Allure mannequin

Allure mannequin
La villa est grande, avec piscine, style néo-rustique, poutres apparentes, sols à l’ancienne. Voilà plusieurs mois que je m’y rends 2 à 3 fois par semaine pour m’occuper d’une dame âgée invalide que sa fille a recueillie. Elle est quasi confinée dans sa chambre, mais en famille. Le couple et deux jeunes enfants à les moyens. Je déteste le mari, au demeurant fort sympathique, mais il a une façon de dire, lorsqu’il arrive du travail et que je suis là :” chérie je suis en forme, s’il n’y avait pas ce con, je te calçerais bien sur le canapé. J’aime pas, j’aime pas !
Bon, ce jour là par une belle après midi d’été, j’arrive, chemisette au vent, je sonne, entre sans attendre, me dirige vers la chambre, quant une voix ” c’est toi, Alex ? Oui ! Laisse tomber, elle est pas en forme, elle dort. Ok, où es tu ? Sur la petite terrasse du premier, je bronze…
Je monte, elle est à plat ventre, nue sur une natte. La femme est longiligne, façon mannequin, moins grande, moins maigre aussi mais longiligne svelte. La peau est matte, ambrée de façon naturelle. Je dois avouer que le spectacle est séduisant. J’ai oublié de dire que son visage est moche. Elle le sait et supplée à sa laideur par un esprit pétillant, un peu provocateur. Assez cultivée, elle ajoute à cela cette anatomie faite de fluidité, au point qu’on en oublie on visage.
– ah, tu es là ?
– oui, je profite du paysage.
– tu ferais mieux de ma masser le dos, j’ai mal là. Elle me montre un point quelque part, je m’en tamponne complet car j’ ai mon idée pour les soins. Une super idée.
– pas facile de te masser par terre.
– arrange je toi, je suis à poil, pas question que je me lève !
Je m’accroupis, passe une main dans son dos, trouve un point douloureux.
– oui c’est là.
Sur ce, je me déplace, att**** un pied, le masse, le triture. Puis le mollet, puis la cuisse, la fesse. Idem de l’autre côté. Puis le dos, épaules nuque, puis d’une main, le bas du dos, de l’autre, l’intérieur d’une cuisse, le tout en passés savantes alternant fermeté et douceur. Ça marche à tous les coups. Et, ça marche, elle écarte les jambes, donc les cuisses dégageant le lieu de tous les désirs.

Je sens que la voilà demandeuse. Encore quelques papouilles bien faites et bien placée, la longue fille chavire.
– mets toi à 4 pattes, les fesses sur les talons, mains à plat, bras étendus en avant.
– bien, maintenant je te guide, étires toi bien, remonte les fesses pour être à 4 pattes… Continue…
Pendant ce temps, mes deux mains sur ses hanches, j’en profite pour caresser ses fesses, le bas du dos, m’égarer sous les fesses, l’entre cuisse, effleurer son sexe. Ce me semble, que ses petites lèvres sont bien grandes, qu’elles débordent vachement, car chaque fois que je frôle son sexe je sens du doux, du mouillé.
– je croyais que tu allais me faire le coup de la levrette, mais c’est pas mal ta gym !
Je te l’ai déjà dit, elle aime la provoc. Je ne réponds pas, continue mon cirque et lui rentre le pouce dans la chatte. J’aime bien le pouce, c’est plus gros et c’est plus facile pour appuyer énergiquement sur le point G. Elle en plie les deux bras et se retrouve en appui sur les coudes. J’aime la position, je la trouve esthétique. Donc, me glisse à l’arrière, froc dégrafé, j’écarte, je pousse, j’entre à fond et je bloque, mains solidement ancrées sur les hanches, je tiens la position.
– tu as dit levrette ?
– salop, je déécoo..nais…
– moi aussi, tu vois bien, c’est de l’humour, je vais et je viens entre tes reins….je le fais tout en chantant, m’arrête au bout du couplet, mais rentré à fond.
– y a longtemps que l’autre connard il t’a culbuté sur le canapé, et je lui pelote un sein, trouve le bout bien long tire un peu dessus,
– je t’interdit de dire du mal de mon mari.
Je lime doucement.
– t’as pas répondu…
– pas mal de temps. Il fait toujours le mariole, mais depuis mon dernier gamin il a moins d’envies.
Moi je vais et je viens, doucement, juste pour rester à l’abri.
– il ( je pousse fort ) te (je sors) trompe ( à fond) ?
– je m’en fous, mais je crois ! Moi je lime peinard.
– ma (je tire) pauvrette ( à fond, elle tape son crâne contre la murette qui limite la terrasse)
– c’est pas ma tronche que tu dois exploser !
– as (tire) tu (pousse) un (tire) amant ( p à f) ?
– oui…non… Parfois…le voisin…dentiste
Toi qui me lis, t’a compris qu’ à chaque mot je fais tire-pousse. Ça commence à la rendre folle. Essaie avec ta copine ou ta femme, tu vas voir, c’est génial. Si elle te demande où tu as appris ça, fais la promo de mon bouquin.
Le problème c’est qu’à force de déconner, le bestiau qui sommeille en nous, n’a pas le sens de l’humour et là il chauffe au rouge. Moi l’outil comme un ballon de rugby, elle l’intérieur dégoulinant. Et puis j’ai crapahuté sur la face nord seulement. Et alors, travail à moitié fait ?
Je démanche, la retourne à la surprise, me retrouve à genoux entre ses deux superbes jambes, me jette goulûment sur cette moule ouverte, brillante. J’ai une légère hésitation, en voyant son clito. Jamais vu ça, il est là debout et me regarde. Oui, me toise de sa hauteur prétentieuse. Un machin, diamètre de mon petit doigt, hauteur comme deux phalanges dudit doigt, couleur vineuse, aspect luisant. Arrêté dans mon élan gourmand je le titille du bout de l’index, il est raide, droit dans ses bottes le gaillard
– j’ai de longues extrémités qu’elle dit en tirant sur ses bouts de sein. Nouveau ça aussi, deux centimètres de chair couleur chocolat surmontant des seins en entonnoirs inversés tellement elle tire dessus. Je cache ma surprise en me jetant sur la moule que je n’ai pas encore goutée. Couleur lie de vin sur fond marron clair. Succulente, généreuse, mûre à point, juteuse, un régal, et l’autre, le grand, il est joueur aussi. Je le suce, le branlotte entre deux doigts. Un festival gastronomique. La grande me pousse la tête, me coince dans un lèvre à lèvres, me bloque contre son sexe, à m’étouffer. Je lape,suce, avale et elle gémit, gémit, gémit et jouit, me relâche. Libéré de la tronche je me lance dans un coïtus pépère, à la missionnaire. J’en profite pour gober, avaler ses bouts de sein. Ça dure pas, elle envoie des petits coups de bassin, vifs, réguliers, accélère et tous deux ensemble…
Juste avant que je remonte mon pantalon, elle embouche mon affaire, rapide…
– il vaut mieux que tu sois présentable pour ta prochaine rencontre ! Ciao !

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