sexe et surtout pas son clitoris. Elle gémit, se crispe, se cambre, mais non, je n’y toucherai pas !
Les caresses de ma langue et de mes doigts s’enflamment, maintenant je la croque de mes lèvres et passe mes dents sur sa peau. Je griffe, très doucement, l’intérieur de ses cuisses, en partant des genoux vers le sexe : plus j’approche de ses lèvres, plus je ralentis, lui laissant croire qu’enfin, elle va jouir.
Sa tête est renversée, contre le mur. Sa bouche est ouverte ; tel un instrument, je module ses gémissements par mes attouchements, raffermissant la prise de mes doigts par ici, passant ma langue par là.
L’intérieur de ses cuisses est rouge, marqués par le passage de mes ongles – pourtant loin d’avoir été très mordant – je décide de l’effleurer à nouveau, appréciant moi-même l’effet d’une caresse après le feu d’un mauvais traitement.
A chaque caresse, je m’approche de plus en plus de sa vulve, je l’entoure, comprime ses grandes lèvres, ses gémissements vont de plus belle : enfin, je pose ma langue sur son sexe, trempé, à l’odeur enivrante et le fouille entièrement.

Après quelques minutes de ce jeu là, j’insère dans son vagin le bout de mon index et la masse vers le haut ; de mon autre main je saisi la peau de son pubis, fermement et avec ma langue je joue avec ses petites lèvres ; elle se cambre de plus en plus, ma langue insiste et passe sur son clitoris ; ses gémissement se transforment en cris : chose rare, je sens un léger liquide s’écouler, elle jouit.

Elle est rouge du front à la poitrine, sa tête est posée sur le coté, les yeux fermés elle reprends son souffle.
Délicatement, je saisi sa tête, lui ouvre la bouche et y enfonce ma langue, partageant avec elle ses fluides et leurs délicieux parfum.

Je la redresse, la met debout tant bien que mal, l’embrasse encore, presse mon sexe gonflé contre son ventre, elle s’abandonne complètement contre moi, comme dans un état second.
Et elle me dit dans souffle : « viole-moi ».

Surpris – et surtout intéressé – je lui redresse la tête et approche son visage du mien, nos bouches se touchant presque : « tu es sûre ? »

D’un mouvement de tête, paupières closes et lèvres entrouvertes, elle acquiesce.

J’ai libéré un de mes verrous, supprimé une partie de ma modération (oui, je vous rassure, il y a plusieurs niveaux !) et j’en ai fait mon jouet pour la soirée, ma poupée sombre pour le dîner.

J’ai usé sa langue, abusé de sa bouche ; ses fesses, marquées par mes mains, étaient brulantes.
Son visage, trempé et carmin, portait les stigmates de son avilissement : je l’ai étouffée avec mon sexe, entre mes fesses et je l’ai même claquée pour lui donner plus d’entrain.

J’ai joui sur ses seins meurtris et sur ses tétons qui demandaient grâce d’avoir été tant pincés, tant retournés.

Après avoir récupérés notre souffle, nous nous sommes enlacés, empreint tout deux d’un apaisement spirituel et physique total.

D’une main, doucement, j’ai continué à la caresser.

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