Dérapages. 06

Anal

L’histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d’être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n’aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d’aller au restaurant, commander un gratin d’aubergine, alors que vous détestez l’aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C’est moi, j’ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l’occasion d’une dispute, j’ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu’elle ne porte plainte, j’ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C’est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l’ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C’est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu’elle produit avec ses fonds propre. Je l’aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l’amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C’est ma fille. C’est une magnifique brune. Actuellement elle est en vacances chez sa mère pour trois semaines. Sa mère vit au Brésil avec son nouvel époux.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C’est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu’il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

Hervé : Trente ans, l’adjoint de Carla. Elle lui fait la vie dur au travail. Pour lui comme pour tout ses employés.

Inès : Vingt-sept ans. Jeune avocate qui travaille pour Radiu. Aussi bien dans le droit que dans la prostitution. C’est une belle brune, très bien foutue, malgré ses petits seins.

Quand on arrive à son ancienne société, même si tout n’est pas officiel, vu qu’Inès va devoir faire tout enregistrer, Clara me regarde étonnée.

– On va faire quoi?

– Présenter ta putain de fille à tes collaborateurs et officialiser mon nouveau statut de patron. Je te rassure, tu es douée, tu choisiras toujours les films à produire. Mais ce sera tout ce que tu feras encore. Afin de ce que tu faisais avant.

– Bien.

On se gare au parking, à la place réservé à Clara. Les deux sont habillée en petites robes d’été ras-la-moule. Elles portent juste un string blanc comme dessous. On prends les escaliers pour monter à la réception. Quand elles voient Clara vêtu comme cela, les deux réceptionnistes sont étonnée de sa tenue. Elle se lève néanmoins d’un bon.

– Bonjour madame Clara.

– Bonjour.

De nouveau, les deux filles sont étonnées. D’habitude, Clara lance un bonjour franc, y rajoutant à chaque fois un pic. Là, elle a peine murmuré son bonjour, baissant la tête. La présence de Manon les intriguent aussi, elles se demandent qui est cette jeune fille. Elle espèrent que ce n’est pas la remplaçante de l’une d’entre elles.

On montent à l’étage de la direction. On va directement dans le bureau de Hervé. Ce dernier sourit en nous voyant entrer. Je m’assois dans un des deux fauteuils en face de lui. Clara et Manon reste debout, immobile, les bras le long du corps, baissant la tête, attendant mon bon-vouloir.

– Léo, content de te voir.

– Moi aussi, remit de notre soirée d’hier soir?

– Oui, un vrai régal. Alors, en pourquoi vouliez-vous me voir cet après-midi?

– Vous avez un nouveau patron.

Hervé est surpris de mon annonce. Il regarde interrogatif Clara, mais cette dernière, tête baissée, ne regarde que le sol.

– Elle a vendu?

– Pas vraiment, je dirais plutôt donner.

– Sérieux? Une entreprise qui vaut des millions? A qui?

– Moi. Je suis le nouveau patron. Je suis propriétaire de tout ce qui appartenait à Clara. Ainsi que de ces deux belles femelles.

Hervé me regarde, sachant pertinemment que ce n’est pas possible. Mon clin d’œil le met dans la confidence. Il joue le jeu, bien qu’il s’étonne que Clara ai put croire à cela.

– Je vois. Donc tu es notre nouveau boss.

– Oui, il va y avoir du changement.

– Lesquels?

En son for intérieur, Hervé espère que ce sera en mieux.Il attend mon annonce.

– D’abord, on va s’installer à Paris.

– Paris? C’est chaud, tous ne pourront pas suivre. On a nos amis, nos vies ici.

– Je sais. Ceux qui viendront verront leurs salaires doubler. Appartement de fonction de cinquante mètre carré pour un célibataire, vingt mètre carré par habitant de plus. C’est à dire que un couple avec deux enfants aura cent-dix mètres carré. dix semaines de vacances et création d’un comité d’entreprise doté de quatre-cent-mille euros par an. Déménagement pris en charge, mutuelle et crèche d’entreprise gratuite. Sans oublier le treizième Escort Beylikdüzü et quatorzième mois lors des vacances d’été.

– Waouh, c’est une offre de fou. Pour ceux qui refuserait quand même? C’est quoi? Le chômage?

– Non, pas de suppression de poste. Je compte même embaucher. Je dirais cent personne de plus. Je maintiens le même nombre de personnel ici. Mais je veux que les gens qui travaillent pour la société depuis le plus longtemps aient les meilleurs postes et les meilleurs salaires. Hors, ceux-ci se trouveront à Paris.

– Je vois, avec quels avantages?

– Pour ceux qui resteront, ce sera une augmentation de salaire de cinquante pour-cent, hors promotion. Crèche d’entreprise et mutuelle gratuite. Treizième et quatorzième mois.

– D’accord qui prendra la direction alors de la succursale ici?

– Vous, ou celui que vous choisirez adéquat pour le poste. Même avantage que pour Paris. Salaire de cent mille euros par an. Vous aurez le poste d’adjoint à Paris, même salaire que si vous restez ici. Seule la prime spéciale n’aura pas lieu.

– La prime spéciale?

– Carla ou Manon,en alternance, mais à volonté la journée.

– Parfait, cela va faire des frais de ressources humaines nettement supérieur.

– Oui, un film de plus à disons dix millions de bénéfices paiera largement tout cela. Avec l’embauche de nouveau personnel, on devrais multiplier les bénéfices par quatre. Dix pour cent des bénéfices net de l’entreprise seront partagé entre chaque employés, à égalité quelque soit le poste. Dix pour cent de plus, seront partagés suivant le poste, dans un barème qui reste à définir par la compta. Alors vous en pensez quoi?

– Que vous êtes le meilleur patron du monde.

– Merci, je veux votre réponse et ceux des employés actuel dans une semaine. Renseignez-vous aussi sur ceux qui aimeraient se venger de Carla, ils auront la chance de pouvoir le faire sur Paris. A volonté, ce sera une prime supplémentaire.

– Belle prime. De quelle façon, la vengeance?

– La même que vous hier soir.

– Je pense qu’il y en aura beaucoup.

– Parfait, vous voulez lui mettre un petit coup avant que l’on partent?

– Bien entendu, j’ai rêvé de son cul si serré mais si accueillant toute la nuit. Il me tarde également qu’elle soit enceinte pour la baiser à nu!

– J’espère que cela ne tardera pas. Carla, à poils!

Ma compagne me regarde, les yeux embués de larmes. Elle enlève sa robe, son string. Je descend mon pantalon, mon caleçon.

– Penche-toi en avant, tu vas me sucer, tends bien ton cul que Hervé puisse t’enculer.

Carla se penche en avant, elle croche ses mains à mes cuisses pour son équilibre. Elle avale mon pieu, en entier, son nez contre mon ventre. Déjà Hervé est derrière elle, les mains crochés aux hanches de mon esclave. Il l’encule d’un seul coup, malgré la contraction de son anus. Carla meugle mais continue à me sucer. On la viole longuement. Une fois que l’on a jouis en elle, on change les rôles.

Une fois fini, je fais remettre sa robe à Carla. Elle ramasse aussi son string.

– Donne-le à Hervé, en souvenir.

– Quoi?

– Tu as compris. Manon, lèche le sperme sur le sol, il faut que tout soit propre quand vous partez.

Manon se met à genoux et sort sa langue pour nettoyer le sol. Carla tend son petit dessous à Hervé qui le prend avec plaisir. Ma chienne me regarde, je sens qu’elle hésite à me demander un truc.

– Vas-y salope, dis-moi ce que tu veux me demander.

– Je… J’ai du sperme sur les jambes.

– Et alors? Je m’en fou. Allez Manon, relève-toi, on y va.

– Mais Léo, on va voir.

– Je sais, je m’en moque, allez en route.

Carla ne discute pas plus, je pose la main sur la poignée de la porte.

– Au fait Hervé, tu peux venir quand tu veux pour baiser l’une ou l’autre. Sauf le soir du lundi au jeudi. Ces deux chiennes vont bosser ces soirs là.

Hervé me sourit, voyant très bien le boulot qu’elles vont faire.

On redescend par les escaliers, traversant à chaque fois les bureaux pour dire bonjour. Carla est humiliée. Tous la regarde, tous murmure. Il faut dire que déjà qu’ils ne sont pas habitués à la voir habillée comme ça, le sperme frais sur ses jambes n’est pas une chose commune à voir. En passant devant l’accueil, Carla fait réagir les deux filles. Elles la regardent avec des yeux ronds. Humiliée, au bord des larmes, ma compagne se dépêche de se rendre au parking. Manon la suit, moi ensuite. J’entends le début de la conversation des deux jeune réceptionnistes.

– Merde, c’est quoi qu’elle a la patronne sur les jambes?

– On dirait du sperme.

– Putain, c’est ce que je pense. Elle peut se comporter comme un monstre pour se pavaner avec autant de semence sur elle ensuite.

Je referme la porte du garage, le sourire aux lèvres.

Je ne sais pas combien de pilules j’ai pris, mais je peux vous dire que jusque au lundi soir qu’elle s’en aille, Carla à pris des litres de mon sperme dans la chatte. Bien entendu je n’ai pas oublié les gélules pour la fertilité Beylikdüzü Escort Bayan de ma belle. Hervé est venu le vendredi soir pour ne repartir que le lundi matin, il c’est exclusivement occupé de Manon. Je lui ai fais connaître les vertus des pilules offerte par Radiu. Le lundi soir est vite arrivé. Manon et Clara sont habillée en pute, maquillée à outrance. Je suis ravi quand j’ouvre la porte. Radiu est là, en compagnie d’une magnifique asiatique répondant au nom de Lin. Je l’ai gardée les quatre jours tant ses orifices m’ont plut.

Mes deux putains, elles ont bien morflé. Soixante-dix passes chacune dans la nuit de lundi à mardi, leur première en tant que prostituée de bar. Le lendemain ce fut pire. L’abattage à été horrible pour elle, traumatisant. Les clients passent par six. Un dans la bouche, un dans chaque main. Deux soit dans le cul, soit dans la chatte, le dernier dans l’autre orifice libre. A cinq euros la passe, il faut rentabiliser la putain. Cinq minutes maximum par passe. Soixante clients par heure, sept-cent-vingt pendant leurs douze heures de travaille. Un chiffre monstrueux. Je peux vous dire que la mère et la fille sont vraiment choquée, traumatisée. Moi je m’éclate avec Lin.

Le matin, après leurs première soirée à l’abattage, Radiu en les ramenant, m’offre six DVD, je le regarde surpris.

– C’est le film des deux première nuits de tes salopes en tant que putains, dans la version intégrale!

Je le remercie, j’ai hâte de les voir, mais je le ferais quand Manon et Clara se seront reposées. Je les laissent dormir quatre heures. Je les aient aussi laissées se doucher. La mère et la fille sont ensuite redescendu dans le salon, où je les attends. Comme elles le doivent maintenant, elles sont complètement nue. Je les regardent, alors qu’elles se trouvent debout devant moi. C’est vrai que leurs corps est marqué. Elles pleurent sans s’arrêter, ne se remettant pas de leurs terrible nuit.

Par contre la journée, c’est Carla et Manon qui morfle. Le week-end suivant, Hervé est venu chez nous, là encore, les orifices de mes deux putains ont bien servit. Le lundi soir suivant, Radiu est venu avec une autre putain que j’ai déjà baisée Inès. C’est moi qui la lui est demandé, juste pour une nuit. J’ai envie de connaître un peu le bestiaire des chiennes de Radiu. Cette putain d’avocate à bien fait son taf, tout est enregistré, les biens de Carla sont officiellement à moi. Je récompense donc Inès avec ma queue, pas certain à entendre ses cris, que pour elle, la jeune femme prenne cela pour une récompense. J’ai tellement aimé l’état de Manon et Carla, que j’ai offert mes deux putains tout les soirs à Radiu, à la condition qu’elles n’aillent qu’à l’abattage. Le lendemain c’est avec Siobanne que Radiu viendra. La jeune femme est superbe, elle vient d’arrêter sa carrière dans le X. J’ai baisé Inès et Siobanne tout les soirs, ensemble. Ce petit cirque à duré trois mois. Jusque à notre départ pour Paris. Cela fait trois mois que Carla et Manon sont enceinte. Pour Jess, ma femme est enceinte de moi, et Manon de son copain qui l’a quitté. Officiellement elle n’a aucune nouvelle de lui. L’histoire passe comme une lettre à la poste. A aucun moment Jess ne se doute de ce qu’il se passe.

Finalement le déménagement à Paris se passe bien. Carla et Manon sont devenu de vrais esclaves, Inès qui m’appartient dorénavant en est au même stade. Il y a juste Siobanne que j’ai quitté avec beaucoup de regret, mais Jonas et Radiu veulent absolument la garder. Hervé à bien profiter du corps de mes ma femme et de ma belle-fille lui aussi. Les violant non-stop dès qu’elles étaient chez moi. Le visionnage de leurs exploits à l’abattage on achevés de briser complètement Carla et Manon. Contre toute attente, Paul s’installe avec moi, chez moi. On se partage les trois meufs, je dors avec deux d’entre-elles, Paul avec une. On les tirent au sort chaque soir. Jess et Anne viennent souvent nous voir. Bien entendu, mes trois putains ne laissent rien paraître devant elles. Moi je savoure. Inès ne tarde d’ailleurs pas à tomber enceinte elle aussi.

Puis trois semaines après notre installation, Jess demande à me voir seul. On décide de se voir un midi et de déjeuner ensemble. Je pense qu’elle va me parler du bébé à venir. J’imagine qu’à son page, avoir une petite sœur ou un petit frère la travaille. Il n’en est rien. Ce qu’elle m’annonce me fait vraiment plaisir. Je suis déjà attablé quand ma fille arrive. Jess est magnifique dans sa petite robe d’été. On se fait la bise.

– Bonjour papa.

– Bonjour Jess.

On prends des nouvelles l’un de l’autre, on discute un peu de tout et de rien. Puis on passe la commande. Une fois le plat servit, on passe au sujet de notre rendez-vous.

– Alors ma fille, tu veux me voir pour quoi?

– Je vais partir trois mois aux USA, pour un stage.

– C’est super ça. C’est rare qu’un patron parte là-bas en stage.

– Disons que c’est une formation obligatoire pour pouvoir diriger une entreprise.

– Super ça. Tu aurais pus m’annoncer ça à la maison, pourquoi tant Beylikdüzü Escort de mystère.

– Non, ce n’est pas pour ça que je voulais te voir. C’est pour Anne. Elle fait sa bravache, mais elle est terrorisée à l’idée de rester seule à la maison. Avec ses parents, les relations sont tendues, donc elle n’ira pas chez eux. Et timide comme elle est, jamais Anne ne te demandera de l’héberger tant que je ne suis pas là. Surtout que la formation se déroule dans une zone blanche, afin que l’on soit concentré sur nos études.

– Une zone blanche!? C’est bizarre pour un stage comme celui-ci.

– Non, il y a plusieurs boîte qui la propose, mais la meilleure à choisit ce système pour que l’on soit concentré à fond sur notre stage. On aura le droit d’appeler notre famille que au bout de un mois. Et encore par téléphone terrestre.

– Je comprends, donc quand tu nous annonceras cela, tu voudrais que je fasse comme si l’idée vient de moi?

– Oui, tu comprends tout rapidement, tu es le meilleur papa. Mais si tu ne veux pas, je comprends, il y a déjà Manon, Paul et Inès chez toi. En plus de Carla, je comprends que cela fait déjà beaucoup.

– Non, aucun soucis ma fille. Je serais persuasif, Anne vivra à la maison pendant ton stage.

– C’est super, j’appuierais ton idée. Merci, merci beaucoup papa, je partirais plus rassurée.

– C’est pour quand?

– Dans dix jours.

On à finis le repas. Moi, je bande déjà, il me tarde vraiment d’être dans dix jours.

Convaincre Anne de venir chez nous pendant le stage de Jess ne fut finalement pas difficile. La terreur que ressent la jeune fille quand elle est seule, est largement suffisant pour vaincre sa timidité habituelle. Le départ de Jess est un déchirement pour Anne. Mais le fait d’être avec nous atténue son chagrin. La pauvresse, si elle savait ce qui l’attend. Le soir du départ de ma fille est le dernier jour de l’ancienne vie de ma belle-fille. Elle rejoindra Carla, Manon et Inès dans leur enfer. J’ai eus dix jours pour fantasmer sur le viol de la magnifique rousse. J’espère qu’étant lesbienne, la belle est encore vierge. Mais ça je ne le saurais que le lendemain matin. Une fois que ma fille l’aura appeler avant de partir pour sa zone blanche.

Jess appelle le lendemain vers dix heures. Anne est encore en tenue de nuit, tee-shirt et short. On est tous dans le salon. Paul, les trois putes, Anne et moi. Jess appelle sur le fixe de la maison. On lui parle tous à tour de rôle. J’ai décidé de ne pas attendre. On passera à l’action dès que Anne, qui aura parlée à ma fille en premier et en dernier, raccrochera. Je dois être un visionnaire, tout ce passe comme prévu. A peine Anne a-t-elle posée le téléphone, que Carla, Inès et Manon l’entoure. Anne les regarde, se demandant ce qui va se passer. J’ai menacé mes putains de la pire des punitions si elle devaient montrer la moindre hésitation. La terreur que je leur inspire marche parfaitement, elles feront même du zèle. Dès que Anne raccroche le téléphone, elle se retourne, pour voir les trois autres femelles qui l’entourent. Comme elle en a pris l’habitude, c’est Inès qui guide les deux autres. Anne ne comprends rien quand elle prends la paire de gifle suivit d’un coup de poing dans le ventre. Paul et moi regardons le spectacle. Manon et Carla arc-boute Anne sur la table, l’empêchant de bouger. Le cul de la rousse est tendu, ses pieds touchent à peine terre, tandis que son torse est couché sur la table. Inès arrache le tee-shirt de Anne, je regrette de ne pas pouvoir voir sa paire de seins que je pense magnifique. Le short ne tarde pas à faire de même. Le cul un peu large de Anne est magnifique. Plus gros que ceux de ma belle-fille Manon ou de ma compagne, il est tout aussi bandant, voir plus. Bien rond, les fesses serrent incroyablement la raie, je ne vois pas son anus. Tandis que son petit vagin tout rose me paraît lui aussi bien serré. C’est moi qui vais faire d’elle une femme. Elle m’appartient, Paul est juste un invité à cette petite fête, il passera en deuxième, à chaque fois. Je me déshabille en silence, tandis que Inès passe un bâillon boule à Anne, je n’ai pas envie de l’entendre supplier, je veux la violer et en faire ma putain, la jeune femme n’a rien à dire. J’aperçois les poils roux sur son sexe, c’est une vrai rousse.

Je me déshabille rapidement. La chatte de Anne m’appelle. Je bande dur, je m’approche de mon objectif, quand je pose mes mains sur les hanches de la pute, Inès est obligée de venir prêter main forte au deux autres tant Anne se débat. L’avocate grimpe carrément sur la table et s’assoit sur le dos de ma futur victime. Les trois filles ont l’air d’éprouver du plaisir à faire partager leurs enfers à d’autres. Tant mieux, il va falloir que je note cela et que j’érige un classement entre elle. Un classement évolutif. L’une d’elle pourra être ainsi la reine de mon harem une semaine, et la dernière des dernière une autre. Mais je reviens vite à Anne, ma bite en salive d’envie. Je colle mon pieu contre sa vulve. Elle hurle dans son bâillon, mais ne peut rien faire d’autres. Je ne vois pas son splendide visage couvert par ses larmes, déformé par sa peur. Je fais avancer mon gland doucement en elle, je veux prendre mon temps pour prendre possession des lieux. Mais rapidement je rencontre un obstacle. C’est incroyable, cette chienne est vierge.

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