Le Gars du Gang

Anal

D’après un texte court de Kemoimin. Adapté par ma part. Texte violent et sans consentements, pour ceux qui n’aime pas ce genre d’histoires, passé votre chemin, à l’arrivée cela ne vous plaira pas et vous frustrera, ce qui est mauvais pour la santé. Si vous voulez un texte innovant, jamais vu ailleurs, c’est pareil, ce ne sera pas le cas, mais cela reste une bonne histoire. Pour les autres, bonne lecture.

C’était une époque sombre. J’avais grandit dans le ghetto, et c’est le gang qui m’a élevé, à partir de mes douze ans. Avec eux, j’ai tout appris : voler, frapper, tirer avec un flingue. J’étais un dur à cuir. Et je ne jurais que par le gang. Il fallait toujours que les dettes des autres soient payées. On avaient nos propres lois, et on les mettaient rapidement en pratique. Je croyais vraiment ce qu’on m’avait dit toute ma vie : les noirs – comme moi – doivent se battre pour survivre, et s’il faut user de la force, alors il faut le faire.

J’avais tout juste 20 ans quand je l’ai fait.

Un gars de banlieue nous devaient du fric. Il nous avaient arnaqués, en nous volant notre drogue. Il fallait qu’il paie et je m’étais proposé à le faire payer.

Pendant plusieurs jours, j’ai surveillé tous ses faits et gestes, j’ai tout surveillé, je restais planqué devant sa maison parfois une journée entière. J’avais remarqué sa jolie femme, et je savais qu’il avait une fille aussi, qui avait 18 ans, mais elle était petite et menue, n’en paraissant pas plus de treize. Assez affriolant, une jeune majeure avec un corps de lolita. Mais ce qui m’intéressait, c’était de le faire payer, lui.

J’imaginais tout. Et j’imaginais le faire payer en utilisant sa femme. Je la trouvais jolie, tout à fait à mon goût, type espagnol, de longs cheveux noirs brillants, une poitrine à faire bander n’importe quel mec, un cul de bombasse. Je pouvais avoir n’importe quelle fille, c’était facile, je n’avais qu’à me servir, mais cette femme là, je la voulais encore plus, parce qu’elle était l’ennemie.

Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à elle.

Je connaissais assez bien les horaires de ce gars, et aussi de sa femme. Ce jour là, il était 20h30. Je voulais entrer chez lui, le surprendre, le menacer, récupérer par tous les moyens l’argent qu’il nous avait volé. J’espérais que sa femme soit là, pour que je puisse aussi en profiter.

J’ai attendu dans ma voiture que la nuit tombe, puis je suis sorti et je suis passé par derrière la maison. Je n’ai eu aucun mal à forcer la porte arrière. Il y avait les escaliers qui menaient directement à l’étage et je suis monté à pas de velours.

Quelqu’un prenait une douche, j’étais persuadé que c’était Lui, celui que je devais battre. J’avais surveillé son emploi du temps et j’étais sûr qu’il était là, et que sa femme était à son cours de danse. J’avais calculé, que ça me laissait le temps de le tabasser, de récupérer mon fric, et d’attendre sa femme afin de profiter d’elle.

J’ai couru jusque dans une chambre, et j’ai attendu. Je voulais sauter sur lui au moment où il passerait devant la porte.

J’ai attendu, dans le noir le plus total. J’entendais l’eau de la douche couler. J’avais poser mon gun sur la table de chevet, je ne me déplaçais jamais sans lui. Puis, l’eau s’est coupée.

La Escort Avcılar porte de la salle de bain s’est ouverte, en grinçant. Je l’entendais à peine marcher.

Je ne pensais pas que la porte de la chambre allait s’ouvrir. Je ne m’attendais pas à voir la femelle de 18 ans devant moi. Elle fut aussi surprise que moi de me voir là, debout dans sa chambre. Quand la porte s’est ouverte et que la lumière est entrée, j’ai vu que c’était encore une chambre d’ado.

Elle ne portait qu’une serviette de bain qui entourait son corps.

Avant qu’elle ne crie, je l’ai saisie rapidement, la faisant entrer dans sa chambre, puis j’ai attrapé mon gun en le pointant vers elle.

— Qu’est-ce que tu fous là? ai-je demandé. Où est ton père?

— Il… il est au restaurant avec… avec maman…

Elle pleurnichait, apeurée. Je n’avais pas prévu ça. Qu’il emmène sa femme au restaurant, laissant sa fille seule. Elle ne devait pas être là, en plus.

— Tu dois pas être là!!!

— Je… je suis rentrée du pensionnat plus tôt, ce matin!

En la regardant, je voyais sa mère. Elle était aussi jolie, aussi attirante. Son corps n’était pas encore tout à fait développé, mais il me plaisait. Mince, la peau orangée, les cheveux noirs… j’avais déjà remarqué son petit cul se tortillant quand elle marchait. Agréable à regarder. Même pour une fille de dix-huit ans avec le corps d’une gamine de treize ans.

Je pointais toujours mon arme vers elle, mais elle ne criait plus. Je l’avais attrapée par le bras – si fort qu’elle en avait la marque – et je l’ai poussée sur son lit.

Je regardais autour de moi. J’ai attrapé une ceinture, posée sur une commode, et je lui ai attaché les mains aux barres du lit.

— Com… comment tu t’appelles? ai-je demandé.

— Angela…

La petite jeune fille pleurait. Et plus elle était vulnérable, plus je bandais. Tant pis pour la mère, j’allais m’occuper de la fille.

Angela ne luttait pas, elle pleurait, simplement. Elle n’avait aucune chance contre moi, de toute façon. J’étais un grand black du ghetto, qui passait son temps à se muscler.

Je lui ai arraché la serviette et elle s’est retrouvée totalement nue. Elle avait deux petites bosses en guise de sein, je me suis amusé à pousser le canon de mon gun sur chaque mamelon, pour lui faire peur. Je l’ai fait glisser jusqu’à son ventre, et j’ai mimé la pénétration avec.

Angela était terrifiée. Et moi je m’amusais. Elle comprenait ce qui allait se passer, et je m’en délectais. Elle avait le vagin imberbe – elle se rasait ou s’épilait- et elle était douce.

J’ai commencé à ouvrir mon pantalon, à me déshabiller. J’ai attrapé ses cheveux et j’ai tiré sa tête en arrière. Elle s’est mise à gémir. Je l’ai embrassée pleinement, en poussant ma langue à l’intérieur. Elle avait une toute petite bouche, avec un goût acidulé.

Je lui ai ensuite montré ma queue, afin qu’elle comprenne ce qui allait lui arriver. Je le tenais à pleine main, il était dur, très dur, et je lui montrais mes vingt-trois centimètres. Angela le regardait terrorisée. Je pense qu’elle n’avait jamais vu ça.

De l’autre main, j’ai commencé à caresser sa petite chatte. J’ai sondé mon doigt à l’intérieur pour savoir si elle était vierge, et je Avcılar Escort Bayan ne fus pas surpris de voir qu’elle l’était.

— Ça va être très bon pour moi. Ai-je dit en ricanant. Tu sais, je te conseille de mouiller si tu ne veux pas trop souffrir, ma chérie. Excite-toi un peu, pense à quelque chose qui va te faire mouiller. Ai-je ajouté.

Angela ne pouvait à présent plus se retenir de sangloter. Je continuais de caresser sa chatte, ses cuisses. Elle ne me repoussait même pas avec ses jambes. Je pouvais saisir ses petites cuisses d’une seule main, tant elle était maigrichonne.

Je l’ai retournée facilement, sans qu’elle n’oppose de résistance. Je pouvais voir son petit cul d’adolescente. Un petit cul rebondit. Je me suis mis à caresser son dos. Elle frissonnait. Je pouvais attraper chaque fesse dans la paume de ma main.

Quel beau petit cul!! j’ai glissé un doigt entre ses fesses jusqu’à ce que j’atteigne son petit trou. Lui aussi, était vierge. Mon doigt peinait à entrer, et Angela couinait comme une truie.

Je ne pouvais plus attendre. Je me suis mis derrière elle et j’ai commencé à glisser ma grosse queue noire sur sa fente sèche. Je ne savais pas par quoi commencer… j’hésitais entre son petit cul ou sa chatte.

Je me suis alors penché sur elle et je lui ai murmuré à l’oreille : « tu as eu tes règles quand, la dernière fois? »

Elle m’a répondu, une semaine. « Tu prends la pilule? » ai-je demandé.

Quand elle m’a dit non, j’ai alors rit et j’ai commencé à enfoncer ma viande dans sa chatte de femme au corps d’adolescente.

La pire punition pour un voleur, c’était d’engrosser sa gosse.

J’ai soulevé légèrement ses hanches et je l’ai embrochée. Son hymen faisait obstacle, il était dur, la membrane ne voulait pas se rompre, et j’ai du utiliser toutes mes forces pour la déchirer. Quand ce fut fait, elle s’est mise à hurler, pendant que je grognais de plaisir. Le conduit était plus étroit que je ne le pensais. Sa chatte était serrée, tant bien que parfois, ça étouffait ma queue au point de me faire mal. Mais ça m’est vite passé.

J’ai été dedans, dehors, j’allais et venait, lentement, je ne faisais pas attention au sang qui se déversait sur son lit. Angela couinait, meuglait. Je me suis mis à la pilonner, attrapant un rythme plaisant.

Elle devait souffrir la pauvre. Elle était sèche comme du papier ponce. J’aimais voir ses fesses se gonfler quand mon ventre s’appuyait contre elles.

Je l’ai saisie par la taille, et je me suis mis à creuser ma queue le plus profond possible dans sa chatte. Elle avait du mal à suivre mon rythme accru. Je ne pouvais pas mettre toute ma queue en elle, mais c’était vraiment agréable de prendre une fille aussi étroite.

Les cris d’Angela m’excitaient encore plus. La gamine était si petite, si fragile, et moi je ne pouvais plus me contrôler.

J’ai attrapé sa chevelure que j’ai tiré vers moi, elle était malmenée, agressée. J’aimais voir comment son corps était secoué par mes assauts. Elle grognait, pleurait.

Après quelques minutes à tirer ses cheveux, j’ai glissé mes mains sous son corps et j’ai attrapé ses tétons. Angela hurlait quand je les tirais. J’embrassais son cou, je le suçais, je la marquais.

Je voulais Avcılar Escort me vider en elle, lui pondre un môme, mais pas avant d’avoir mis ma bite au fond de son petit cul.

J’ai sorti ma queue de sa chatte violemment. J’ai craché sur ses fesses pour enfoncer ma salive dans son petit trou. Dans ses cris, je pouvais entendre « non, non, non ».

— Si, oh que si! bien profond! ai-je dit en bougeant mon doigt à l’intérieur.

J’ai retiré mon doigt et placé ma queue sur l’anneau. Angela était à plat ventre et j’ai pu pousser ma queue pour que le gland se fraye un chemin. C’était très serré. J’ai dû m’y reprendre plusieurs fois, jusqu’à ce que je sente que ma queue soit aspirée.

J’ai alors poussé à l’intérieur. Lentement. J’entrais, je ressortais, j’entrais… je l’enculais.

Toujours les poignets attachés, je pouvais faire d’elle ce que je voulais. J’ouvrais ses fesses pour voir ma queue s’enfoncer. Je la sentais se cabrer. Quand ma queue fut bien tenue à l’intérieur, j’ai soulevé légèrement ma salope et j’ai pu tirer son cul vers moi pendant que je donnais des coups de reins.

Angela pleurait mais je pouvais l’entendre me supplier.

D’un coup, je l’ai tirée vers moi pour entrer ma queue entière, claquant mes couilles à ses fesses. La jeune fille s’est cambrée en hurlant, puis, s’est tue. Elle ne parvenait plus à crier. Je maintenais la position, admirant la disparition de ma queue dans ce petit cul. En la retirant, il y avait un peu de sang. Je l’ai remise.

J’ai commencé à l’enculer de plus en plus vite. Elle basculait dans tous les sens, ses fesses rougissaient à être claquées par mon corps.

Sa tête était posée sur l’oreiller et j’avais une main sur sa chevelure. Alors qu’elle était à genoux, l’autre main était sur son épaule.

Je m’amusais à retirer ma queue, attendre que la rondelle se referme, et je la remettais violemment, en entier.

J’allais exploser. J’ai retiré ma queue pour la remettre dans sa chatte encore à moitié ouverte. Après quelques coups de bite, j’ai senti que j’envoyais ma semence dans ses entrailles. Je l’inondais.

Je me suis affalé comme un goujat à côté d’elle. Je pouvais encore l’entendre couiner, gémir, pleurnicher. J’ai attendu quelques secondes pour la détacher.

— Tu vas me nettoyer la queue, maintenant! ai-je dit sur un ton autoritaire.

J’ai tiré sa tête vers ma queue. J’ai vu sa langue sortir et elle m’a léchée. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle fasse ça aussi bien. Elle était ruisselante de larmes.

Quand ma queue fut presque propre, je me suis levé pour me rhabiller.

— Tu diras à ton père qu’il rende l’argent qu’il doit. Ou alors, je recommencerai, et je serai pas tout seul.

Ce n’était pas des menaces en l’air.

— J’espère que je t’ai mise enceinte! si c’est le cas, je veux que tu gardes le gosse! je le saurai, si t’as fait quoi que ce soit de mal sur l’enfant!!

Angela était recroquevillée dan son lit, nue, le corps affaiblit. Elle me faisait un ‘oui’ de la tête, qui prouvait qu’elle avait bien compris.

Je suis parti par où j’étais venu, non sans lui promettre de revenir. Ce que j’ai fais quelques temps plus tard. Je me suis enfin fais sa mère, mais je n’étais pas seul. On étaient dix. Angela aussi à pris, le tout sur les yeux du père. Inutile de vous dire qu’après il nous a remboursé. Mais dorénavant, sa femme et sa fille font les putains pour le gang. Et je peux vous dire, qu’avec leurs corps et leurs beautés, se sont de très bonne gagneuse.

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