Expiation

Anal

Je pensais que le décès tragique de ma femme allait nous rapprocher avec ma fille. Elle avait 15 ans à l’époque, sa relation avec sa mére était très fusionnelle. Avec moi c’était plutôt utilitaire sans grand affect. Si c’était possible, Julie s’était pourtant encore éloignée de moi ces deux dernières années, développant une agressivité comme si j’étais responsable de la mort de sa mère. Responsable en tant que mari mais aussi en tant que male puisqu’elle avait été tuée par un déséquilibré sexuel. Je ne pouvais rien faire que lui apporter tout le confort et le service que j’avais toujours apporté au foyer. Seul son bonheur comptait.

La relation que j’avais avec sa mère m’avait toujours mis de côté dans la sphère familiale. Nous nous étions rencontrés et aimés sur ce contrat d’être totalement et en permanence à son service, sans aucun droit et tous les devoirs, soumis à ses désirs et envies. Nous avions l’âge de ma fille actuellement et avions vécu 20 années d’une densité incroyable, de fusion et d’abandon de ma part.

Et surtout une profonde dévotion, tellement je l’admirais et ne vivais que pour elle. Elle méprisait les hommes et avait passé ce dégoût à sa fille qui n’avait aucune considération pour moi, imitant ainsi la façon dont sa maman me traitait, sans comprendre l’intensité et la folie de notre lien. Sans connaitre les tenants et aboutissants de notre relation, elle m’avait toujours considéré comme un domestique. J’avais donc repris l’habitude qui était la mienne qui était de ne parler que lorsqu’elle m’adressait la parole et d’être à disposition. Je l’aimais bien sur intensément, mais rien à voir avec la passion qui s’était éteinte il y a deux ans maintenant.

Sa disparition m’avait laissé désemparé et perdu. Seule Julie me forçait à continuer sans trop me poser de questions. Je n’avais jamais eu le courage de couper la ceinture de chasteté que je portais le jour de sa disparition, ne voulant pas enlever ce lien, que je portais depuis le premier jour de notre rencontre. Nous n’avions jamais fait l’amour et je n’avais même jamais jouis réellement depuis que nous avions fait notre rencontre explosive et certains de nous être trouvés. Julie était née d’une insémination artificielle après un milking que j’avais subi. Sa mère était d’une exigence et d’une rigueur extrême : jamais c’était jamais. Les règles n’avaient jamais d’exception.

Aujourd’hui après deux ans sans aucun contact physique avec ma femme, aucune sodomie reçue, aucun cunnilingus, aucune gifle ni caresse, j’étais dans un état de manque terrible. En manque de tout, d’une caresse comme d’une claque ou même un coup de pied. Mais aller voir une autre femme me semblait une trahison, et ma frustration était une punition bien méritée. Le moindre que je pouvais faire pour son souvenir et pour Julie. Elle m’aurait vraiment arraché les yeux si j’avais fait cela c’est certain.

Julie s’était très fortement rapprochée d’une fille sombre et toute aussi agressive, Léa. Elles étaient devenues inséparables. Léa ne me considérait pas mieux que ma fille, ne me disant pas même bonjour quand je lui ouvrais la porte. Je comprenais que je devais leur laisser le salon et je montais m’isoler dans ma chambre. Elle restait également dormir souvent à la maison avec Julie. Je leur faisais à manger sans même songer à partager le repas avec elles, mon exclusion était une évidence. J’étais un parfait domestique. Au fond j’étais à ma place, et cela m’allait.

Un soir, j’étais dans le couloir et je vis Léa sortir de la chambre en nuisette transparente. L’effet fut saisissant pour moi en total manque. Sa poitrine était magnifique et très imposante, je ne l’avais jamais remarquée. Je ne dis rien, je la regardais subjugué. Mon sexe aurait bien voulu bander, cela faisait longtemps que je n’avais senti la douleur fulgurante des pointes de la cage me rappeler à l’ordre. Je n’avais pas bougé tandis qu’elle revenait de la salle de bain où elle m’aperçoit. A son regard je sens que j’ai fait une erreur.

« Julie cria-t-elle il y a ton père qui me mate comme un pervers! Julie sortit nue comme à son habitude. Elle avait toujours vécu nue et cela ne me faisait aucun effet, ma fille c’était ma fille. Mais léa évidemment c’est bien autre chose.

– Mais non pas du tout, je sortais pour aller aux toilettes! Julie me regardait d’un air outré.

– Tu parles il était là quand je suis allée dans la salle de bains et encore là quand je suis revenue!

– Tu parles oui, il mate toutes les filles dans la rue, je ne sors jamais avec lui tellement il me fait honte. C’est un obsédé pire que les autres. Julie m’enfonçait. Et c’est vrai que je regardais toutes les femmes tellement j’étais en manque, je ne pensais pas que cela se voyait.

– Je suis vraiment désolé les filles, je ne voulais pas vous déranger, vraiment. Je ne suis pas un pervers! »

Que n’avais-je dit là! Je sentis instantanément le changement d’attitude de Julie, celui qui signifiait une grosse crise. Léa semblait aussi complètement outrée, tout en continuant Escort Beylikdüzü à me narguer avec sa nuisette indécente, je pouvais même dire que son sexe était épilé! Julie me cracha au visage que j’étais le pire des pervers, qu’elle savait bien tout ce que je faisais sur mon ordinateur puisque je ne prenais même pas la peine de le fermer, qu’elle connaissait les sites que je fréquentais, les histoires que je lisais et pire celles terribles que j’écrivais, elle avait même lu tous les échanges que je partageais avec sa mère. Elle avait tout vu et tout lu, et cela la faisait vomir. Léa en rajouta pour bien montrer qu’elle était aussi au courant de tout, me disant que j’étais bien pire que son père qui semblait une vraie référence. J’appris plus tard qu’il la violait depuis des années.

L’agression était terrible et frontale. Comment leur expliquer que je ne ferais jamais rien de mal à une femme, bien au contraire. J’étais complètement anéanti. Julie demanda à Léa si elle voulait déposer plainte, je suffoquais, je n’avais rien fait de mal. Je leur dis. Je leur dis aussi que je ferais toujours tout pour elle. La mine dégoutée de Julie me montra le mépris dans lequel elle me tenait et d’une certaine façon je la comprenais. Léa demanda un délai de réflexion, je la suppliais, j’étais au fond du trou.

« Mets toi à genoux dans le couloir, les mains sur la tête. C’est bien ainsi que tu as l’habitude d’attendre n’est-ce pas? »

La voix de Julie était coupante, l’ordre tellement imprégné en moi depuis ces années que je ne réfléchis pas et pris cette position que j’avais tant occupée, humilié et le regard baissé. Les filles rentrèrent dans leur chambre en continuant de m’insulter. Je n’étais qu’une flaque, je n’avais rien fait et pourtant j’étais coupable de tout. J’avais juste envie de me cacher, mais je ne pouvais pas bouger. Julie passe la tête et me commande d’aller dans ma chambre, à genoux sur le lit, nu. Elle referme la porte me laissant sans voix. Je voudrais ne pas obéir, mais je ne peux pas. Et à ce moment je dois dire que je ne veux pas. Cela fait deux ans que je n’obéis plus et cela me manque terriblement, c’est ma nature, ma place. Je mets mon cerveau en mode off comme je le fais si bien et je me retrouve nu sur le lit à genoux, à attendre les filles.

« Qu’est ce que tu as comme ceinture et sur ton sexe? Julie me regarde durement tandis que les deux filles me matent sans complexe.

– C’est une cage de chasteté Julie avec une ceinture en cuir pour la maintenir en place.

– Pourquoi portes tu cela? Tu l’as tout le temps?

– Oui je la porte tout le temps, elle est cadenassée et je n’ai pas la clé. C’est ta mère qui a toujours voulu que je la porte. Elle disait que les hommes cela met leur sexe partout, et elle voulait que je sois parfaitement chaste.

– Je vois dis Julie. Tu te branlais tout le temps je suis certaine.

– Mais non pas du tout! Comment pourrait-elle comprendre que c’est une offrande à sa mère que je lui ai faite?

– Ta gueule, on ne te demande pas de commenter, tu réponds juste aux questions. C’est compris.

– Oui Julie.

– Voilà ce qui va se passer maintenant. Je ne te demande pas ton avis, tu n’as pas à être d’accord ou pas, c’est ainsi et c’est ma décision. Léa va venir s’installer à la maison. Elle va prendre ta chambre. Pas que ta chambre d’ailleurs, elle a décidé de te prendre. Puisque de façon évidente à te lire et te surveiller, tu as envie de vivre en esclave. Tu vas être l’esclave de Léa. Moi cela me dégoûte, mais elle a envie de t’en faire baver comme tu ne l’imagines pas. Et tu seras bien sur toujours à mon service. Evidemment si tu ne nous satisfais pas, Léa va poser une plainte avec moi comme témoin, je pense que cela sera vite réglé avec tout ce qu’on pourra dire sur toi. Je laisse Léa continuer.

– Nestor c’est ton nom maintenant. Est-ce que tu as compris Nestor? Le regard de Léa me fait peur, je baisse les yeux

– Oui Léa, je suis Nestor.

– Bien tu es un bon chien. Alors moi je suis Maîtresse, en absolument toutes circonstances. Si à un moment je te demanderais de m’appeler autrement ce n’est que pour m’éviter la honte qu’on sache que tu es ma chienne. Et pour toi Julie c’est Mademoiselle, en toutes circonstances aussi. C’est compris Medor?

– Oui Maîtresse. Merci Maîtresse. J’avais repris des mantras que je connaissais par cœur.

– Merci pour quoi connard? Je ne t’ai encore rien dit!

– De bien vouloir me prendre pour esclave Maîtresse

– Oui, tu vas voir je vais te le faire regretter comme tu n’imagines pas. Ton ancienne Maîtresse t’aimait, moi c’est tout le contraire et tu vas voir la différence que cela va faire.

– J’ai honte de penser que ma mère pouvait l’aimer. Je me dis qu’elle l’utilisait surtout et lui faisait croire. Julie était pleine de dégoût en me regardant.

– Oui c’est sûr. Bon Medor, tu dois toujours connaitre toutes les règles que tu devais suivre. Est-ce que tu as continué à les appliquer Medor?

– Certaines Maîtresse, mais Beylikdüzü Escort Bayan c’était difficile de toutes les appliquer Maîtresse

– Eh bien elles sont toutes d’actualité à nouveau. Tu as intérêt à ne pas en oublier. Je vais prendre un plaisir fou à te torturer et te briser mais si en plus tu désobéis ou commet des erreurs, tu regretteras de ne pas être mort. En plus des règles édictées, je t’interdis de regarder la moindre femme dans les yeux, de regarder son corps, y compris le mien et celui de Mademoiselle. Est-ce que c’est compris?

– Oui Maîtresse.

– Oui Quoi? Dis-moi pourquoi le porc que tu es ne doit plus regarder une femme?

– Oui Maîtresse, le porc que je suis n’a pas le droit de lever le regard sur une femme, il est indigne même d’en regarder une.

– Tu dors dans le dressing comme tu le faisais, tu vas reprendre tes bonnes habitudes. En revanche tes godes et plugs cela ne va pas du tout, c’est pour les fillettes ce que tu as, je veux quelque chose de plus sérieux, nous verrons cela demain. Julie m’a autorisé à utiliser toutes les affaires de ta femme, cela ne te changera pas trop, du coup. Ce sera bon de te voir quand je porterai ses vêtements, pauvre con. »

Sans surprise, c’est ce qui me fait le plus mal. Pourquoi Julie fait elle cela? Julie est repartie dans sa chambre, les filles se sont embrassées sagement, mais je sens Léa bien trop énervée pour dormir. Quant à moi, quiconque a la soumission profondément en lui, et moi je l’ai vécue près de 20 ans, le comprendra, j’étais vide de toute volonté et totalement béant pour être ainsi offert à Léa que je connaissais mal. Mais dont l’odeur et le souvenir de ses formes que j’avais entre-aperçues me rendaient fou de désir tant j’étais en manque.

Elle fit l’inventaire du dressing, sachant que j’avais gardé mes affaires dans un petit placard de mon bureau. J’avais bien évidemment laissé tout le dressing à ma femme et j’avais droit de porter bien peu de vêtements. Je la sentis excitée par la partie plus fétiche avec des talons aiguilles, bottines, des vêtements de cuir, des corsets. Tout ceci était tellement fort pour moi en souvenir. Léa se moquait de mon air de chien battu. Puis inspection du coffre où tous les accessoires étaient rangés. Avec surprise je découvre qu’elle connaît le code, et aussi le contenu. Elle sort la canne et la pose sur le lit.

« Viens là Medor, masse-moi les pieds. Nous allons commencer la cohabitation. Si je reprends la liste de tes règles tu vas me dire ce que tu fais ou ne fais plus. Et je te dirais ce que tu dois faire. Sans doute je te rajouterai des règles. Déjà tu seras battu matins et soirs, 50 coups de canne. Si pour une raison ou une autre tu ne les reçois pas ils sont reportés à la prochaine battue en le doublant. Je frémis de terreur, elle n’a pas idée de ce qu’est un coup de canne! C’était énorme, j’en tremblais de peur.

« Bon alors ces règles à compléter

1/ Penser à ta Maîtresse à chaque instant et passer une heure par jour à regarder ses photos et te remplir d’elle

– Non Maîtresse si je pense à elle, je ne regarde plus sa photo c’est trop douloureux je répondis d’un souffle

– Dès demain je t’envoie des photos de moi et je veux que tu y passes deux heures par jour. Je te passerai aussi des enregistrements audio de ma voix que tu écouteras toute la nuit. Tu n’es plus rien sans moi. Tu regarderas cela sur ton téléphone portable, interdiction d’utiliser ton ordinateur pour quoi que ce soit. Je vais te changer tous tes codes, y compris bancaires, tu n’as plus le droit de dépenser le moindre euro sans demande de ma part ou de Mademoiselle. Et même plus généralement tu n’as droit de ne rien faire qui ne soit un ordre de ma part. Est-ce que c’est compris sale pute?

– Oui Maîtresse. J’étais mortifié par sa dernière appellation, de ma femme, j’avais au moins de la considération. Je me sentais encore plus humilié et rabaissé. Et attiré.

2/ Saluer ta Maîtresse quand elle rentre ou sort d’une pièce

– Oui cela me manque, je serais heureux de Vous saluer Maitresse et Mademoiselle aussi en toutes circonstances.

– Ne t’avise pas d’oublier une seule fois!

– Non Maitresse, bien Maitresse.

A cet instant elle se lève subitement, va chercher des pinces crocodiles liées par une chaîne et sans ménagement ni précaution me pince les tétons. Je gémis de la violence, et reçois une baffe coup de poing dans la figure. Elle me hurle dessus.

– Ce n’est rien et déjà tu couines, tu n’as pas fini! Continue à me masser, cela manquait que tu n’aies pas un peu mal.

3/ S’occuper de toutes les taches de la maison et obéir à tous les ordres quels qu’ils soient

– Oui Maîtresse c’est ce que je fais.

– Bien maintenant tu t’occupes de tout pour moi

– Oui Maîtresse avec plaisir Maitresse.

– Je me fous de ton plaisir connard. Tu vas vite comprendre cela.

4/ Interdiction de s’asseoir ou s’allonger autrement que par terre

– Maîtresse je dois avouer ne plus le faire

– Oui Beylikdüzü Escort je te vois bien assis à table ou sur le canapé. Et sur le lit tu l’utilises?

– Oui Maîtresse

– Tu te prends pour qui d’utiliser un lit? En conséquence les deux prochaines années tu dors par terre sans matelas, ni oreiller, ni couette, avec rien. En deux ans tu seras bien habitué!

– Oui Maîtresse, bien Maîtresse. J’étais désespéré.

5/ Douche froide uniquement

– Oui Maîtresse en toute circonstance.

– Tu ne prends jamais d’eau chaude?

– Non Maîtresse, sauf pour la vaisselle et la lessive Maîtresse

– Ben oui petite pute. A propos de pute je te ferais faire le trottoir que tu me ramènes de la thune, ce sera fun.

– Oui Maîtresse si tel est votre désir

– Je ne t’ai pas demandé ton avis, 10 coups de canne de plus ce soir!

6/ Autorisation pour aller aux toilettes sans avoir le droit d’utiliser les toilettes de Maîtresse

– Evidemment, hors de question que tu souilles mon trône. C’est bien tu te tais. Puis avec ta cage tu dois en mettre partout.

7/ Ne pas manger avec Maîtresse et se nourrir que de ses restes

– Ca tu ne le fais pas assez. Maintenant tu ne manges nos restes qu’avec un délai minimal de 48h. Tu vas prendre des tup et mettre la date dessus. Sans les ranger au frigidaire que cela aie bien le temps de murir. Et tu ne prends qu’un repas le matin dans ta gamelle. Tu me la présentes avant de pouvoir manger. J’avoue que l’idée de me lâcher dedans m’excite mais après tu me dégoutterais trop. A voir quand même. Bouffer de la merde cela correspond bien à ton niveau. C’est fou comme je vais te faire baver. Tu n’imagines pas.

8/ Ne boire que son urine sauf demande explicite de Maîtresse

– Oui eh bien c’est de nouveau actif. Quand je suis absente tu ne bois rien sauf si Julie veut bien t’hydrater. Et je veux que tu me remercies chaque fois que tu me bois, c’est un privilège pour une chienne comme toi. Si tu n’es pas là je me soulagerai dans une bouteille que tu puisses ne rien perdre.

9/ N’aborder ou ne parler à personne sans autorisation

– Une évidence, à coupler avec l’interdiction de regarder une femme au-dessus de ses chaussures.

10/ Ne jamais discuter ou palabrer avec Maîtresse

– Ca tu risques de voir qu’il vaut mieux pas. Je t’éclate une couille la première fois que tu le fais. Regarde, mets-toi debout à côté de moi.

Je me lève et vient avec précaution, les pinces me déchirent. Avec une main Léa enserre mes deux couilles en les tirant très fort. Je me retiens de gémir mais j’ai très mal. Avec les ongles de son autre main, elle pince une couille de toutes ses forces, je m’écroule par terre, le souffle coupé. La douleur est atroce. Je n’ai pas le temps de récupérer, je dois me remettre debout, elle recommence pareil avec l’autre couille. Je me tords de douleur par terre sous son rire sadique.

Je crois qu’on a pas fini de s’amuser ce soir.

Bon la suite.

11/ Offrir son corps sans restriction aux plaisirs de Maîtresse et de qui elle veut

– Evidemment

12/ Ne prendre d’autres plaisirs que ceux de Maîtresse

– De toute façon je vais faire de ta vie un enfer

13/ Ne jamais rien omettre ou cacher à Maîtresse

– Ne t’avise pas à cela, c’est sans doute le pire que tu puisses faire.

14/ Tenir Maîtresse au courant des activités de l’esclave en permanence

Tu m’envoies des sms toutes les 15 minutes quand nous ne sommes pas ensemble et tu as 30 secondes pour répondre à un message de ma part.

15/ L’esclave ne parle qu’en réponse à une demande de Maîtresse

– Ben c’est le minimum. Ou alors je te bâillonne toute la journée, cela pourrait être fun.

16/ Si l’esclave a une requête il se met à genoux et attend que Maîtresse lui donne l’autorisation de parler

– Ou pas, je me fous de ce que tu peux avoir à dire. Donc pas de requête.

17/ L’esclave marche toujours derrière Maîtresse tête baissée

– Je vais te faire porter un collier comme cela ce sera clair que tu es un esclave. Un truc bien voyant, bien humiliant.

18/ Aux claquements de doigts l’esclave se met à genoux en position, quels que soit le lieu

– Comme une chienne bien dresser. La moindre hésitation c’est 50 coups de canne supplémentaires.

19/ La maison est impeccable en permanence, le linge lavé tous les jours et les draps de Maîtresse changés tous les deux jours.

– Rien à dire. Si en fait, tu les changes tous les jours, c’est trop bon des draps propres et neufs.

20/ L’esclave est en chasteté de façon définitive. Il vit nu sauf ordre contraire

– Peut être une tenue de soubrette, Mademoiselle risque d’être incommodé par ta vue. Il faut que je m’occupe de tes couilles, je n’aime pas comme elles pendent.

21/ Tous les matins l’esclave réveille Maîtresse en lui baisant les pieds

– Oui enfin les jours où tu es libre de tes mouvements

Bon je fatigue, on va passer à la battue de ce soir. 60 coups, et comme c’est la première, on va arrondir à 100 qu’est ce que tu en penses? Non dis rien, c’est une tournure d’esprit, je me fous de ce que tu penses. Et si tu espères que je ne sais pas utiliser une canne tu vas vite comprendre que tu te trompes! »

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